Star de sa sélection, la co-capitaine américaine est dans le tourbillon médiatique depuis le début du mois de juin. Performante sur le plan sportif, et auteur d’un doublé contre les Bleues en quarts de finale au Parc des Princes (2-1), le “personnage” Rapinoe n’en nourrit pas moins une relation complexe avec Donald Trump.
Prompte à annoncer qu’elle n’irait pas “à cette putain de Maison Blanche” en cas de succès final au Groupama Stadium, la joueuse à la coiffure mauve a ensuite été reprise de volée par le président sur Twitter. Le chef d’Etat ne goûte guère l’attitude de la joueuse de ne pas chanter l’hymne américain avant les matchs, en réponse à la politique “raciste” et “misogyne” qu’il mène dans le pays.