Je refuse de payer le nouveau service de porcelaine “de” Macronella!

Petite prof de français de province, la voici promue First Lady of  France pour avoir jeté, à la quarantaine, son dévolu sur un gamin “génial”.  Elle a tout ce qu’elle veut: un grand palais où, elle peut jouer à la princesse avec des mini robes de luxe qui lui sont données, des maquilleurs professionnels car il est probable qu’elle ait profité un peu des peinturlures, des esclaves payés par le contribuables, etc.

Il est probable que vous régliez aussi l’entretien de ses nombreux perruques, à défaut, vous auriez réglé ses frais de coiffeur et ce ne fut pas 10 000 euros par mois…

Elle est somptueusement nourri, ce qui est inacceptable car je ne comprends pas pourquoi les soirs de non-réception, ce n’est pas Brigitte qui tambouille des petits plats pour son mari, après des course faites par ses soins et payées par eux, comme avant.

De plus, vous nourrissez leur chien, leurs copains et pas que…

Mais voilà que Macronella fait des caprices: elle veut changer la porcelaine de l’Elysée!

Comme c’est nous qui payons et qui payons absolument tout, il nous est interdit de savoir à quel chiffre s’élève, entre autres,  le nombre d’assiettes du palais mais il doit en contenir plus que pléthore et pas du Pyrex.

Selon Gala, il se trouve que madame Macron, jeune et moderne, voulant un service plus design, a pris contact à cet effet avec la manufacture de Sèvres.

Selon moi, comme tout un chacun, il lui faut faire avec ce qu’elle a et elle a déjà beaucoup!

Il est fort probable que la commande soit chose faite.

Je me refuse de la régler. Stop!

Alors faites circuler l’info, jusqu’à ce qu’un contribuable, moins débordé que moi,  prenne le temps de monter une pétition  lui disant notre refus de payer pour ses inacceptables caprices de monarque républicaine.

Je sais bien que  les précédents assistés de l’Elysée firent de même mais il serait temps et fort opportun, qu’on leur rappelle ainsi qu’à tous les élus et assimilés, qu’ils ne sont que nos salariés.

Et puisque le code du Travail s’assouplit en faveur du patronat, profitons en!

 

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