À Zeebrugge, le gouverneur de la province a appelé la population à “ne pas nourrir les réfugiés, sinon d’autres viendront”.

Eric Martin
4 février 2016
Latest Update: 4 février 2016 12 h 11 min
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Ces dernières semaines, des clandestins sont arrivés par dizaines depuis Calais (Pas-de-Calais) à Zeebrugge, dans le nord de la Belgique, pour tenter de rejoindre l’Angleterre. Alors, le gouverneur de la province de Flandre-Occidentale, Carl Decaluwé, s’est exprimé à la radio à la population pour délivrer ce message : “Ne nourrissez pas les réfugiés, sinon d’autres viendront”. Des propos qui font polémique :

Migrants : polémique en Belgique

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sportman , 4 février 2016 @ 14 h 28 min
Je suis pas content du tout…..Nouvelles de France….vous m’accuser d’avoir Hier…fait un doublon de mon commentaire…alors que cela est ARCHI-FAUX…et en plus vous le supprimer(celui que je venais d’écrire????)
C.B. , 4 février 2016 @ 14 h 51 min
La brave dame qui trouve normal de nourrir ces gens qui ont faim devrait aller au bout de son raisonnement et par conséquent aussi leur ouvrir son domicile, car il ont certainement froid, besoin de dormir dans un lit, de prendre une douche, de changer de vêtements…
Olivier84 , 4 février 2016 @ 21 h 04 min
Tout à fait et, outre les besoins matériels, ces malheureux ont aussi des besoins sexuels à assouvir. Qu’elle aille jusqu’au bout de sa bonté ….
DN , 5 février 2016 @ 11 h 04 min
L’image que je vais prendre va choquer…mais je m’en fous.

Il n’y a rien de plus mignon qu’un pigeon; que le roucoulement du mâle lorsqu’ils sont en couple. En ville, on est tenté de leur donner du pain, des graines; çà amuse les enfants et puis ces pauvres créatures qui vivent dehors on leur aménage des abris pour nidifier. Bientôt ils se reproduisent, attirent leurs congénères. D’une livre de blé, vous passez vite au sac de 15kg. Puis ces charmants volatiles se battent sous vos fenêtres, chient partout, rentrent dans le grenier par une tabatière cassée, cassent tuiles et ardoises, encombrent les chéneaux de branches et de déjections, maculent votre carrosserie de pluie acide, vous réveillent au milieu de la nuit..à cette étape-là, c’est bien plus difficile de s’en débarrasser. Et lorsque, à bout de nerfs, vous sortez une carabine ou que vous mettez du grain empoisonné les voisins (non concernés) appellent le commissariat pour cruauté.

Voyez vous ce que je veux dire ???
mordela , 5 février 2016 @ 11 h 37 min
oh sportman la 2° personne du pluriel de l’indicatif prend un Z
Daniel chaudron , 5 février 2016 @ 13 h 58 min
Comme dans les zoos: “don’t feed”. Ajoutons: “don’t rape”.