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Après la mise en examen du directeur de la publication du Salon beige, la condamnation de Minute, la condamnation très modérée de Ruquier quant aux propos insultants tenus sur Marine, le prochain procès du dessinateur David Miège, etc, l’on prend toute la mesure de l’iniquité de la justice Taubira quant à ceux qu’elle qualifie de réacosphère pour mieux les discréditer et les étouffer.
Au lendemain l’invraisemblable condamnation dont il a été l’objet, avec Pascal Hilout, Pierre Cassin démontre, à travers nombre d’exemples fort éloquents, le deux poids deux mesures de la justice française, et l’interdiction qu’il y a aujourd’hui de s’exprimer librement et de critiquer l’islam.
La France est le pays le plus complaisant face à l’islam radical et prosélyte. Sa justice n’en a plus que le nom. Les lanceurs d’alerte se retrouvent au tribunal en lieu et place des élites, vraies responsables du désastre.
Deux pionniers de Riposte laïque, son fondateur Pierre Cassen et Pascal Hilout, «né Mohamed», viennent d’être condamnés en appel à l’équivalent de 30’000 euros. Plutôt qu’interdire tel ou tel site, la justice française tente de l’asphyxier par ses finances.
A force d’exclusion de démocrates qui tentent d’attirer l’attention sur le danger d’un islam radical en plein essor, à force de déni de réalité, l’élite française portent une grande responsabilité dans le déclin des libertés démocratiques et la progression d’agissements et de paroles situées à des années-lumière…des Lumières.
Ceux qui devraient être sur les bancs des accusés, c’est l’ensemble de cette élite qui a délibérément laissé se déployer l’islam radical. Du port du foulard prosélyte en passant par les émeutes, les niqabs, les attaques de policiers et de sapeurs-pompiers, les territoires tombés aux mains des radicaux et des criminels, jusqu’ aux djihadiste partis en Syrie et au retour meurtrier de l’un d’entre eux, rien n’y fait. On nous ressasse encore l’immense farce du «ça n’a rien à voir avec l’islam». Exonérer cette religion est une hantise.
La plaie des mouvements antiracistes
Parmi ceux qui devraient emplir les tribunaux, on compte la totalité des mouvements antiracistes dont l’obsession est de trainer au tribunal ceux qui depuis des années tentent d’ouvrir les yeux sur le danger. Ils sont appuyés par les organismes de lutte contre l’antisémitisme qui illustrent la collusion entre les victimes du racisme antijuif et une large fraction de la communauté musulmane qui le propage sans relâche.
Certains mouvements antiracistes n’hésitent pas à attaquer directement la liberté d’expression. La pression de SOS Racisme a conduit une série de librairies à renoncer à l’invitation de Laurent Obertone pour la présentation de son deuxième livre. Obertone avait eu l’imprudence de décrire dans « La France Orange mécanique » l’augmentation terrifiante de la délinquance sanglante.
Les historiens mal-pensants à la lanterne!
La France est le pays le plus complaisant vis-à-vis des islamistes. Editeurs et médias (75% des journalistes ont voté Hollande) se liguent pour empêcher que des réalités soient dites. Pas un seul ouvrage de Riposte laïque n’a été présenté, ni même critiqué dans un média. Et lorsque des livres d’historiens connus pour leurs compétences publient des ouvrages qui contredisent la haine de soi et l’amour de l’islam, ils sont lynchés par leurs pairs: tribunes libres, pétitions pour une interdiction professionnelle, voire plainte au nom des lois antiracistes. Parmi eux, Sylvain Gougenheim (mise en cause de la thèse du savoir médiéval dû aux Arabe), Olivier Pétré-Grenouilleau (description de la terrible traite négrière arabo-musulmane) et même le sociologue Hugues Lagrange (lien entre délinquance et cultures subsahariennes).
Certains livres émergent –dans leur tirage- malgré le boycott. C’est le cas de «Ces maires qui courtisent l’islamisme», de Joachim Véliocas. Il prouve que d’innombrables mosquées ont été confiées à des extrémistes. Les autorités ont entre leurs mains toutes les raisons d’intervenir dans ces officines du radicalisme. Non seulement ils ne le font pas, mais ils persévèrent dans cette politique suicidaire.
Législations anti haine et antiracistes
Durant des années, le relais français des Frères musulmans, l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) a pu inviter à ses congrès des prêcheurs de haine, dont le fanatique Al Qaradawi. Seuls les meurtres de Mohamed Merah ont permis de freiner la tendance. Pour combien de temps ?
