L’« exercice de vérification démocratique” tourne mal, François Hollande se dédit

11 Comments

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  charles-de , 2 avril 2014 @ 17 h 51 min

  ENCORE UNE OCCASION DE LE PRENDRE AU MOT !
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  berserk , 2 avril 2014 @ 18 h 21 min

  “…des promesses, des promesses, des promesses….” (sur l’air de Dalida “des paroles,..)
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  eric-p , 2 avril 2014 @ 18 h 40 min

  Je voudrai pas défendre Le Mollusque mais nous ne sommes pas encore tout à fait
  au milieu de la législature…

  Nous en sommes encore au stade des spéculations mais Flanby peut très bien dissoudre
  l’AN si les résultats économiques ne s’améliorent pas d’ici 12 mois.
  Une dissolution aurait plusieurs avantages pour lui:

  -Discréditer Manuel Gaz

  -Remettre en selle l’autre planqué de l’UMP (Copé) pour lui griller les ailes; en 2 ans
  ce sera largement suffisant pour regagner les élections de 2017.

  Méfiez-vous : Les Français sont assez cons pour réélire ce tordu. Souvenirs de 1988…
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  FIFRE Jean-Jacques , 2 avril 2014 @ 19 h 24 min

  … « En quittant la Présidence » ajoutait-il avec un certain aplomb.
  Oui, seulement cela c’était avant. C’était avant qu’à sa grande surprise comme à l’étonnement général, il soit porté, par un phénomène de hasard aussi improbable, à priori, que regrettable à postériori, il fut, donc, porté à la magistrature suprême.
  Je me souviens de l’histoire que me racontait mon grand père. Il s’agit de l’histoire d’un jeune chef d’entreprise auquel son prédécesseur remis, le jour de la passation de pouvoir 3 enveloppes. La 1ère, lui dit-il, tu l’ouvriras lorsque tes premières grosses difficultés surviendront. La seconde tu l’ouvriras, plus tard, si les difficultés persistent et la troisième, plus tard encore, si malheureusement rien n’est réglé.
  Lorsqu’il ouvrit la 1ère enveloppe, il put lire : dit que les ennuis que tu connais sont de ma faute. Ce qu’il fit avec force et conviction. Comme rien ne s’améliorait, il ouvrit le seconde et il lut : dit maintenant que c’est la conjoncture. Ce qu’il fit avec autant de certitude. Enfin, il lui fallut bientôt ouvrir la 3ème et là il lut : je ne peux plus rien pour toi il faut désormais assumer.
  Je trouve que cette histoire s’applique exactement à notre Président qui après avoir pendant 2 ans reporté tous ses propres revers sur son prédécesseur commence à changer de cible en accusant l’état de l’Europe. Ce qui laisse supposer qu’il devra bientôt se retrouver dans la situation où il devra assumer son échec patent. Mais je connais le bonhomme est je sais que par une pirouette il reniera ce qu’il affirmait hier.
  C’est ainsi, rien n’est jamais de sa faute. Le régime de la Vème République doté du quinquennat fait de lui le chef incontesté de toute la vie politique et le responsable de tout, mais, à mots « entendus », il nous a fait comprendre dimanche soir, que c’est Ayrault qui devait assumer les pots cassés Et dans la foulée, malgré le désaveu incontestable qui lui est assené il nous annonce le changement dans la continuité.
  Bravo l’artiste.
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  sergio , 2 avril 2014 @ 19 h 38 min

  Ou l’ art consommé du mensonge et du cynisme érigés en système de gouvernance !…..
  Certes , le bonhomme est très fort en la matière ( du jamais vu sous la Vème ….) , mais jusqu’ à quand ?….Comme le rappelle si justement la petite histoire ci-dessus , il devra bien un jour assumer son échec patent devant l’ Histoire et les Français , qu’il semble à l’ évidence mépriser du haut de sa petitesse pitoyable ….
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  ranguin , 2 avril 2014 @ 21 h 30 min

  En attendant, qui paie ?
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  synok , 2 avril 2014 @ 22 h 33 min

  Il faut le prendre aux mots et aussi aux maux .

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