Dans la nuit de mercredi à jeudi, la permanence du délégué général de la République en Marche, Stanislas Guerini, a, à son tour, été dégradée. Des graffitis fustigeant le Ceta et la police ont été peints sur les vitrines de l’établissement.
C’est la tête du parti présidentiel qui est aujourd’hui visée. Alors que Stanislas Guerini, délégué général de la République en Marche, apportait mardi son soutien aux parlementaires dont les permanences avaient été dégradées et dénonçait des «actes délictueux qui doivent être condamnés», il fait aujourd’hui les frais de cette vague de dégradations. «Non au Ceta», «la police tue»… des graffitis ont été peints sur les vitrines de sa permanence, dans la nuit de mercredi à jeudi. Ces messages accusateurs dénoncent donc la ratification du traité de libre-échange avec le Canada (Ceta), ainsi que la violence policière. […]