formidable !!!là au moins on est en France c”est le seul moment ou on y crois;car si l”on habites dans les grandes villes tel que lyon ;Marseille ;paris ou lille;c”est le kosovo l”algerie et l”afrique mais p
Charles , 4 septembre 2013 @ 9 h 20 min
Les fêtes au pays representent la meilleure manière
de reconstruire notre lien sociétal.
Nous avons reçu un héritage collectif de nos ascendants
dont nous tardons trop à prendre conscience.
Il est du devoir de chaque génération de savoir transmettre
cet héritage collectif aux générations nouvelles.
Les enfants émerveillés comprennent intuitivement la valeur du message.
Ils constituent le public central de ces manifestations culturelles.
“Faire” des enfants est un vrai métier,une spécialité de très haute technologie
qui demande une attention de tous les instants de la part des parents.
Plus encore de nos jours qu’ il y a 30 ans.
Le centre de cette “spécialité ” consistant à “fabriquer” des souvenirs heureux
pour nos enfants,par des espaces temps atypiques insérés dans le quotidien.
Bravo aux organisateurs de ces fêtes au Pays et à tous les acteurs.
Vous tracez la voie du futur pacifié.
NB-En général, les POC (personnes d’origine clandestine)
fuient ces événements qu’elles voudraient bien pouvoir interdire
au nom de la lutte contre la nauséabonderie identitaire.
La poulice poulitique UMPS fait ce qu’elle peut pour freiner ce genre d’événements.
La dernière phase de cette redécouverte sera le retour
vers le signe symbolique immémorial,celui de la liturgie catholique authentique.
Dans ma jeunesse des années 50,le 1/3 du village se retrouvait à la messe
avec 4 messes chaque dimanche;7H, 8H30, 10h,11 H 30.
Avant guerre,la première messe était a 6H30.
OH la vache ... , 4 septembre 2013 @ 11 h 33 min
Je veux bien être chrétien, mais devoir me lever à 06H30 un dimanche, non.
Et puis, quatre messes le dimanche … une seule, ou deux, n’est-ce pas déjà suffisant ?
Charles , 4 septembre 2013 @ 11 h 56 min
Bien évidemment.
Tout est une question de circonstances.
Dans certains cas,on peut bien vouloir se réfugier
dans une abbaye et suivre Matines a 3H du matin.
Dans le cas courant,la vie étant bien plus complexe,
je me contenterai d’une messe “rapide” de 45 mn
à des heures sereines ,type 11h,compte tenu
de la distance qui serait à parcourir.
Il va de soi que nous parlons d’une liturgie recueillie
et donc en partie grégorienne.
ce qui ,le plus souvent,exige un déplacement de près de 1 H.
Charles , 4 septembre 2013 @ 11 h 59 min
Je ne fait que vous décrire l’offre de messes.
Il est bien évident que les paroissiens n’allaient pas
aux 4 messes de suite,mais choisissaient la tranche horaire
la plus adaptée pour leur situation.
La plus belle messe étant celle de fin de matinée.
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