L’homme du “Casse-toi pôv’ con” appelle “chacun” à “maîtriser son vocabulaire” (sic)

Gonflé. Lors d’une réunion publique à Saint-Etienne, dans la Loire, Nicolas Sarkozy a appelé samedi “chacun” à “maîtriser son vocabulaire” en réaction à la polémique suscitée par les propos de Nadine Morano qui a eu le malheur de parler comme le Général de Gaulle il y a une semaine dans “On n’est pas couché” :

Le Président des Républicains a également affirmé qu’on ne combattait pas le FN « en prenant ses idées ou son langage ». Venant de Nicolas Sarkozy, cela vaut son pesant de cacahuètes !

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30 Comments

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  • Tonio , 3 octobre 2015 @ 20 h 51 min

    Il a raison: pôv’con n’est pas dans le dictionnaire!

  • Marino , 3 octobre 2015 @ 21 h 35 min

    * C’est depuis Saint-Étienne, pour soutenir, Laurent Wauquiez, candidat Les Republicains aux régionales, que Nicolas Sarkozy a mis en garde ceux qui seraient tentés par la surenchère avec le Front National. «Je veux que chacun maîtrise son vocabulaire», a lancé le patron du parti en visant la polémique déclenchée par les propos de Nadine Morano sur la «race blanche». I

    Il a rappelé la difficulté de rassembler: «C’est une tâche compliquée par les caricatures de propos mal appropriés ou mal intentionnés. Il faut que l’équipe se mette au travail au service de la France, avec pour ambition le redressement de la France.»

    Dès les premières minutes de son intervention, Nicolas Sarkozy a signifié son rejet inconditionnel du Front national, en s’appuyant notamment sur la crise des réfugiés syriens: «On ne combat pas le Front National en prenant ses idées ou son langage. Qui peut parler de personnes, de femmes et d’un gosse qui se noit, comme d’une statistique? Je laisse cela à madame Le Pen. Je suis révulsé par la façon dont madame Le Pen parle des êtres humains. Et peu m’importe les conséquences politiques de ce que je dis; je le dis parce que je le pense.»

    *Loire | Régionales : Nicolas Sarkozy vole la vedette à Laurent Wauquiez à Saint-Étienn

    Officiellement, le président des Républicains était là pour soutenir Laurent Wauquiez, le candidat aux élections régionales en Rhône-Alpes-Auvergne, mais son discours était centré sur les primaires.

    Le président des Républicains était l’invité d’honneur de ce meeting. Il s’est exprimé le dernier après Gael Perdriau, le maire de Saint-Etienne, après Dino Cinieri, le patron des Républicains dans la Loire et après le très attendu Laurent Wauquiez, le candidat aux élections régionales en Rhône-Alpes-Auvergne. Officiellement, Nicolas Sarkozy était d’ailleurs là pour soutenir le député maire du Puy-en-Velay mais la majorité de son discours de 40 minutes était centré sur des enjeux nationaux et sur sa campagne pour les primaires.

    Pendant ce discours, Nicolas Sarkozy a enfoncé le clou contre son ancienne ministre, Nadine Morano. Évincée des départementales en Meurthe-et-Moselle par le président des Républicains après ses propos sur ” la race blanche” en France, elle est devenue l’exemple à ne surtout pas suivre.

  • planck , 4 octobre 2015 @ 4 h 19 min

    pour 2017 je lui dis moi aussi
    casse toi pov’con

  • Bain-coi , 4 octobre 2015 @ 6 h 27 min

    Sarkozy a eu raison de dire au pauvre con de se casser.
    C’était en effet un pauvre con qui tendait la main pour qu’on ne la lui
    serre pas.
    Sarkozy a eu peut-être tort de reprendre Morano ?
    Qu’aurait on dit du Parti républicain si son chef n’avait pas dit à Morano
    qu’elle avait lancé un pavé dans la mare avec risques d’éclaboussures?
    D’ailleurs elle n’a pas le talent de J.M.Le Pen.

  • Frogies , 4 octobre 2015 @ 7 h 59 min

    Dans son discour Sarko prononce le mot ( Race)
    Je croyais que cela etait interdit.

  • richard b , 4 octobre 2015 @ 8 h 40 min

    Le ridicule ne tue pas! entre son karcher , et sa fuite d’eau, et son pauv con, la honte ne l’étouffe pas, et il y a encore des imbéciles de Français qui l’applaudissent. Ce sont eux les plus à blâmer .

  • jpr , 4 octobre 2015 @ 8 h 40 min

    Devant ce traitre, ce vendu aux américains, ce personnage sans consistance, sans convictions, ce lèche-bottes du politiquement correct, ce bling bling écervelé, c’est plutôt le poing que j’aimerais lui envoyer dans la figure que j’ai du mal à maîtriser…

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