Pourquoi les institutions juives ne désignent-elle pas clairement les islamistes comme assassins antisémites ? (Vidéo)

Monsieur Macron nous a annoncé qu’il voulait combattre les « fake news » à tout prix. Et bien je vais lui donner la possibilité d’agir rapidement, en accord avec le proverbe qui enseigne que la charité bien ordonnée commence par soi même.

Dans la sordide affaire de Trèbes de vendredi dernier, on nous a tout de suite annoncé de manière officielle que le courageux lieutenant-colonel Beltrame était mort sous les balles du terroriste musulman.
Or, dans le même temps, une voix s’élevait sur les réseaux sociaux, émanant de la sœur du chirurgien qui avait accueilli le militaire à l’hôpital, et affirmait que l’officier avait été égorgé. Il faudra attendre plusieurs jours pour que les sources officielles annoncent que la victime était décédée suite à des « coups de poignards dans le cou ». Élégante langue de bois pour parler d’un égorgement…
Questions :
Pourquoi les services officiels n’ont-ils pas dit la vérité ?
Pourquoi faut-il attendre la déclaration d’un témoin inopiné pour que les Français connaissent la vérité ?
A-t-on peur d’annoncer au bon peuple que les musulmans quand ils tuent, le font très souvent de cette manière, ou bien complètent l’acte par cette sinistre signature ?

Rappelons-nous dans le même contexte le père Hamel égorgé en pleine messe, ou le couple de policiers dont la femme avait été tuée d’une « plaie au cou», selon la même terminologie déjà mensongère. Et les victimes du Bataclan, qui, selon plusieurs sources, ont été post-mortem éviscérées, émasculées ou égorgées.… cela ne sera jamais avoué officiellement. La plupart des crimes commis par les musulmans ces dernières années, se sont terminés par un égorgement, voire carrément une décapitation (Hervé Gourdel en 2014), pratique que connaissent bien ceux qui ont étudié un petit peu les événements de la guerre d’Algérie et les méthodes des soldats d’alors, qui n’étaient pas des fondamentalistes adeptes de Daesh mais de simples musulmans.

Deuxième affaire sordide ces jours-ci, l’assassinat d’une vieille dame juive à Paris. Ici également, il faudra attendre un témoignage sur FaceBook de la petite fille de Mme Knoll pour apprendre que le meurtre a été perpétré par le voisin musulman de la pauvre femme. Ce que cachaient une fois de plus les communiqués officiels. Ce n’est qu’après cette révélation, qu’on a commencé à parler d’acte antisémite.
Pour quelles raisons ?
Parce que pour le commun des Français d’aujourd’hui, abreuvé depuis plus de trente ans de fake-news à ce sujet, l’antisémitisme, c’est l’extrême droite, et ça ne peut être rien d’autre. Rappelez-vous les grossières manipulations mensongères de Carpentras ou de la rue Copernic. Chaque fois les mêmes coupables désignés d’office et jetés en pâture à la population. Et chaque fois un démenti , qui ne fait pas les mêmes titres dans les journaux, mais qu’importe. Comme disait Lénine : « Mentez, il en restera toujours quelque chose. »
Et justement, il en reste quelque chose.

Revient donc sur la place publique le problème de l’antisémitisme dans la France d’aujourd’hui, puisque des centaines de nos compatriotes juifs, se sentent en insécurité, changent de région ou émigrent vers leur terre promise où ils pensent être mieux protégés. On entend les rodomontades des représentants du CRIF ou de la LICRA, mais aucun d’eux ne désigne objectivement et réellement l’origine de cet antisémitisme, c’est-à-dire l’islam ! La vérité est têtue et nous montre que tous les actes antisémites des dernières années sont imputables à des musulmans.
Questions :
Pourquoi les institutions juives (je ne parle pas de la population juive), ne désignent-elle pas clairement les musulmans comme assassins antisémites ?
Pourquoi laisse-t-on toujours des insinuations sur une origine de ce que l’on appelle l’extrême droite, en refusant la participation à une « marche blanche “unitaire”» en l’honneur de Mme Knoll à certains représentants politiques majeurs alors qu’ils combattent l’islamisme ?

Il faudra bien qu’un jour le CRIF nous explique pourquoi il protège ainsi les musulmans, aux dépens de la sécurité de ses propres coreligionnaires.

Patrice Lemaître- Nice Provence Infos

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