Rencontre avec ces Français qui ne veulent plus entendre parler de la Sécurité sociale

10 Comments

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  Cassandre , 2 mai 2016 @ 14 h 23 min

  “in cauda venenum”: à l’habitude, le journaliste flirte avec la réalité durant tout le reportage… et assène pour finir un mélange habile de contre-vérité et de vérité partielle. Ce qui fausse évidemment la conclusion intuitive, l’impression que chacun va en tirer… et se souvenir:
  -“dans le droit français comme dans le droit européen quitter la sécurité sociale est interdit”. C’est l’inverse de la vérité et de l’intention européenne, d’ouvrir, justement, le champ de l’assurance! L’Etat français est quasiment le seul en Europe à avoir cette interprétation!

  – “certains <> ont d’ailleurs déjà été condamnés à payer d’importantes pénalités”: “Certains”ont été condamnés, oui: c’est partiellement vrai (donc très majoritairement faux). Mais tant que ces affaires ne “sortent” pas du cadre judiciaire français étroitement contrôlé par l’exécutif, pour être jugés par les tribunaux européenne ils ne sont pas définitifs. Néanmoins, comme le décrit le site mouvement-des-liberes.com, depuis 20 ans (vingt ans) les <> sont:
  – en cours de procédure (ils ont quitté le RSI/Urssaf & Co.) et sont assurés auprès d’une compagnie privée, et/ou gèrent leur retraite par capitalisation
  – ou sur une « voie de garage » : trop dérangeants, trop résistants ou ayant posé trop de questions gênantes… Ils ne reçoivent plus de courrier, et n’ont plus de procédure en cours.
  Les pionniers sont libérés depuis plus de 20 ans.

  Quant aux derniers mots du reportage (les pénalités importantes, pour parler français!) ils sont clairement destinés à effrayer les candidats potentiels !

  Quelles clowneries, sous le couvert d’être de “l’information”…
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  Cassandre , 2 mai 2016 @ 14 h 28 min

  Petite précision: “<>” dans ce post ci-dessus, est le signe cabalistique qui s’est substitué au mot “libérés”: car les guillemets français sont interprétés comme des commandes par le langage utilisé sur ce site Web!
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  henri Utilisateur , 2 mai 2016 @ 17 h 15 min

  En Suisse, à la suite d’un référendum, le système de sécu national a été abandonné depuis longtemps.
  la couverture médicale est désormais privée.
  Les fournisseurs sont en compétition les uns avec les autres.

  Ca se passe plutôt très bien.
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  C.B. , 2 mai 2016 @ 17 h 43 min

  On ne voit vraiment pas la logique française:
  -il est obligatoire de couvrir les risques habitation: on a le choix de son assureur
  -il est obligatoire de couvrir les risques véhicule à moteur: on a le choix de son assureur.
  Pour la santé et la retraite, on n’aurait pas le droit d’avoir le choix de son assureur? en quel honneur?
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  Trucker , 2 mai 2016 @ 18 h 55 min

  @CB c’est tout simplement que la sécurité sociale française est aussi devenu l’instrument par lequel on attire l’immigration en France, que celle-ci a un coût et que par l’intermédiaire de leur affiliation obligatoire à son régime général d’assurance, on fait prendre en charge par les français le coût de cette politique migratoire.

  Renaud Camus dirait que l’on fait payer aux remplacés le coût de leur remplacement.
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  mf , 3 mai 2016 @ 7 h 49 min

  et puis la SS permet un joli mille feuilles avec “chefs de chefs” ou l on récompense pour services rendus!!
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  penelope , 3 mai 2016 @ 11 h 16 min

  on nous parle toujours de solidarité,selon moi,la solidarité doit être librement consenti et volontaire et non pas imposé;de plus,la sécurité sociale avait été crée pour les français,les ouvriers français particulièrement,maintenant elle est ouverte à tous les étrangers,de ce fait très souvent ce sont toujours les mêmes qui paient et toujours les mêmes qui reçoivent;les uns obtiennent tout ce qu’ils demandent et les autres n’ont droit à rien;aider les autres,ce qui n’ont pas est un rite chrétiens,ici dans un pays laïques qui rejettent notre religion,incompréhensible.

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