Débat sur le réchauffement climatique : le physicien François Gervais écrase le ministre EELV Pascal Canfin

Le ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé du Développement (EELV) et le physicien, professeur émérite de l’université François Rabelais de Tours, étaient les invités de “RTL Midi” lundi.

Related Articles

58 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • Smarties , 7 mars 2014 @ 3 h 44 min

    “Malgré les conséquences et les effets toxiques à long terme, le GIEC demande que les techniques de géo-ingénierie utilisées pour manager les radiations solaires sur terre, soient maintenues” :

    http://nsnbc.me/2013/11/12/ipcc-warns-not-to-stop-chemtrails-aka-solar-radiation-management/

    https://www.youtube.com/watch?v=UYsWUAXoAd4#t=223

    http://nautisme.lefigaro.fr/breves-nautisme/meteo%E2%80%94env.-2/2013-12-04-08-50-17/climat%E2%80%94il-est%E2%80%93urgent%E2%80%93d-encadrer-la-recherche-12888.php#xtor=AL-148-actus

    http://www.abovetopsecret.com/forum/thread982057/pg1

    Le laboratoire d’analyse privé Analatyka a procédé à l’étude des retombées en France de plusieurs de ces épandages aériens, voici leur rapport :

    http://www.labo-analytika.com/documents/20131030_Dumas-18_Rapport_analytique_AnAlytikA.pdf

    http://www.labo-analytika.com/

    Ce reportage de RTL est une escroquerie car il n’y avait sur ce plateau, aucun individu qui maitrisait le sujet qui était traité.

  • ranguin , 7 mars 2014 @ 7 h 16 min

    Je croyais, naïvement que nous étions sur ce chat pour commenter des articles pas pour insulter.

  • Anne Lys , 10 juin 2014 @ 10 h 59 min

    Je n’ai personnellement aucune compétence en climatologie, juste quelques connaissances, de seconde main, en histoire du climat.

    Mais il n’est pas besoin de compétences scientifiques pour constater que, pour imposer leurs thèses et des mesures coûteuses et gênantes, qui profitent sans doute à certains, certains membres du GIEC n’ont pas hésité à mentir, tricher, dissimuler leurs erreurs. Il n’est pas besoin de compétences scientifiques pour constater qu’une grande partie des membres du GIEC n’en ont guère plus que moi et qu’en revanche bon nombre des « climatosceptiques » ont de grandes compétences.

    À mon esprit de profane sans compétences scientifiques, il me paraît probable que nous subissons pour l’instant un changement climatique, dont nous ignorons, dont les scientifiques compétents ignorent, et la durée et la nature. Y aura-t-il réchauffement global? Ou non ? Et s’il y a réchauffement, aura-t-il les conséquences catastrophiques qu’annoncent le GIEC et M. Fabius (qui semble croire qu’il est dans le secret des décrets de la Providence) ? Le souvenir du précédent épisode de réchauffement climatique, au début du précédent millénaire, semble indiquer que le monde n’a pas connu de catastrophe apocalyptique à ce moment, mais au contraire un « petit âge d’or »… Combien de temps durera ce changement ? Cinq ans, cinquante ans, deux cents ans, cent mille ans ? Nul ne le sait. Et est-il dû à l’action humaine ? Le GIEC l’affirme, mais les précédents épisodes de réchauffement climatique se sont produits sans que ce que l’on attribue aujourd’hui à l’action humaine (notamment l’utilisation très importante des combustibles fossiles) ait joué le moindre rôle.

    Bref, il me semble que, compétents scientifiquement ou non, nous ne savons pas grand’chose et que le mieux que nous puissions faire, c’est essayer de gérer nos ressources limitées « en bon père de famille », en évitant le gaspillage et les folies dispendieuses.

  • Anne Lys , 10 juin 2014 @ 12 h 02 min

    Vous rappelez vous-même que vous êtes corédacteur du dernier rapport du GIEC, c’est dire que vous plaidez pour vous-même.

    Bien que – les mensonges et trucages de certains membres du GIEC étant de notoriété publique – le fait d’avoir corédigé un des rapports de ce groupe ne garantisse pas en soi vos compétences, votre appartenance au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA/CNRS/UVSQ) permet de penser que vous êtes compétent dans ce domaine, même si le sujet de votre thèse sur l’observation de la terre par satellites est assez éloigné de l’étude du climat sur le long terme.

    Mais cela ne vous qualifie nullement pour traiter de « blagues » des faits que connaissent tous les historiens du Moyen-Âge !

    J’ai fait moi-même des recherches sur les cultures dans un village de la région parisienne et je peux vous dire qu’à la fin du Moyen-Âge, une des plus importantes était celle de la vigne et que les vins produits dans la région parisienne passaient pour bons, alors qu’aujourd’hui, réchauffement ou non, on ne la cultive plus que marginalement et que l’on n’y produit que des vins dont la valeur gustative est plus folklorique et anecdotique que gastronomique !

