Alain Delon : «L’homosexualité est contre-nature»

Invité d’Anne-Sophie Lapix dans “C à vous” sur France 5 ce lundi 2 septembre, Alain Delon a expliqué que s’il n’a “rien contre les gays qui se mettent ensemble”, il juge l’homosexualité “contre-nature” : “On est là pour aimer une femme, pas là pour draguer un mec”, affirme l’acteur (vers 8 minutes) :

La question des revendications homosexuelles est de nouveau abordée un peu plus tard :

Voici l’émission dans son intégralité :

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143 Comments

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  • monhugo , 5 septembre 2013 @ 2 h 06 min

    Principe de précaution réclamé par “ces gens” (les hémophiles), qui ont quand même pas mal souffert (“sang contaminé”). Donner son sang n’est pas un droit.

  • Dōseikekkon , 5 septembre 2013 @ 2 h 12 min

    à l’adolescence un jeune est
    dans une pérode hormonale
    délicate ? Il peut ainsi se
    tourner vers l’homosexualité

    Vous ne croyez pas que, si l’homosexualité avec quelque relation que ce soit avec les hormones, il y a belle lurette que les endocrinologues s’en seraient aperçus ?

  • monhugo , 5 septembre 2013 @ 2 h 15 min

    Le mariage n’est pas un instrument de promotion de la sexualité. C’est du droit. Avec la Taupe, on est passé à l’idéologie. Il faudra revenir au droit.
    Le devoir de fidélité est fondé juridiquement, pour éviter les conflits de filiation, a priori.
    Qu’est-ce qui fonde un tel devoir chez les homos ? Mystère…. Mais si : l’idéologie. Vous noterez que je ne vise pas les autres devoirs entre conjoints, car le respect, le secours et l’assistance, là cela vaut pour n’importe quelle société à 2, même “désexuée” – au rebours donc de la fidélité.
    Le mariage, ce n’est pas la recommandation sociale de la paraphilie (qui n’est pas une maladie, mais un comportement déviant – pour autant, licite pénalement quasiment toujours), ce n’est même pas le courrier du coeur.
    La juriste vous répond comme d’habitude : ne pas confondre droit pénal et droit civil !

  • monhugo , 5 septembre 2013 @ 2 h 17 min

    Pas faux, il a le teint rubicond.

  • Dōseikekkon , 5 septembre 2013 @ 2 h 54 min

    monhugo : « Principe de précaution réclamé (…) »
    Le « principe de précaution » – tel que défini dans la Constitution – ne concerne que les questions environnementales.
    Il est en outre appliqué ici – comme je l’ai indiqué plus haut – par des gens qui raisonnent comme des tambours.
    Ainsi, fin 2011, c’est l’American Medical Association qui soulignait le manque de pertinence scientifique d’une telle attitude :

    « (…) les critères
    d’exclusion actuels violent ce
    principe. Pour partie ils
    reflètent non les réalités
    contemporaines des VIH/SIDA,
    mais plutôt l’état des
    connaissances lors des premières
    années de l’épidémie, avant que
    la maladie ne fût convenablement
    décrite au plan épidémiologique
    et, élément important, avant la
    survenue de méthodes hautement
    sensibles & spécifiques,
    utilisées aujourd’hui pour
    tester tous les dons de sang.
    En l’absence de tests précis,
    l’exclusion de populations
    définies par leur comportement
    et au sein desquelles la
    prévalence d’une infection
    donnée est élevée peut se
    justifier, de même qu’imposer
    des durées d’exclusion
    différentes pour des populations
    différentes, en se fondant sur
    des prévalences & taux de
    transmission différents selon
    ces populations.

    Alors que le sang donné peut
    désormais être testé
    directement, la manière dont le
    donneur s’est infecté perd sa
    pertinence au regard de la mise
    en danger du lot de sang, chaque
    donneur infecté posant le même
    risque détectable en dehors de
    la “période de silence”* pour
    une maladie donnée.
    Grâce au NAT (test de l’acide
    nucléique) cette période est
    actuellement de 11 jours pour
    le VIH.
    Pourtant, malgré l’obligation
    d’utiliser le NAT sur tous les
    échantillons de sang, en vertu
    des dispositions actuelles, les
    hommes qui ont eu un contact
    sexuel avec un autre homme
    depuis 1977 sont interdits de
    don de sang définitivement,
    alors que les hétérosexuels
    ayant eu une relation avec un(e)
    partenaire infecté(e) par le
    VIH, de même que les femmes
    ayant eu une relation avec un
    HSH ne sont interdits de don que
    durant les 12 mois suivant la
    dernière relation. »

  • Dōseikekkon , 5 septembre 2013 @ 3 h 06 min

    Il y a un bug dans le système qui fait que je ne parviens pas à mettre le lien vers le document précédent.
    Autre méthode : cherchez dans Google cette expression :
    “CEJA Report 2-I-11”

    Le premier lien qui s’affiche est le bon.

  • Dōseikekkon , 5 septembre 2013 @ 3 h 18 min

    • Le mariage n’est pas un
    instrument de promotion de la
    sexualité.

    En effet.
    Pas plus après qu’avant la loi Taubira.

    • ce n’est pas la
    recommandation sociale de la
    paraphilie

    Ainsi que je vous l’ai fait remarquer autre part – justification à la clef – et si c’est à l’homosexualité que vous pensez, elle n’est une paraphilie que pour les idéologues.

    http://www.ndf.fr/nos-breves/30-08-2013/enfant-4-ans-martyrise-lesbiennes#comment-125356

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