Paris Match met en couverture cette semaine Céline Dion, qu’ils ont collée dans l’ascenseur de Paris Bercy, en peignoir, juste avant son entrée en scène, avec une cuisse qui sort du peignoir, on dirait DSK en 2011 mais sans les poils aux pattes. Moi je vois ça dans l’ascenseur, je me dis “houlà, elle va m’emmener au sous-sol, me prendre dans le local à poubelles”, et donc j’emprunte les escaliers.
Match a suivi Céline partout, sauf dans les WC. On la voit à la fenêtre de sa suite dans un grand hôtel, ils lui ont demandé de ne pas chanter, sous peine de faire s’effondrer l’édifice. Puis elle en sort en berline de luxe, entourée d’une nuée de fans, des malentendants fous d’elle car elle est la seule qu’ils arrivent à entendre. Céline sort par le toit ouvrant de la voiture et pleure, au cours Florent elle est devenue la référence.
Puis on la voit signer un autographe à une fan, avec l’air aussi reconnaissant que celui qu’a un cocker à 3 pattes que vous sortez de la SPA, la fan, prise de pitié, lui a filé un ticket resto en lui caressant les cheveux.