Les jeunesses genderiennes ont leur camp !

Idéologie du genre. Slate.com propose un reportage photo réalisé à partir du travail militant de Lindsay Morris sur un camp d’été de quatre jours pour jeunes garçons ayant des doutes sur leur identité ainsi que leurs parents, intitulé “Tu es toi”. On vous prévient, la laideur s’y dispute au ridicule et à la perversité des parents, sans parler des clichés grotesques (se prendre pour une fille, ce serait forcément se maquiller, croiser les jambes, etc.).

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69 Comments

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  • Goupille , 3 août 2013 @ 16 h 02 min

    Tous nos grands pères et nos pères étaient habillés en robe et portaient des anglaises jusqu’à trois quatre ans. Cela ne les a pas empêché d’aller combattre en 14, en 39, en Indo, en Algérie. Et de faire ce qu’il fallait pour que nous soyons ici…

    Par contre, ces couillonnades yankees sont une preuve nouvelle et supplémentaire de la décrépitude de ce peuple de tarés : non seulement ils pervertissent leurs petites filles en les inscrivant dans des concours de mini-miss, mais ils s’en prennent maintenant à leurs fils… Etrange, d’ailleurs, qu’ils ne fassent pas des camps équivalents pour les gamines qui grimpent dans les arbres, jouent avec des petites autos et des billes, et se prennet pour des c

  • Goupille , 3 août 2013 @ 16 h 12 min

    Et hop, c’est parti tout seul…

    … et se prennent pour des camionneurs.
    A croire qu’il y a, au fond de leur décomposition intellectuelle et morale, un vieux tabou sur la fille, obligatoirement féminine jusqu’à la caricature, future épouse, future mère, et que les garçons seuls ont droit à la castration symbolique…

    Et, toujours, cette propension qu’ils ont à s’agglutiner pour traiter leurs problèmes. Le yankee est grégaire.

    Quand on voit cela, on se dit qu’il faudrait vraiment instaurer un permis de parentalité…

  • asina_asinam_fricat , 3 août 2013 @ 17 h 50 min

    1° Je veux bien vous croire sur parole si vous vous dites étranger à LGBTP, je prends à témoin des tiers sur au moins des ambigüités qui pouvaient laisser penser le contraire dans certains de vos propos

    2° Je répète que le mot bisexualité a été forgé dans le contexte des réflexions de Freud sur comment se développe une identité de genre chez l’enfant par stades successifs, et chez les enfants de 4 ans ils vont passer d’une “bisexualité” ou plutôt a-sexualité par ignorance au premier round expérimental entre genre-papa et genre-maman avec cette possibilité d’épisode très rivalitaire en accord avec la pensée ultérieure du catholique Girard

    3° Vous affirmez péremptoirement que les ” adolescents passent, tous, par une phase d’indétermination ” : mais ce TOUS est purement idéologique et militant !!! Cela fait penser à la formule “prendre ses désirs pour des réalités” … Le taux d’ados (disons 14 à 17 ans) qui en sont encore au touche-zizi entre gars ou au touche-frifri entre filles est marginal même si peut-être il est voulu en augmentation sous propagande banalisante-promotionnelle par les “cours” de néo-biologie à la Lyssenko… Il y a 15 ans nous avons fait signaler un affichage sauvage dans un CDI de lycée par une poignée d’ados intoxiqués, 4 pages piquées sur internet avec d’une part un slogan “le cannabis fait zéro mort” (!) et d’autre part le même catéchisme “à l’adolescence il est normal d’hésiter entre homo et hétéro” …
    Et puis décrivez donc vos ” conduites assez innocentes quoique significatives pour qui sait observer” … observer ou fantasmer ?

    4° Vous glissez au passage le discrédit sur des ” confesseurs obsédés ” : mais la confession est un acte volontaire de la part du paroissien, vous vous croyez sous l’Inquisition ?

