“Français de souche” : Patrick Cohen fait la leçon à Apolline de Malherbe

25 Comments

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  F_186 , 14 mars 2015 @ 16 h 16 min

  Moi-même, suis irlandaise-bretonne (celte) et germanique par mes ancêtres et me reconnais pleinement française de souche. J’aime mon pays et j’aime surtout, particulièrement, étudier la longue lutte depuis les débuts jusqu’aux révolutions du peuple dit français de souche pour conquérir ses droits un à un et pour ne pas lâcher prise. Toutes ces révoltes ont été lavées dans le sang des Français de souche. Hommes et femmes, ils sont tombés, et les enfants de même, pour conduire le peuple là où il devait arriver au final, à la conquête de ses droits imprescriptibles et sacrés. Les souffrance du peuple sont multiples. Pendant des siècles, et des siècles, et des siècles.
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  F_186 , 14 mars 2015 @ 16 h 26 min

  Evidemment, Mme de malherbe a la chance d’appartenir à une caste qui ne sait pas ce qu’est la souffrance et qui ne l’a jamais su.
  A l’époque médiévale, le seigneur payait l’impôt du sang. Mais c’est aussi à l’époque médiévale que de valeureux combattants, roturiers, ont été faits chevaliers, du fait de leur courage au combat.
  Ce que devient la noblesse plus tard, qu’on appellera ensuite aristocratie, est ce qu’ont voulu en faire les nobles dans leur majorité, ainsi que le mépris qu’ils avaient pour ce qu’il était convenu d’appeler le misérable Tiers-Etat, c’est-à-dire “rien” ou le reste du peuple qui crevait sous l’impôt et les corvées, hors le clergé et la noblesse.
  Mme de Malherbe nous fait presque regretter le temps de la Révolution où les siens devaient monter à l’échaffaud pour embrasser la veuve avec du panache. C’était le moins de ce que le bon peuple de Paris demandait. Effectivement, on peut penser que le peuple exagérait dans ses demandes, mais finalement, il n’avait peut-être pas si tort.
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  DN , 14 mars 2015 @ 21 h 18 min

  Analyse intéressante et avec laquelle je suis d’accord à 90%.. Reste les “pires méfaits sous le régime de Vichy”.
  Cher Monsieur, faisons de la politique-fiction : je vais vous désigner chef de l’Etat à 84 ans en période d’occupation nazie, et vous allez tenter, le couteau sous la gorge, de :
  -nourrir tant bien que mal une population de 40 millions d’individus;
  -organiser les secours civils sous les bombardements (alliés);
  -négocier un par un le retour de 2 millions de compatriotes prisonniers;
  -sauver 90% des juifs français;
  -maintenir l’empire français intact;
  -réarmer l’armée de revanche en Afrique du Nord et en zone libre (chantiers de jeunesse…etc…);
  -faire repartir la fécondité française (institution de la médaille de la famille, de la fête des mères…etc);
  -soutenir l’agriculture et maintenir l’industrie, en dissimulant une grande partie de la production aux yeux de l’occupant;
  -…j’en passe.

  Félicitations si vous parvenez au même résultat que ce courageux et roublard Philippe Pétain, emmené en Allemagne par la Gestapo en 44 à 88 ans, mort dans un cachot français à 95 ans en 1951.
  C’est pourtant la Vérité historique.
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  Psyché , 14 mars 2015 @ 22 h 18 min

  Gravissime comme elle “se la pète” ! arrogante, cassante, imbue de sa personne, elle ne cesse de couper ses interlocuteurs et elle manque carrémment de niveau à son “poste”. Cette pseudo-journaleuse de salon se pose en censeur universel sans rien comprendre à la réalité, est la parfaite incarnation du boboïsme parigot d’Anal+.

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