Les jeunesses genderiennes ont leur camp !

69 Comments

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  asina_asinam_fricat , 4 août 2013 @ 8 h 34 min

  La robe, Roban, du très jeune enfant avant l’âge alors plus tardif de la maîtrise sphinctérienne, présentait un avantage pratique connu par qui a déculotté et torché …
  Des anglaises je n’en ai pas vu mais pour plusieurs ascendants dans les années pré-14 je dispose de photos catégoriques témoignant de la véracité de l’assertion proposée par Mme Goupille nonobstant le caractère pré-explosif de son pseudonyme.
  Gardez-vous de la dé-goupiller …
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  asina_asinam_fricat , 4 août 2013 @ 8 h 58 min

  Le 3 août 2013 à 11:48 at 11 h 48 min
  je vous livre la référence René Girard.
  Le 3 août 2013 à 13:38 at 13 h 38 min
  vous êtes indifférent à cette incise.
  Le 3 août 2013 à 15:45 at 15 h 45 min
  vous ne percutez pas davantage.
  Il nous faudra attendre jusqu’au
  3 août 2013 à 18:16 at 18 h 16 min
  pour que tout à trac vous vous
  “souveniez” que :
  ” Girard, [ ] fut mon collègue et un peu mon ami ” …
  Pour qui nous prenez-vous ?
  Nous avons essayé de vous assister dans cette évidence douloureuse que vous-même avouez de votre ” équilibre instable “, mais personnellement je n’ai pas la compétence professionnelle qui vous soulagerait.
  Quelque lectrice ou lecteur de NDF pourrait-elle/il aiguiller M. Alverma vers une piste qui lui soit adaptée ?
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  Roban , 4 août 2013 @ 11 h 59 min

  Et bien, j’aurais appris qq chose, merci asina… Je n’ai pas de photo de mon père en robe, sur les miennes vers 3/4 ans je portais un short même si j’avais les cheveux un peu longs, mais sans anglaises !
  Je suivrai néanmoins votre conseil concernant Mme Goupille.
  A propos de votre pseudo, ne serait-ce pas plutôt : Asinus asinum fricat ? C-à-d. “L’âne frotte l’âne” C’est un souvenir de mes cours scolaires de latin, mais je ne sais plus ce que cela veut dire exactement. Reste à savoir qui est le 2ème âne !
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  Alverma , 4 août 2013 @ 15 h 05 min

  Je crois que je vais renoncer à échanger quoi que ce soit avec vous. Si vous me reprochez de ne pas faire étalage de mes connaissances et de mes relations, c’est dans mon naturel discret, ne vous déplaise.
  Dans mes échanges avec des gens plus normaux, je n’ai besoin de personne pour m’aiguiller. Mais vous croyez être méticuleux et précis, alors que vous n’êtes que tatillon; je me pose beaucoup de questions, et vous, vous croyez être en possession de toutes les réponses. Grand bien vous fasse! Mais c’est agaçant, et j’ai passé l’âge de d’emm…, c’est pourquoi: bonsoir!
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  Républicain non aliéné , 4 août 2013 @ 16 h 21 min

  Il y a des humains qui vivent simplement, qui se savent homme ou femme et qui se comportent comme tel en toute simplicité. Et puis il y a une catégorie, heureusement minoritaire, d’individus qui se coupent les cheveux en douze.

  Au sein de l’humanité il n’y a que des hommes et des femmes, des sains d’esprit et des malades mentaux qui s’enfournent des pieds de chaise ou torturent leur sexualité en une centaine de compartiments. Autant de tessons du miroir brisé du narcissisme hédoniste que notre société gangrenée par l’hyper individualisme permet. Le gouffre est profond.
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  Pablo , 4 août 2013 @ 17 h 58 min

  Je confirme pour les robes et les anglaises des petits garçons au début du XX° siècle : je possède des photos de l’un de mes grands-père, Pierre-Gustave, et de son frère Raymond dit Henri.

  Et bien sur plusieurs photos, prises entre 1902 et 1906, mon grand-père et mon grand-oncle, âgés de 2 – 3 ans, portent des robes courtes évasées, et sont coiffés d’anglaises. La mode sans doute dans une certaine bourgeoisie de province.

  A noter que dès 4 ans, je les retrouve en photos, la chevelure cette fois coupée court, en tenue de petit marin, typiquement de garçonnets cette fois !!
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  ilmarinen , 4 août 2013 @ 18 h 34 min

  Voilà ce que c’est, de se dopper à la testosteronne ! Ca fait des couillonnes !

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