Longtemps “icône” de Délit d’images, nous connaissions par coeur la vie d’Aurélie Filippetti, ce lamentable ministre de l’Inculture, de mai 2012 à août 2014… Nous avions subi sa love story avec Saint-Sernin, rencontré chez le coiffeur.. Puis Aurélie a suivi Montebourg, son nouvel amour et a quitté le gouvernement, puis nous a exhibé sa grossesse, puis leur séparation.
Et revoici Aurélie, avec un nouveau roman (à clefs), dans lequel elle raconte encore sa vie car elle ne sait faire que ça. Comme La Schiappa, elle aime beaucoup narrer ses histoires “de matelas”… (Les preuves)
Aujourd’hui, elle crache dans la soupe et joue aux pures et dures, à la victime.. alors qu’elle a bien bouffé au ratelier, comme tout bon politique de ce niveau. L’on ne devient pas ministre par hasard… et celui de la Culture parce qu’en pensant rue de Valois, l’on a vu de la lumière…
Sur Aurélie Filippetti, Délit a beaucoup écrit et dit (nombre d’émissions sur Radio Courtoisie)… Il vous suffit de taper son nom dans le moteur de recherches pour bénéficier de témoignages diversifiés comme de ses saccages et carnages… Il existe même une vidéo “de jeunesse”, très cocasse, où Aurélie est très très en colère…
Résumé éditeur
Une femme, un homme, une histoire d’amour et d’engagement.
Tout les oppose, leurs idées, leurs milieux, et pourtant ils sont unis par une conception semblable de la démocratie.
Au cœur de l’Assemblée, ces deux orgueilleux se retrouvent face aux mensonges, à la mainmise des intérêts privés, et au mépris des Princes à l’égard de ceux qu’ils sont censés représenter.
Leurs vies et leurs destins se croisent et se décroisent au fil des soubresauts du pays.
Lorsque le pouvoir devient l’ennemi de la politique, que peut l’amour ?
Romancière (Les derniers jours de la classe ouvrière, Stock, 2003 ; Un homme dans la poche, Stock, 2006) et enseignante, Aurélie Filippetti a été députée et ministre de la Culture.