  • Anne Lys , 10 juin 2014 @ 13 h 17 min

    M. Bréon affirme que le domaine d’expertise de M. François Gervais « n’a rien a voir avec le climat.

    Dans ma candeur de profane, je pensais que son domaine principal, la thermodynamique, science de tous les phénomènes qui dépendent de la température et de ses changements. avait au contraire de très importants rapports avec le climat. D’ailleurs, au cours d’une longue carrière, M. Gervais a produit des centaines de publications scientifiques, dont cinq livres, et ses recherches ont porté sur la thermophysique, l’effet de serre, la réflectivité infrarouge et le ferromagnétisme.

    M. Bréon se serait-il contenté d’une ancienne définition de la thermodynamique qui n’y voyait que la science des machines thermiques (ce qui est en effet assez éloigné de l’étude du climat) et négligerait-il l’évolution de cette science depuis deux siècles, laquelle permet aujourd’hui de définir cette science comme « science de l’équilibre des grands systèmes » ?

    Quant à M. Pascal Canfin, qui a voulu contredire M. Gervais lors d’un débat sur RTL, tout Ministre délégué au développement qu’il soit, ses compétences semblent assez minces : il est diplômé de Sciences Po et titulaire d’un diplôme de l’Université de Newcastle, diplôme dont la nature n’est pas indiquée dans ses diverses biographies (Wikipedia et autres, y compris celle qu’il a rédigée lui-même http://www.pascalcanfin.fr/biographie/ et comme chacun sait, « Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup ».). Aucune compétence en climatologie, à moins que le seul fait d’être écologiste lui ait donné la science infuse…

    Ses arguments sur des événements climatiques « exceptionnels » ne tiennent pas compte du fait que de semblables catastrophes, tout aussi importantes, se sont produites en d’autres temps, mais n’ont pas fait autant de bruit médiatique, en raison d’une part du peu d’importance des médias à l’époque, et d’autre part du fait que les circonstances ont changé : avoir construit en milieux inondables, là où l’on n’avait jamais construit, ont fait d’une violente tempête en Vendée une catastrophe humaine et économique ; l’accroissement considérable de la population côtière sur certaines côtes asiatiques a transformé des phénomènes certes redoutables mais ne touchant que peu de personnes en hécatombes tuant des dizaines voire des centaines d’êtres humains. Les effets de ces phénomènes se sont aggravés (et de toute évidence par l’action humaine, mais celle-ci agit sur les effets et non sur les causes) sans que les phénomènes soient en eux-mêmes plus importants que d’autres qui se sont produits en d’autres temps.

    Il serait donc plus raisonnable de consacrer les sommes considérables que l’on veut consacrer à une lutte aléatoire (en raison de l’ampleur des phénomènes impliqués) et peut-être totalement inutile (s’il y a erreur sur la nature du changement climatique ou sur ses causes), contre le réchauffement climatique, à la protection des hommes et des biens contre les conséquences des événements climatiques de grande ampleur.

    Les principaux arguments en faveur de la théorie du réchauffement climatique de longue durée et de grande importance dû à l’activité humaine sont des arguments d’autorité : le GIEC l’a dit, or le GIEC c’est mille scientifiques qui font autorité. Ce qui n’est pas exact : sur les mille membres du GIEC, la majorité n’a pas de compétences en matière climatique et agit en acteurs d’un lobby des éoliennes et autres… D’où les mensonges et tricheries qu’il a fallu, hélas, constater.

  • Anne Lys , 10 juin 2014 @ 13 h 30 min

    “si les éoliennes consommaient plus de néodyme que d’autres industries !

    Comme si le néodyme était exclusivement consommé par les éoliennes !” proteste “Smarties”

    Personne n’a dit que les éoliennes étaient seules à consommer des “terres rares”, mais seulement qu’elles en consommaient.

    Personne n’a jamais dit non plus que les autres formes de production d’énergie ne coûtaient pas cher à démanteler, mais il est certain que le coût du démantèlement des éoliennes en fin de vie sera élevé.

    Le problème n’est pas de savoir si les éoliennes consomment plus de terres rares ou sont plus chères à démanteler que d’autres formes de production d’énergie, mais de savoir si ces coûts financiers et écologiques sont suffisamment compensés par d’autres avantages. Et c’est cela justement qui est douteux…

  • ranguin , 10 juin 2014 @ 18 h 05 min

    Je ne suis pas spécialiste et surtout, je ne me targue pas de l’être, mais je sais lire.
    L’écriture ne date pas ‘aujourd’hui et bien avant les vôtres, des spécialistes écrivaient des rapports à leur suzerain. Notamment, les fermiers généraux.
    En 1788, l’été fut torride et les culture furent brûlées. L’Hiver rigoureux qui gela la terre sur plus de 25 cm de profondeurs empêcha les paysans de planter les semailles. En 1789, le peuple ayant faim, se révolta. Ca vous dit quelque chose ? La révolution française et ses causes, vous connaissez ?
    Lisez et relisez l’histoire? Celle avec un grand H, pas celle qui vous arrange pour de sombres histoires d’intérêts glauques à plus d’un titre.

Comments are closed.