La chanteuse anticapitaliste Zaz chante pour une multinationale contre de l’argent…

Zaz a touché en septembre dernier 40 000 euros pour trente minutes de concert devant les quelque 600 employés du groupe d’assurances allemand Allianz, révèle Capital de janvier. Bob Vincent, son manager, a confirmé cette information tout en assurant qu’il s’agissait là du seul «ménage» effectué depuis cinq ans par Zaz. Il n’a toutefois pas précisé si elle leur a chanté le refrain anticapitaliste de son tube «Je veux»: «Je Veux d’l’amour, d’la joie, de la bonne humeur/c’ n’est pas votre argent qui f’ra mon bonheur»…

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20 Comments

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  • sergio , 4 janvier 2015 @ 15 h 50 min

    Comme quoi , l’ anti-capitalisme , ça permet d’ engranger…..du capital !…..CQFD

  • NATION , 4 janvier 2015 @ 17 h 08 min

    être de gauche rend con paraît-il… et on appelle çà des artistes…

  • Marcus , 4 janvier 2015 @ 17 h 51 min

    @ Nation
    Elle est bien celle là, je vais la retenir et je la ressortirai.
    Je vous en sers une autre qui est vieille, mais que j’adore :
    On ne peut pas être à la fois honnête, intelligent et socialiste.
    – Si on est honnête et intelligent, on ne peut pas être socialiste.
    – Si on est intelligent et socialiste, on ne peut pas être honnête.
    – Si on est honnête et socialiste, forcément on ne peut pas être intelligent.

  • hectorgalb , 4 janvier 2015 @ 18 h 37 min

    Et bien entendu personne à l’UMP ne fera une remarque sur cela ni ne développera le hic, même pas Bruno Le Maire, certifié labrador bac+23

  • gautiier , 4 janvier 2015 @ 19 h 37 min

    Hé oui camarade ! à toi la viande et à nous la salade !.
    ZAZ……Déjà ce prénom ridicule n’annonçait rien de bien interressant……
    personnellement sa voix et sa façon de chanter me porte sur les nerfs…..

  • V_Parlier , 4 janvier 2015 @ 19 h 54 min

    Justement, si c’est bobo c’est pire. Ca signifie vraiment: je joue dans la mouvance hollandiste, bobocratie qui crie à la vilaine finance et soutient tous les plans de soumissions au mondialisme, tant qu’on fait du sociétal branché.

  • panny , 5 janvier 2015 @ 10 h 00 min

    Z one
    A grand risque de
    Z izanie

    Quand on chante mièvrement des chansons ou tout est en noir et blanc (très peu, merci), on ferme sa gueule parce qu’on estime que son avis n’est pas assis sur un raisonnement mais uniquement sur l’affect, l’air du temps, la vitesse du vent, le prix du beurre, l’âge du capitaine.
    Mais, comment demander un effort intellectuel à quelqu’un qui surfe sur cette vague de Bobo-bizounoursisme et qui sait que, lorsqu’on est bêtement pour le bon, la chaleur, le retrait des notes à l’école, la GPA, on est sûr de faire le plein de voix, Je vous rappelle la sentence d’Audiard : les cons osent tout, c’est à cela qu’on les reconnait.
    La faute se trouve également dans le camps des médias qui acceptent ce genre de situation et donnent l’impression que l’avis de ces amuseurs ont une plus grande importance que celle de la majorité silencieuse.
    A quand des medias qui laissent la parole à ceux, majoritaires, qui ne sont pas d’accord avec ce martèlement de marteaux-pics qui ne peuvent regarder que dans une seule direction par cause de torticolis de bienpensance.
    Ils sont pathétiques, ces saltimbanques.

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