Outre avoir été le plus mauvais des présidents, après Bush Jr. il fallait le faire, (il laisse en héritage une dette abyssale) l’islamo-collabo déclaré, l’immigrationniste-remplaciste, qui ordonne l’immigrationnisme-remplacisme à la folle Merkel, laquelle, en chienne docile obéie aux ordres de Washington, mais le Washington des néocons, sous l’influence desquels (démocrates et républicains) Obama signe tout. Le pire dans toute cette histoire est, que les autres caniches de l’UERSS suivent les yeux fermés cette funeste Merkel, dont on espère la prochaine disparition en 2017, comme l’annonce deux analystes réputés allemands, qui, selon les « pressetituées » allemandes, ne se seraient jamais trompés dans leurs pronostiques. Ils firent l’objet d’une de mes chroniques précédentes en lien.
Voici donc quelques uns des forfaits qu’ Obama entreprend pour miner la présidence Trump, comme ne l’a jamais fait aucun président sortant à un président élu dans l’histoire récente.
1 / Contrer toutes limitations de livraisons d’armes aux terroristes en Syrie.
Ce qui vient contredire directement les déclarations de Donald Trump qui souhaite collaborer avec la Russie contre l’ennemi commun terroriste. Obama veut éliminer Assad, Trump veut éliminer les terroristes islamiques radicaux.
2/ Soutenir une résolution des Nations Unis, destinée à créer une enquête privée sur les crimes de guerre en Syrie.
Les auteurs d’une telle enquête, tous antirusse et anti-Assad imposeront des conclusions déjà définies à l’avance. Cela vise à affaiblir Trump et son souhait de coopération avec la Russie, entre les américains traditionnels, les européens et les « alliés » arabes.
3/ Continuer à accuser la Russie d’avoir influé sur les élections.
La Russie n’a jamais influé sur les élections. Cependant, Obama persiste à menacer de punir la Russie pour des actions qu’elle n’a pas commise, ce dont désormais tous les experts sont d’accords. Même le FBI s’est dissocié de ces accusations fantaisistes. Obama s’enhardit même par des éléments qui lui sont fournis par l’état dans l’état (CIA-Pentagone), cet état dans l’état qui salive à la perspective de faire dérailler Trump dans ses efforts de réconciliation. Cet état dans l’état, je le souligne à nouveau est sous influence néoconienne, si bien démocrate que républicaine.
3/ L’abstention sur le vote de la résolution qui condamne Israël pour sa politique de colonisation sur les terrains occupés.
Sur ce dossier, Obama démontre clairement qu’il utilise le conflit israélo-palestinien comme s’il jouait au foot ! Alors, comme le titre le Washington Post : « il n’a plus rien à perdre ». Il sait très bien que Trump veut réunir les deux protagonistes. Il sait aussi que Trump est pro-israélien dans sa manière d’appréhender le dossier et qu’il pourrait en surprendre plus d’un dans cette affaire, cela des deux côtés. Donc, au lieu de permettre à Trump une approche sur table rase, il s’efforce à polluer la situation. Cette perception de la démocratie est scandaleuse. Obama montre ici son vrai visage: odieux, dépourvu de toute élégance.
Devant ces ignominies politicardes de gôche revancharde devant l’échec, certains analystes avancent que pour prévenir ce genre d’actions nuisibles, il suffirait dans le futur que le cycle d’élection devienne comme suit : Que l’élection présidentielle se tienne le 8 décembre au lieu du 8 novembre et investir le président le 2 janvier. C’est une chose que Trump prendra en considération, car il est la victime de la vendetta que lui mène Obama. L’on supposera, qu’avec la majorité républicaine dans les deux grandes institutions, la Chambre des Représentants et le Congrès, le contrôle des Républicains dans une majorité de gouvernements des états, il aura l’opportunité de mettre sur la table, cet aspect fossilisé de la démocratie américaine. La gôche est le mal absolu ! Encore une fois je persiste et signe depuis bien longtemps déjà, les neocons vont nuire à Trump jusqu’au 20 janvier et au-delà. Suite au prochain épisode dans lequel je vais revenir sur les nuisances actuelles du Satan Soros, lequel ne désarme pas de son côté, normal, il marche main dans la main avec Obama …