Cette semaine, ce sont 15.000 Africains qui ont été récupérés par les navires du Frontex et des gardes-côtes italiens. 15.000 clandestins entrés illégalement dans l’espace Schengen, dont on peut penser que la plupart n’ont aucun droit à l’asile politique. Et alors que ce chiffre nous parvient, on apprend que la France, sur les six derniers mois, a expulsé 20 % de clandestins en moins que l’an dernier. 8.660 illégaux ont été refoulés entre le 1er janvier et le 31 juillet, contre 10.800 pour la même période en 2015. Le Figaro précise même que les demandes d’asile d’Afghans ont augmenté de 964 %. Même si cela ne concerne que 2.519 individus, cette augmentation est inattendue. En comparaison, il n’y a eu que 1.255 demandes d’asile déposées par des Syriens, pourtant les plus concernés par la guerre civile et islamique.
Il y a les chiffres, et il y a le côté humain. Ces hommes pour la majorité, ces quelques femmes, ces enfants ont choisi de venir tenter leur chance en Europe. Attirés par les avantages sociaux sans se soucier du taux élevé du chômage qui risque pourtant de ne leur offrir qu’une vie médiocre, dans des conditions de confort pour le moins précaires, nous pouvons légitimement nous interroger de plus en plus sur leurs réelles motivations. Sont-ils des envoyés de l’oumma ? Qui sont ceux qui les poussent à risquer leur vie dans une traversée de la Méditerranée qui ne peut pas être une croisière d’agrément, quand parfois ils sont cent migrants et plus sur de vieux rafiots ou des bateaux pneumatiques.
Qui sont ces 50.000 et plus adolescents appelés « mineurs isolés étrangers » qui, à travers l’Europe, sèment souvent la terreur parmi les populations qu’ils volent et violentent. Avez-vous vu cette vidéo où une trentaine de jeunes Africains saccagent une sandwicherie dans un village italien ? Ils seraient 10.000 en France ! À Rennes, on compterait entre 400 et 500 mineurs, hébergés par des activistes de gauche ou dans des squats. Ils coûteraient au département d’Ille-et-Vilaine, selon Gilles Pennelle, conseiller régional Front national de Bretagne, 15 millions d’euros par an. Cet été, tous les soirs, ils transformaient le centre-ville de Rennes en champ de bataille, pillant les magasins, se bagarrant à coups de chaises prises sur les terrasses de cafés, agressant les passagers des bus. La police, parfois, intervient. En arrête quelques-uns. Sans papiers, affirmant qu’ils sont mineurs, ils sont aussitôt relâchés pour être arrêtés quelques jours plus tard.
Gilles Pennelle écrit dans un communiqué : « La Mairie de Rennes, la Préfecture et le Conseil départemental à direction socialiste ont aujourd’hui totalement renoncé et se révèlent incapables de faire face à cette situation devenue plus que préoccupante. Celle-ci vient d’ailleurs s’ajouter au trafic de drogue existant déjà au grand jour place de la République et que les autorités laissent prospérer. »
Le 31 août, à Nantes, également fortement touchée par ce phénomène de migrants « sans âge défini », la police saisissait un kilo d’héroïne et des objets de valeur dans un squat occupé par de tels jeunes. Saisie due au hasard, car la police était venue récupérer, à la demande d’un huissier, un appartement squatté.
À Breizh Info, de jeunes Bretons ont déclaré : « Si l’État nous laisse tomber, alors nous allons devoir faire le ménage nous-mêmes, et la population nous soutiendra. »
Or, l’État a décidé de ne rien faire, ou plutôt de faire semblant, préférant choyer les clandestins plutôt que de procéder à leur expulsion. La guerre civile serait-elle plus proche que prévue ? Et aujourd’hui, pour la énième fois, Cazeneuve est allé faire son petit numéro – désormais traditionnel – à Calais, tel l’illusionniste qui veut faire croire à son public que l’on peut vider la mer avec une petite cuillère…