    5° Vous avez bien raison de rappeler l’existence des pensées de Jung, la libido dominandi non sexuée, etc… trop oubliées. Et de remettre la dimension purement érotique de la vie à la place limitée qu’elle doit occuper, toutefois je vous rappelle que le thème inaugural de cette page traite d’une choquante pratique anti-sexuelle imposée à des garçonnets sans défense…
    Roudinesco, auto-proclamée historienne de la psychanalyse, a peut-être été lacanienne mais depuis son ralliement au lobbyscule LGBTP elle ne peut plus l’être …

    6° Je n’ai jamais dit que vous alliez me vouer aux gémonies mais que ce seraient de vrais fanatiques freudiens qui le feraient en lisant mes positions, puisque vous aviez cherché à me discréditer de la sorte.

    Ce dialogue ouvert à tiers mais à visages couverts devient fatigant et me laisse perplexe vous concernant.

  • asina_asinam_fricat , 3 août 2013 @ 17 h 56 min

    ” étaient habillés en robe et portaient des anglaises jusqu’à trois quatre ans ” : excellent rappel historique qui confirme la sagesse populaire via ce 3-4 ans : à partir de 4 ans le garçonnet n’est plus indifférent à sa réalité masculine, il peut conserver des souvenirs tenaces et structurants donc il faut l’accompagner dans son processus d’affirmation de genre naturel … comme quoi CERTAINES TRADITIONS procédaient d’un génie intuitif qui a été post-confirmé.

  • Alverma , 3 août 2013 @ 18 h 16 min

    Je suis en équilibre instable chaque fois que j’essaie, à la fois, de vous ménager, vu le respect qui vous est dû, et d’exprimer mes pensées. Vous vous piquez très vite et vous méprenez sur mes intentions qui ne sont pas du tout polémiques.
    Il m’est indifférent de savoir qui a forgé le mot “bisexualité”; il me sert à désigner une époque d’indétermination où tout est possible, rien n’est définitif, et donc rien ne tire à conséquence. Je ne dispose pas, comme vous semblez en avoir, de statistiques sur la question, et ne tire mes idées que de mon expérience d’éducateur, mes lectures, et le bon sens. Je suis de bonne foi, soyez-en convaincu.
    Vous excipez de la pensée de Girard, qui fut mon collègue et un peu mon ami, dont je crois assez bien connaître les ouvrages, l’idée d’une rivalité qui est ici hors contexte.
    Ce dialogue est à visage couvert, en ce qui vous concerne, qui mettez au féminin une célèbre expression latine pour vous cacher derrière. Moi, j’avance à visage découvert, sous mon nom, tant il est vrai que je n’ai pas lieu d’avoir honte de ce que je pense et de ce que je dis.

    Le passage des adolescent par une phase d’indétermination n’est ni idéologique, ni militant; il est le fait de pédopsychiatres renommés, à qui je fais confiance. Ce qui est idéologue et militant, c’est bien de penser que cette idée innocente l’est.
    J’ai bien connu dans ma jeunesse les “confesseurs obsédés” qui vous gênent, et je n’étais pas le seul! Je suis navré que cela vous déplaise. Mais ils tiraient cela des manuels du confesseur qu’on leur faisait utiliser, accessoirement des catéchismes en usage. Je veux bien croire que ces pratiques ont disparu, en tout cas je le souhaite pour la dignité de la religion.
    J’affirme énergiquement que je n’ai jamais tenté de vous discréditer. À vous lire, j’ai pu croire, et me tromper, que vous en pinciez pour Freud. Vous m’en avez dissuadé; l’incident est clos.
    Sauf que:
    Ce dialogue est à visage couvert, en ce qui vous concerne, qui mettez au féminin une célèbre expression latine pour vous cacher derrière ce pseudonyme. Moi, j’avance à visage découvert, sous mon nom, tant il est vrai que je n’ai pas lieu d’avoir honte de ce que je pense et de ce que je dis. Ma bonne foi n’est certes pas garantie de vérité, mais elle l’est de sincérité et d’authenticité.
    Cordialement.

  • Roban , 3 août 2013 @ 18 h 33 min

    “Tous nos grands pères et nos pères étaient habillés en robe et portaient des anglaises jusqu’à trois quatre ans.” ???
    Cela se passait dans quel pays ou région ?

  • fendu du chichoule , 4 août 2013 @ 8 h 16 min

    Et quand la nuit tombe les promoteurs viennent assouvir leur pulsion sexuelle avec la bénédicton de LGBT, et de Bendit.

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