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Laurent Ozon, porte-parole du Mouvement pour la Remigration, qui milite notamment pour le retour en Afrique des immigrés qui déferlent sur l’Europe, avait appelé à manifester mardi dernier, à Bruxelles, en opposition à une démonstration de force des immigrés qui désormais exigent des droits sur le sol Européen. Après une prise de parole devant le Parlement Européen, et alors qu’ils demandaient aux clandestins de retourner dans leur pays d’origine, Laurent Ozon et ses militants présents ont été vivement pris à partie par les immigrés présents, des échanges de coups ayant même eu lieu, avant que la police belge n’intervienne.
Nous avons recueilli les premières réactions de celui qui démontre être un fer de lance de la lutte contre l’immigration sauvage en Europe.
Breizh-info.com : Que s’est il passé mardi 26 mai à Bruxelles ?
Laurent Ozon : Une manifestation de clandestins se déroulait devant l’entrée du Parlement Européen. Nous avons écartés ceux-ci du monument de la place du Luxembourg et je suis monté sur ce monument pour y dénoncer l’immigration-invasion et demandé l’expulsion manu-militari de tous les clandestins.
Breizh-info.com : Comment ont réagi les clandestins ? Les autorités ?
Laurent Ozon : Les clandestins dans un premier temps surpris, ont ensuite violemment réagi. une bagarre a commencé et des membres de la police en civil ont cherché à nous faire quitter la place. Nous y sommes revenus. Une bagarre s’en est suivie. Nous sommes revenus sur la place et un détachement de police anti-émeute s’est interposé entre nous et les clandestins soutenus par les associations pro-invasion. Sous la pression, les forces anti-émeute ont dû intervenir et ont ensuite arrêté une trentaine de clandestins. J’attire votre attention sur le fait que nous avons reçu de nombreux encouragements de ces hommes et de ces femmes qui obéissent aux ordres mais n’attendent qu’une occasion légale pour nettoyer ces places et renvoyer ces envahisseurs d’où ils viennent.
Les associations de soutien aux clandestins peuvent mentir, elle savent que nous venons de démontrer que l’image des « gentils clandestins » que les médias nous fabriquent vient d’en prendre un sacré coup. C’était bien l’objectif principal de cette action. Les pousser à la faute. Nous l’assumons. D’une façon ou d’une autre, nous forcerons les institutions publiques à agir, comme mardi à Bruxelles.
Breizh-info.com : Envisagez vous d’autres actions de ce type ? Comment expliquez vous la passivité des Européens face à l’immigration ?
Laurent Ozon : La passivité n’est que temporaire. C’est le calme avant la tempête. Le but de cette action était de démontrer qu’à un contre vingt nous pouvons faire face et que nous pouvons forcer les pouvoirs-publics à intervenir. J’espère que cette opération montrera à tous qu’il est temps d’agir partout. Et surtout là où se trouvent les problèmes. Nous recommencerons et d’autres avec nous et nous serons de plus en plus nombreux.
Breizh-info.com : Quelles sont les propositions de votre mouvement pour mettre fin à l’immigration en Europe ?
Laurent Ozon : Nous sommes favorables à une remigration construite autour d’un partenariat stratégique méditérannéen avec tous les pays qui font face à cette anarchie migratoire. J’ai expliqué ces points dans plusieurs vidéos disponibles sur le net. Nous pensons que les solutions sont diplomatiques, politiques mais qu’il ne faut pas pour autant négliger de faire entendre notre voix chez nous. Nous devons faire monter la pression sans relâche contre les institutions qui veulent nous détruire.