J’ai pris la liberté de traduire un texte (voir ici) écrit par un employé de la firme aéronautique US Lockheed Martin qui, dans le cadre de son activité professionnelle, a découvert la réalité de l’inégalité des aptitudes entre les groupes ethno-culturels. Comme vous vous en douterez, une entreprise de cette dimension (voir ici) ne peut pas se permettre de se rouler dans la bauge égalitaire si cela doit lui coûter des dizaines de millions de dollars. Pas de place donc pour l’idéologie antiraciste. Dans cet article, vous allez comprendre que l’islam n’est pas tant une religion qu’une superstructure culturelle et une matrice raciale involutive.
Durant un programme de transition avec des KV-107 et des C-130 avec Lockheed, nous avons découvert que la plupart des stagiaires saoudiens avaient une vision nocturne très limitée, même lors des nuits de pleine lune les plus éclairées.
Leur [les pilotes saoudiens, ndlr] capacité absorption des données était minimale, à l’instar des personnels de maintenance. Certains avaient de faibles mémoires et devaient se faire rappeler constamment des choses qui leur avaient été dites le jour précédent. Un Américain, un Britannique ou n’importe quel autre instructeur occidental s’épuise rapidement. Il a fallu des années aux pilotes musulmans de C-130 avant qu’ils puissent voler dans le noir en toute sécurité et ils demeuraient rétifs à s’éloigner des lumières d’une ville.
Demandez à n’importe quel Marine, personnel de l’US Air Force ou de l’US Army qui a du entraîner des Irakiens, et tout spécialement des Afghans. L’islam n’est pas seulement une religion, c’est un mode de vie intégral. Il y a encore un ensemble de faits révélateurs au sujet des croyances et traditions ou du mode de vie islamiques : 1400 ans de consanguinité.
Nikolai Sennels est un psychologue danois qui a procédé à des recherches très étenduess sur un problème peu connu du monde musulman : les résultats désastreux de la consanguinité musulmanes résultant du mariage entre cousins du premier degré. Cette pratique, qui a été prohibée par la tradition juive et chrétienne depuis l’époque de Moïse, a été validée par Mahomet et a prospéré depuis 50 générations maintenant (1400 ans) dans le monde musulman.
Cette pratique de la consanguinité ne disparaîtra jamais du monde musulman pour la raison simple que Mahomet est l’exemple ultime qui a toute autorité sur tous les sujets, y compris le mariage.
La consanguinité massive dans la culture musulmane pourrait avoir causer des dommages virtuellement irréversibles au socle génétique musulman, notamment des dégâts majeurs sur leur intelligence, leur santé mentale, ou leur santé tout court. Selon Sennels, près de la moitié des musulmans du monde sont consanguins. Au Pakistan, les chiffres approchent les 70%. Même en Angleterre, plus de la moitié des immigrés pakistanais sont mariés à leurs premières cousines. Au Danemark, le nombre d’immigrés pakistanais consanguins se situe à 40%.
Les chiffres sont aussi dévastateurs dans d’autres pays musulmans important : 67% en Arabie Saoudite, 64% en Jordanie et au Koweït, 63% au Soudan, 60% en Irak et 54% aux Émirats Arabes Unis et au Qatar.
Selon la BBC, ces Pakistanais, dont la consanguinité est influencée par la tradition islamique, verraient leur comportement être la cause de la forte probabilité pour leurs familles d’avoir des enfants avec des désordres génétiques récessifs, 13 fois supérieure à la moyenne. Alors que les Pakistanais ne représenteraient que 3% des naissances du Royaume-Uni, ils représentent 33% des enfants avec des problèmes génétiques à la naissance.
Une capacité intellectuelle diminuée est une autre conséquence dévastatrice de la consanguinité dans les mariages musulmans. Selon Sennels, les recherches montrent que les enfants de mariages consanguins perdent de 10 à 16 points de QI et que leurs aptitudes sociales se développent bien plus lentement chez les bébés consanguins. Le risque d’avoir un QI inférieur à 70 – la limite officielle pour être classé comme déficient mental – s’accroît de 400% chez les enfants nés de mariages entre cousins.
Au Danemark, les immigrés non-occidentaux ont 300% de chances de plus d’échouer au test d’intelligence pour pouvoir entrer dans l’armée danoise. Sennels déclare : “La capacité à bénéficier et produire du savoir et de la pensée abstraite est simplement plus basse dans le monde islamique”. Il souligne que le monde arabe ne traduit que 330 livres chaque année, soit 20% de ce que réalise la Grèce seule.
Durant les dernières 1200 années de l’islam, seulement 100 000 livres ont été traduits en arabe, soit ce que traduit l’Espagne chaque année. 7 Turcs sur 10 n’ont jamais lu un livre. Sennels souligne les difficultés que cela engendre pour les musulmans qui cherchent à réussir en Occident. “Un QI plus bas avec une religion qui dénonce la pensée critique, rend certainement plus difficile pour beaucoup de musulmans d’avoir du succès au sein de nos sociétés du savoir de haute technologie”.
Seuls 9 musulmans ont gagné le Prix Nobel et 5 d’entre eux l’ont reçu au titre de “Prix Nobel de la Paix”. Selon le magazine Nature, les pays musulmans produisent seulement 10% de ce que produit en moyenne le monde en matière de recherche scientifique mesurée par article [de revue scientifique] par millions d’habitants.
Au Danemark, les statistiques indiquent que 64% des enfants de parents arabes sont toujours illettrés après 10 ans de scolarité au sein du système danois. Le taux d’abandon des immigrés au sein des lycées danois est deux fois supérieurs à celui des autochtones.
L’islam n’est pas, on le voit, qu’une simple offre spirituelle parmi d’autres. C’est un système total qui a produit, en 1400 ans, une formidable entreprise d’involution culturelle et raciale. Involution qui à son tour garantit la permanence de “l’islam-système” dans les territoires qu’il a conquis.
En forme de conclusion, l’on peut dire que si le musulman peut – virtuellement – quitter l’islam, en revanche l’islam ne peut guère quitter le musulman dont il est le produit biologique définitif. Idéologie et race s’unissent en tout solide qui explique l’irréductibilité des atavismes comportementaux des peuples subjugués par “l’islam-système”.
Dans ces conditions, on comprend l’ampleur du désastre induit par l’immigration islamique. Désastre encore amplifié par l’ignorance des sociétés d’accueil qui appuient et encourage la colonisation culturelle.