La justice ne fait pas exception. Le «Mur des cons» a montré de quel côté penchent une grande partie des magistrats. Rien n’est arrivé à ses auteurs.
L’évolution juridique s’illustre par une limitation de la liberté d’expression au moyen d’un usage abusif de législations «anti haine» et «antiracistes». Critiquer l’islam, condamner l’islam, détester l’islam devient risqué. On en vient très rapidement à l’équation: détestation de l’islam égale haine des musulmans. Et les juges n’étant pas épargnés par cette épidémie, le risque d’être condamné pour incitation à la haine, voire en ce qui concerne une religion à la ridicule «haine raciale», croît de manière vertigineuse.
En France, ces antiracistes ne cessent d’activer les tribunaux. Le philosophe Philippe Nemo le dénonce par une démonstration percutante de l’évolution du droit et des «lois de censure» dont l’arsenal législatif s’est progressivement doté.1) On en est arrivé à considérer des opinions, voire des constats comme des délits qui sont punis au nom de «la provocation à la discrimination ou à la haine», et dont sont victimes de plus en plus de critiques de l’islam.
«Ce que les nouvelles lois françaises de censure demandent aux juges, c’est donc de sanctionner des pensées en tant que telles (…) d’estimer leur potentialité supposée de nuisance sociale», ce qui est impossible, observe Nemo. On demande en fait aux juges «quelque chose de très proche de ce que l’Eglise demandait jadis aux Inquisiteurs, c’est-à-dire de procéder à une sorte de prophylaxie sociale.»
La liberté d’expression pour les uns…
Une association franco-musulmane a été soutenue dans la défense de l’imam de Vesoul, menacé d’expulsion, par la Ligue des droits de l’homme au nom de… la liberté d’expression. Selon les Renseignements généraux, ce religieux «propage une idéologie soutenant le djihad armé et incitant à la haine raciale contre le monde occidental et les juifs, idéologie à laquelle une partie de la jeunesse musulmane de Vesoul se montre très réceptive».
Ce qui suggère en substance ceci à Riposte laïque :
– Quand Riposte laïque s’inquiète de ces mêmes propos, présents dans le Coran, c’est de l’incitation à la haine raciale.
– Quand un imam, selon les Renseignements généraux, «propage une idéologie soutenant le djihad armé et incite à la haine raciale contre le monde occidental et les juifs», c’est de la liberté d’expression.
– Quand Riposte laïque se demande si «une démocratie doit se suicider, en laissant des fascistes utiliser ses moyens pour la détruire», c’est de l’incitation à la haine raciale.
Dans toute l’Europe, l’antiracisme frise la paranoïa.
Les Indigènes de la République à la manœuvre
Ces propos de la porte-parole musulmane du Parti des Indigènes de la République Houria Bouteldja sont parues dans une revue féministe (!) animée par Christine Delphy. «Demain, la société toute entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc. Et ce sera toi (réd Blanc), ce seront tes enfants qui subiront çà. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres. (…) Les Indigènes de la République, c’est un projet pour vous; cette société que vous aimez tant, sauvez-là… maintenant! Bientôt il sera trop tard: les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. (…) Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs».
Le 14 décembre 2008, c’est pour l’expression «sous-chiens» utilisée pour qualifier les Français d’origine européenne, que la porte-parole passe en jugement. Elle est relaxée. Elle avait aussi qualifié Pascal Hilout de «bougnoule de service» parce qu’il se battait pour la loi contre les signes religieux. Plaignant débouté.
Les écrits de la militante ne dérangent pas le moins du monde une grande partie de la gauche, de nombreux professeurs et des personnalités du mouvement antiraciste. Ils signent une pétition pour réclamer sa liberté d’expression. Elle est fréquemment invitée sur les plateaux télé. Pierre Cassen en revanche, débatteur exceptionnel, n’a jamais eu ce privilège.
Et l’immense majorité des “musulmans intégrés” qui ne pipent pas mot devant le désastre sont-ils vraiment intégrés?
Rappelons les résultats d’une étude allemande de 2008 effectuée auprès de musulmans d’origine turque et marocaine de six pays. Réponses possibles : je suis d’accord, pas d’accord, ni l’un ni l’autre. Résultats pour la France:
«Les musulmans doivent revenir aux racines originelles de l’islam» : 61% d’accord. «Il n’y a qu’une interprétation possible du Coran et tout musulman doit s’y tenir» : 82%. «Les règles du Coran sont plus importantes pour moi que les lois de la France»: 73%.