Les députés européens étaient réunis mardi 1er juillet pour élire leur président, le social-démocrate allemand Martin Schulz. Parmi eux, Jean-Marie Le Pen, interrogé par la Nederlandse Omroep Stichting (NOS), l’organisation des radios et télévisions publiques néerlandaises, à propos de ses anciennes déclarations sur « les chambres à gaz » qu’il qualifiait de « détail » de la Seconde Guerre mondiale. « Je ne regrette rien », répond le Président d’honneur du Front national avant de chanter quelques paroles d’Edith Piaf : « Non, rien de rien, non je ne regrette rien !»