“Les gouvernements occidentaux restent dangereusement sourds aux dangers de l’islamisation. L’Islam est une religion de paix, disent-ils, mais c’est un mensonge. Regardez ce qu’il s’est passé à l’aéroport d’Istanbul. Regardez ce qu’il s’est passé à Orlando il y a quelques semaines. Regardez ce qu’il s’est passé à l’aéroport et dans une station de métro de Bruxelles en mars dernier. Regardez ce qu’il s’est passé au concert du Bataclan à Paris en novembre dernier. Regardez ce qu’il s’est passé à San Bernardino en décembre dernier. La liste est sans fin. Et tout ce que cette liste a en commun, c’est l’islam.
Permettez-moi d’insister sur le fait que je parle bien de l’islam et non des musulmans. Les musulmans peuvent être de bonnes personnes, mais aucun individu honnête ne peut affirmer sans sourciller que l’islam est une doctrine de paix et de liberté. Tout au contraire, regardez les faits, regardez les commandements du Coran pour lancer la guerre sainte. Regardez la charia et la manière dont elle traite les femmes, les juifs, les homosexuels, les apostats.
Les victimes de l’islam sont des non-musulmans et des musulmans, sans distinction, comme nous l’avons vu à Istanbul. On le voit également à l’œuvre dans l’interdiction faite aux femmes musulmanes de se marier avec des non-musulmans, dans le châtiment qui attend les apostats de l’islam, et dans l’apathie fataliste de trop de musulmans qui ont été endoctrinés par l’islam pour y être soumis.
Je suis le leader du parti hollandais pour la liberté. Je ne suis pas prêt à me soumettre à l’islam. Je défends mes compatriotes. Je défends notre liberté. Et je suis du côté des musulmans et des non-musulmans qui veulent libérer notre pays de l’islam.
Je refuse d’accepter que des actes de terrorisme deviennent un événement quasi-quotidien dans nos démocraties. Je soutiens la sécurité, la vie, et la liberté, et contre la terreur, la mort et la soumission musulmane.
L’Occident s’islamise rapidement. L’immigration est le moteur de ce processus d’islamisation. Les gens me demandent souvent “que peut-on faire ?” et la réponse est en réalité assez simple. Rejetez le fatalisme. L’islamisation n’est pas inévitable. La première chose que nous devons faire est de reconnaître que l’islam, et rien d’autre que l’islam, est la cause de nos problèmes, et la prochaine action à mener est de fermer nos portes à l’intolérance islamique, de fermer nos portes à toute immigration de pays musulmans.
Ceux qui sont déjà chez nous sont invités à rester s’ils vivent en accord avec nos lois et constitutions. Mais s’ils vivent selon la loi de la charia ils devraient partir vivre en Arabie Saoudite où il n’y a ni élections ni liberté d’expression. Où les femmes et les non-musulmans sont des êtres inférieurs et où les dissidents sont emprisonnés, fouettés et exécutés. Nous sommes à l’opposé de cela, et nous voulons le rester.
De plus en plus de patriotes en occident commencent à réaliser que le temps est venu de dire stop. Le printemps patriote est lancé. Les gens veulent récupérer leur pays, ils veulent préserver leur liberté et leur sécurité. Ils ne veulent pas de la loi de la charia. Ils veulent désislamiser leurs sociétés.
Mes amis, l’islam et la liberté sont incompatibles, alors rejoignez-nous dans la lutte pour la liberté, votre propre liberté, la liberté de vos enfants et petits-enfants, et défendez votre identité et la civilisation occidentale.”
Wilders a le vent en poupe!
Le député d’extrême droite néerlandais Geert Wilders a réclamé vendredi matin un référendum sur l’UE, après que des résultats sur le référendum au Royaume-Uni aient donné la victoire au Brexit.
“Les Néerlandais ont le droit à un référendum aussi. Le Parti pour la liberté (PVV, nldr) demande ainsi un référendum sur un Nexit, une sortie néerlandaise de l’UE”, a-t-il déclaré dans un communiqué. “Nous voulons être en charge de notre propre pays, notre propre monnaie, nos propres frontières, et avec notre propre politique d’immigration”, a souligné Geert Wilders. “Si je deviens Premier ministre, il y aura un référendum aux Pays-Bas”. Le PVV évoque également un récent sondage réalisé par la télévision publique néerlandaise, selon lequel une majorité de Néerlandais souhaitent un référendum et “davantage de Néerlandais sont favorables à sortir de l’UE qu’à y rester”.
Rejet d’un accord avec l’Ukraine.Les Pays-Bas, actuellement à la présidence tournante de l’UE, ont tenu en avril un référendum sur l’accord entre l’UE et l’Ukraine. Malgré un faible taux de participation à cette consultation populaire, à peine au-delà du seuil nécessaire à sa validation, plus de 60% des électeurs ont rejeté cet accord d’association qui vise à renforcer le dialogue politique ainsi que les échanges politiques et commerciaux entre l’UE et Kiev. Les eurosceptiques avaient alors salué une “motion de défiance” envers Bruxelles.
Des sondages plutôt favorables au PVV. Les élections aux Pays-Bas sont attendues l’année prochaine, mais depuis l’année dernière, les sondages ont invariablement montré le soutien au PVV dont la popularité croît face à la crise des réfugiés.