Par Charles Chaleyat
Il suffit de mettre en parallèle les déclarations de nos dirigeants et leurs actions pour comprendre qu’ils ne font nullement preuve d’incompétence, d’indécision ou d’ignorance, mais d’une volonté soutenue puisqu’à chaque fois ils déclarent ne rien vouloir changer à leur politique. A travers tous les gouvernements français depuis Pompidou, l’objectif est de faciliter l’immigration sinon de l’accélérer afin de détruire la France (et d’autres pays d’Europe).
En effet rien n’a été fait – malgré l’évidence du lien entre immigration et violence – depuis le début de cette invasion pour y remédier mais, bien au contraire, tout a été fait (regroupement familial, A.M.E., mosquées, inflitrations à la RATP, dans les Armées…) et continue de l’être pour aggraver le phénomène jusqu’au point de non-retour : lorsque les étrangers (y compris Français de papiers) seront plus nombreux que les Français. Pour masquer cette continuité politique, nos dirigeants ont recours aux beaux discours du genre : “inacceptable, insupportable, on a profané la République*, nous sommes en guerre”, aux cérémonies de recueillement ou autres “Je suis Charlie” le tout enrubanné des habituelles “valeurs”… de type bisounours.
Toute cette inflation de mots et de gestes est fait l’arme au pied, sans que démarre la moindre entreprise de lutte judiciaire, policière et politique contre cette immigration mortelle. Une seule antienne à la Merkel: rien ne changera dans nos décisions crapuleuses : il n’y aura, par exemple, ni abolition de Schengen, ni referendum, ni application de mesures d’urgence liées à l’état de guerre…
A l’inverse, on commence à préparer l’opinion aux réactions prévisibles de rejet des autochtones : on parle de l’ultra-droite, oubliant la remarquable retenue de ces autochtones après les récents massacres et assassinats : il n’y a jamais eu de représailles comme le souhaitent les Plenel et autres trotskards à la Dray.
En fait, il s’agit d’une course de vitesse entre la caste politique au pouvoir et le peuple français, course qu’ils pensent gagner en ayant atteint leur but : rendre les étrangers majoritaires en France et les Français exclus de leur propre pays, afin d’y gouverner à loisir un peuple de zombies, consommateurs déracinés, communautérisés au point de s’entre-battre pour le plus grand profit des banksters qui le commandent.
· *Parfaitement risible dans la bouche d’un socialo-laïcard comme Normal Ier.
