Les jeunesses genderiennes ont leur camp !

Idéologie du genre. Slate.com propose un reportage photo réalisé à partir du travail militant de Lindsay Morris sur un camp d’été de quatre jours pour jeunes garçons ayant des doutes sur leur identité ainsi que leurs parents, intitulé “Tu es toi”. On vous prévient, la laideur s’y dispute au ridicule et à la perversité des parents, sans parler des clichés grotesques (se prendre pour une fille, ce serait forcément se maquiller, croiser les jambes, etc.).

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69 Comments

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  • jpr , 3 août 2013 @ 11 h 49 min

    Les jeunesses hitlériennes avaient aussi leurs camps de formation pour jeunes fanatisés…

  • VraieLIBERTE , 3 août 2013 @ 12 h 38 min

    Elles sont trisomiques alors ? J’ai toujours dit qu’on ne devrait pas avorter les enfants handicapés, ils ont de telles ressources en eux !

  • C.B. , 3 août 2013 @ 12 h 55 min

    Prévalence de ce type de phénomène?
    Entre “respecter autrui” (quelles que soient ses particularités) et “étaler au grand soleil les choix intimes de chacun”, il y a une marge.
    Il serait peut-être utile, pour que le personnel d’encadrement de ce “camp” puisse accompagner en toute connaissance de cause, de soumettre à des examens médicaux et génétiques préalables les candidats à ces quatre jours, et ne retenir que les adolescents pour lesquels la nature a produit une distribution hors norme. Mais évidemment, ce ne serait sans doute pas financièrement tenable pour cette Lindsay Morris dont le militantisme est probablement couplé à une efficacité financière certaine.

  • C.B. , 3 août 2013 @ 13 h 02 min

    Les parent seraient bien avisés de ne pas se laisser embobiner par les élucubrations psys à tendances fractales, rester sur le plancher des vaches et y ramener leur progéniture, au lieu de la laisser se complaire dans la contemplation nombriliste de désirs plus ou moins fictifs. L’être humain n’est pas réduit à ses désirs (heureusement pour lui et tant pis pour les marketteurs qui s’en accommodent trop volontiers).

  • Alverma , 3 août 2013 @ 13 h 38 min

    Je vous remercie d’avoir pris la peine de répondre longuement à mes réflexions, mais sur quelques points, sans doute emporté par vos convictions, vous m’avez mal lu (ou je me suis mal exprimé). Quand je parle de bisexualité, je précise bien “avec ou sans passage à l’acte”; quand je parle de maturité sexuelle, je ne parle pas d’hormones, mais de ce qui se passe au niveau psychique et qui fixe (ou non) pour l’avenir dans tel ou tel sens.
    Ceci mis à part ces détails, qui me tenaient à coeur car nous sommes largement d’accord sur le fond, rien à redire à vos considérations, sauf, peut-être, que je ne suis pas aussi fanatiquement freudien que vous semblez l’être. Le fameux complexe d’Oedipe (et d’Electre) a fait l’objet dernièrement, de plusieurs mises à jour qui en ont montré le caractère artificiel.
    Bonne journée!

  • asina_asinam_fricat , 3 août 2013 @ 13 h 52 min

    Prévalence ? J’avais entendu soit sur RTL soit sur BFM que le taux est très très faible “1 femme sur 400 000” en France.
    Cette information a été quasi occultée ensuite par les “grands média” dont on sait qu’ils sont colonisés par le lobbyscule LGBTP, il semble y avoir eu une “reprise en mains”.
    Dès lors pourquoi les utopistes déraisonnables du dit gender ont-ils si peur de cette information ?
    Eh bien parce que ce déficit en 5 Alpha Réductase constitue une sorte d’état trans-genre ou inter-genre QUI EST BIEN CONSIDERE COMME PATHOLOGIQUE OU DE MALFORMATION … cela LGBTP veut le cacher car cela démontre que leur revendication dite “trans” équivaut à un trouble psychique recherchant un sévère handicap !
    Plus la science éclaire des ignorances et plus LGBTP va se sentir mal : ce sont eux les obscurantistes !

  • Kanjo , 3 août 2013 @ 14 h 07 min

    je n’inciterais certainement pas une fille à s’accoutrer de cette façon. ces pauvres garçons ne sont pas seulement dévoyés de leur nature, on leur donne surtout une idée fausse de la femme. S’il ne deviennent pas pédés, ils risquent de devenir machos.
    mon Dieu, o* allons nous ?

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