Sénat : les prévisions des forces de l’ordre

Selon nos informations, les forces de l’ordre attendent ce jeudi soir devant le Sénat 40 militants LGBT, 400 militants de l’Institut Civitas et 4 000 personnes de la Manif pour Tous. De quoi faire appel à la cavalerie ?

Photo prise rue Soufflot ce jeudi matin par un lecteur des Nouvelles de France.

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16 Comments

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  • Sergio , 4 avril 2013 @ 18 h 39 min

    Alors là , si Gouda Ier fait donner la cavalerie ( légère ?….) , c’ est du sérieux !..
    Plutôt que 1789 , çà me rappelle le 6 février 1934….

  • toubib16 , 4 avril 2013 @ 18 h 44 min

    Pensez au goudron et aux plumes pour les LGBT comme au bon vieux temps du Far West sauf s’ils ont déjà les plumes où je pense…

  • Marc J , 4 avril 2013 @ 18 h 56 min

    “La République gouverne mal mais se défend bien”, c’est une évidence.
    S’il y a autant de policiers et de gendarmes, c’est parce-que le gouvernement a peur, tout simplement.
    C’est donc bon signe de voir nos amis des forces de l’ordre présents, même si pour eux, obéir aux ordres d’une réipoublique aux aboies ne doit pas être évident. Le petit Valls est pathétique, un jour ou un matin, sa glace lui dira.
    Le peuple gronde et la mobilisation s’amplifie. Hollande ne veut pas le savoir ? Très bien, alors il verra… il apprendra à diriger un pays en crise très grave. Mai 68, çà lui dit quelque chose ? Et bien on va lui la faire à l’envers ! Dire qu’un “mai 2013” se prépare n’est pas une grande révélation, ce n’est que le constat d’une réalité quotidienne !

  • diego , 4 avril 2013 @ 19 h 52 min

    L’espoir fait vivre dit on!!! Le problème c’est quand je vois que les syndicalistes à Marseille se sont positionnés volontairement au côté de la police, c’est à dire contre les manifestants anti mariage homo, qui venaient se rappeler aux bons souvenir de Montebourg, je me dis que le mai 68 à l’envers ce n’est pas pour demain. J’ai vécu mai 68 la révolte était surtout étudiante. Ce sont eux qui en décousaient avec les forces de l’ordre. Les ouvriers faisaient plutôt dans le style occupation d’usines, pour faire court. Les buts n’étaient pas les mêmes les étudiants tous gauchistes voulaient la révolution, les ouvriers tenus par le PCF avaient des revendications plus terre à terre.

  • Tintin , 4 avril 2013 @ 19 h 54 min

    Pas encore mais bientôt, les forces de l’ordre devront choisir :

    Désobéir aux ordres face uniquement aux citoyens pacifiques ou comparaitre devant un tribunal citoyen.

    Nous n’y sommes pas encore, aucun représentant des forces de l’ordre ne peut encore prendre cette décision, en l’état actuel de la situation, mais chaque représentant de l’autorité de la République, doit dès à présent se poser cette question, pour savoir le moment venu, ce qu’il décidera.

    Etant entendu, que le représentant des forces de l’ordre, n’aura aucun droit de ne pas intervenir sur les citoyens qui ne seraient pas pacifiques et que la désobéissance aux ordres ne devra s’appliquer le jour venu, que pour les citoyens désireux pacifiquement d’aller sonner au palais de l’Elysée, non pour y renverser le régime, mais pour y instaurer une Assemblée Constituante.

  • notraffaire , 4 avril 2013 @ 20 h 25 min

    C’est quoi les syndicalistes de Marseille.
    Une poignée de nantis gavée de droits sociaux exorbitants par rapport aux travailleurs français, pétrie de subventions, d’avantages divers et au régime de retraite spécial, ce qui ne l’a pas empêché en plus de taper dans la caisse.
    Ailleurs on les appelle nervis, exécuteurs des basses oeuvres, kapos, etc.
    La Gestapo autrefois les a bien utilisés.
    Basta, on réglera leur problème à la chinoise quand le temps sera venu

  • Tintin , 4 avril 2013 @ 23 h 24 min

    Les syndicalistes sont payés par l’impôt, ces gens grenouillent dans leurs guérites syndicales obligatoirement financées par les sociétés et pour les délégués du personnel, ils ne peuvent légalement pas être licenciés…

    Ces gens sont donc les mini oligarques du régime, mais attendez que les comptes soient effacés… ils perdront leurs positions et se joindrons alors aux manifestations pour réclamer le libéralisme, pour qu’ils puissent avoir alors un emploi, au lieu de mendier dans les rues…

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