L’effigie en cire du pape François, présentée sur le parvis de Notre-Dame de Paris, avant son entrée au musée, est-elle prémonitoire d’une visite de ce pape en France ? La question se pose mais personne ne sait y répondre. Surprenante de réalisme la statue en cire du pape François entre au musée Grévin. L’œuvre a demandé six mois de travail à une équipe de quinze personnes sous la conduite de Pooneh Aziminejadi, un sculpteur diplômée de l’université des Beaux-Arts de Téhéran.
Présentée jeudi matin sur le parvis de Notre-Dame de Paris, aux côtés de Mgr Patrick Jacquin, le recteur de la cathédrale, la statue donnait l’impression de la présence du pape lui-même, au cœur de Paris. D’autant qu’il est représenté, très souriant, avec son fameux pouce levé vers le haut.
Le musée avait déjà représenté Jean-Paul II, le pape polonais, décédé il y a dix ans, jour pour jour, le 2 avril 2005. Un pape François en cire existe déjà, depuis Noël 2013, dans l’équivalent du musée Grévin à Rome.