La ville d’Orange rappelle sur les plaques de la rue nouvellement nommée que le colonel Arnaud Beltrame fut “victime du terrorisme islamique”

8 Comments

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  COLMAR , 3 avril 2018 @ 14 h 32 min

  Très bien, 9 autres villes dirigées par le FN devraient l’imiter. Sans délai.
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  Jacky4546 , 3 avril 2018 @ 16 h 49 min

  Et toutes les autres villes de France ! Bravo au Conseil Municipal d’Orange.
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  yves tarantik , 3 avril 2018 @ 17 h 42 min

  Bravo à la Municipalité de la Ville d’Orange.
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  AURORE ANGELIQUE , 4 avril 2018 @ 7 h 58 min

  TRES BIEN
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  Marguerite , 4 avril 2018 @ 7 h 58 min

  L’émotion submerge tout : vite, vite, les médailles, les couronnes dé sainteté, maintenant les plaques des rues …. Ce n’est pas là qu’il faut agir mais prendre les fourches et bouter à la mer tous nos ennemis …. puisque nous sommes en guerre, n’est-ce pas ?
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  BMN , 4 avril 2018 @ 9 h 13 min

  @Marguerite : je comprends votre exaspération, mais n’en partage pas le fond ;
  en effet, donner un nom de rue et mettre des plaques, surtout quand elles décrivent la réalité, est un acte symbolique et culturel, pour ne pas dire spirituel en l’occurrence, et c’est de fait livrer bataille à l’ennemi.
  Ça n’est pas un hasard si les municipalités communistes donnent aux rues les noms de Marx, Lénine, Staline, etc …,
  on sait bien que le pouvoir se prend d’abord par la culture, à commencer par le langage au sens large (parole, écrit, communication, …)
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  Hilarion , 4 avril 2018 @ 16 h 14 min

  Je partage votre avis, BMN. Et à une époque ou le nom de l’ennemi n’est prononcé qu’avec peur par nos “ir”responsables politiques, les mots ont leur importance et à fortiori le nom des héros.

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