N’oublions pas qu’en 2013, Valérie Trierweiler nous a coûté près de 500.000 euros! Officiellement… (Vidéo)

Combien coûte à l’Etat la première dame de France ? Voilà une question épineuse à laquelle avait répondu  un rapport établi par les services du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Un rapport qui stipulait que Valérie Trierweiler, alors compagne de François Hollande, générait environ 20.000 euros de dépenses par mois, bien moins que les 35.000 euros mensuels que coûtait celle qui lui avait précédé, Carla Bruni-Sarkozy. Aujourd’hui, un nouveau rapport vient faire toute la lumière sur les dépenses engendrées par Valérie Trierweiler lorsque celle-ci était première dame de France. Et les chiffres sont un peu plus vertigineux que ceux révélés précédemment…

Collaborateurs, officiers, bureaux…

Dans son “rapport sur les comptes et la gestion des services de la présidence de la République” pour l’année 2013, dont le site de L’Express se fait l’écho, la Cour de comptes consacre une partie de son bilan aux “dépenses liées à Mme Valérie Trierweiler”. On y apprend notamment que la journaliste de Paris Match, qui s’est séparée de François Hollande après les révélations de Closer sur la liaison entre le président de la République et Julie Gayet, avait à sa disposition cinq collaborateurs, dont la rémunération totale s’est élevée à 396.000 euros brut au cours de l’année écoulée.

En outre, l’ex-première dame bénéficiait également de “quatre officiers du groupement de sécurité de la présidence de la République (GSPR)” qui étaient chargés d’assurer sa sécurité, toujours selon le rapport de la Cour des comptes. En 2013, Valérie Trierweiler a également engendré 85.000 euros de dépenses pour ses déplacements “dans le cadre d’activités de représentation et de soutien à des opérations à caractère humanitaire”. Enfin, l’ex-première dame jouissait également “au rez-de-chaussée de l’Hôtel d’Evreux de six bureaux et du salon des Fougères”. Aujourd’hui redevenue une citoyenne comme les autres, Valérie Trierweiler a dû dire adieu à ses privilèges : elle n’est même plus sous protection policière !

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