Les jeunesses genderiennes ont leur camp !

Idéologie du genre. Slate.com propose un reportage photo réalisé à partir du travail militant de Lindsay Morris sur un camp d’été de quatre jours pour jeunes garçons ayant des doutes sur leur identité ainsi que leurs parents, intitulé “Tu es toi”. On vous prévient, la laideur s’y dispute au ridicule et à la perversité des parents, sans parler des clichés grotesques (se prendre pour une fille, ce serait forcément se maquiller, croiser les jambes, etc.).

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69 Comments

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  • asina_asinam_fricat , 3 août 2013 @ 14 h 56 min

    Je vous remercie de m’avoir remercié.

    Vous défendez votre réserve “avec ou sans passage à l’acte” s’agissant de la dite bisexualité alors cela veut dire que vous prenez l’acception LGBT (le B) mais non pas ce à quoi se réfèrent les freudiens qui pensent aux jeunes enfants dans la dimension psycho-affctive et nullement génitale par immaturité rédhibitoire. Le fait qu’une fillette de 4 ans embrasse tantôt une autre fillette tantôt un garçonnet ne saurait être classé sous rubrique “bisexualité” sauf par des obsédés érotomanes qui “adultisent” l’enfant.

    Au fait pouvez-vous décrire UN passage à l’acte dit bisexuel : c’est un homme avec un autre homme ou un homme avec une femme ???

    Vous nous dites écarter la maturité de l’appareil génital et qualifier de “maturité sexuelle” une détermination “dans tel ou tel sens” : relisez-moi et vous devriez voir que je ne suis pas d’accord du tout avec vous sur cet énoncé. Reprenez le sens non frelaté de “sexuel” : c’est tout ce qui a trait à la dichotomie complémentaire F/H dans tous les domaines où cette différenciation est la source d’activité. Ainsi certes de l’amour physique entre une F et un H, du mariage dans le registre civilisationnel, et dans la psychologie en cours de développement de l’enfant qui est appelé à conforter-confirmer sa naturalité de genre. Il n’y a qu’un seul “sens” sexuel ou alors changez de vocabulaire. Qu’il y ait des homo-pratiques privées sans victime ni trouble à l’ordre public : soit. Mais si voulez être d’accord avec moi ne cédez pas à cet amalgame stupidement introduit par des aliénistes prussiens au XIXe (Homosexualität). Comme tropisme signifie orientation vous pouvez adopter homotropisme.

    Vous me taxez d’être ” fanatiquement freudien “, c’est nettement désobligeant et déjà intenable si vous avez connu de vrais fanas de Freud.
    Ceux-là font de l’Inconscient un dogme absolu. Or j’ai attribué à cela le statut d’une hypothèse non démontrée mais méritant de garder un statut d’hypothèse car la neuroscience pourrait identifier après investigations non intrusives des éléments d’activité cognitive organisée (et imputable à une sorte de “double psychique” )durant la perte de maîtrise consciente des pensées durant le sommeil.
    Vous invoquez que “dernièrement” des critiques de l’Œdipe ont été livrées. Mais cela fait des lustres que le corpus freudien a été attaqué du point de vue de la méthodologie scientifique ! En effet baser une théorie ou des hypothèses sur un panel de seulement CINQ cas, c’est osé, spéculatif et incompatible avec Claude Bernard.
    Ce qui s’est produit récemment, à commencer par une charge publiée par le philosophe Onfray, c’est une orchestration d’attaques commanditées par LGBTP où l’on a vu des ralliements comme Roudinesco et Hefez, et de jeunes carrières boostées par leur adhésion à ce lobbying (Nadaud, Clergeaud, d’autres suivront). Puisque l’explication oedipienne (pour certains comportements dans une tranche d’âge limitée) souligne essentiellement un processus lié à l’identification dans SON genre F ou bien M, il est évident que cela doit disparaître pour LGBTP.
    Le schéma oedipien a été trop survalorisé par les freudiens qui avaient besoin de vendre quelque chose, somme toute beaucoup de jeunes enfants n’en vivent qu’une version très atténuée voire indécelable. Son universalité par principe est une bonne idée car elle fait lien entre nature et culture, mais son “expression” concrète n’est que rarement problématique et prétexte à consultation. L’Œdipe somme toute est un petit encart théorique ayant un bienfait diagnostic mais dans le cadre du constat tout simple de la complémentarité non hiérarchique Maman/Papa. D’où l’animosité de LGBTP.
    Trouvez un vrai fanatique, basculez-lui ce texte et il me vouera à ses gémonies…

  • Gisèle , 3 août 2013 @ 15 h 35 min

    Encore un coup des pesticides et autres produits perturbateurs hormonaux , reconnus comme tels depuis des dizaines d’années par les chercheurs , mais laissés sciemment sur le marché !
    Une des solution finales pour gérer la surpopulation mondiale .

  • Gisèle , 3 août 2013 @ 15 h 39 min

    Nos grand parents et eux d’avant ne se torturaient pas l’esprit pour ces choses là !
    Et ils avaient raison .
    Leurs conditions de vie étaient plus dures , mais plus simples .

  • Gisèle , 3 août 2013 @ 15 h 42 min

    Donc l’homosexualité n’est pas non plus innée …… mais acquise …..

  • Gisèle , 3 août 2013 @ 15 h 43 min

    C’était une réflexion après avoir lu l’histoire de Philippe de France .

  • Alverma , 3 août 2013 @ 15 h 45 min

    Je ne prétendais pas entrer dans des querelles nominalistes à propos de la bisexualité ni faire le lit des LGBT auxquels je suis étranger; le mot employé m’importe moins que ce qu’il tente de désigner. Et franchement, la prétendue “sexualité”,chère aux freudiens bon teint, m’est assez indifférente. Je pensais aux adolescents qui passent, tous, par une phase d’indétermination, qui se traduit, dans la plupart des cas, par des conduites assez innocentes quoique significatives pour qui sait observer, et qui, d’ailleurs, participent du travail de construction de soi que cet âge connaît. Ça n’inquiète que les confesseurs obsédés par les gestes et pensées impurs, et certainement les intéressés que ça déstabilise, surtout s’il s’y attache un sentiment de culpabilité.
    Naturellement, je ne voulais pas être désobligeant en vous croyant “fanatiquement freudien”; il m’avait semblé alors et maintenant encore, que vous accorder un grand crédit aux thèses de ce psychanalyste. Ce n’est pas mon cas, notamment parce que je n’accepte pas que la totalité de l’être s’explique par ce qui se passe dans sa libido et par ce qu’il en fait. Je suis plus proche de Jung. Et ce n’est pas des lacaniens, comme Roudinesco, qui me feront changer d’avis.
    Et je respecte trop les opinions d’autrui pour vous livrer aux gémonies de qui que ce soit.
    On cause. Point.

  • Alverma , 3 août 2013 @ 15 h 46 min

    …un bout d’idée a sauté. “la prétendue sexualité DES ENFANTS DE QUATRE ANS…”
    vous aurez rectifié sans mal.

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