par François de Chassey
Georges Bidault, président de deux CNR (Conseil National de la Résistance), l’un pour De Gaulle et l’autre contre De Gaulle, a écrit dans la livre D’une résistance à l’autre publié il y a 50 ans (avril 1965) : “On n’a pas voulu de l’Algérie française en Afrique, c’est pourquoi on est en train d’installer l’Algérie algérienne en France”. Donc la France algérienne a bien commencé avec De Gaulle, puisqu’il était président en cette année 1965 (jusqu’en 1969).
Profitons-en pour rappeler qu’il y a plus de 40 ans, le Président du Groupe socialiste avait déclaré (Dernières Nouvelles d’Alsace, 19 Septembre 1973) : “Les travailleurs étrangers viendraient seuls en France et pour une durée limitée”.
Et encore, il y a presque 30 ans, Jean Schmitt, journaliste au Point, écrivait dans son livre Fin de la France ? (paru en avril 1986) : “C’est un génocide. […] C’est de la démence, du suicide. Mesures de survie : 1° Arrêt des francisations d’étrangers, qu’elles soient volontaires ou automatiques ; 2° Limitation stricte de l’immigration, en nombre comme en durée de séjour.
Donc : un avertissement, une solution et un nouvel avertissement avec la même solution… Toutes ces citations sont reprises dans un petit livre, capital sur le sujet de l’immigration mortelle pour la France : Les politiques doivent sauver la France – Remplacer les immigrés par des expatriés, publié aux Editions des Cimes.
Je citerai un dernier advertissement, plus récent (entendu en octobre 2014) par un fils de harki (dont je n’ai pas noté le nom) : “On a perdu 15 départements ; on va en perdre 100”.
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