Le surnom de Charlotte Gainsbourg dans le lycée de son fils, Ben ? «Oreo»

à cause d’une scène de Nymphomaniac, un film pornographique de Lars Von Trier sorti en janvier 2014, révèle Yvan Attal, son concubin. Scène dont voici une capture d’écran :

Voir l’image ici

Pour rappel, le biscuit américain “Oreo” est composé d’une garniture blanche dite « crème » (sans lait), coincée entre deux biscuits ronds au chocolat (7% de cacao en poudre).

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27 Comments

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  • monhugo , 1 mai 2014 @ 18 h 53 min

    Et Ivan Attal, comment l’appelait-on dans les cours de récré après le “Do not disturb” qu’il réalise en 2012 ? Le “chéri” de Cluzet ?
    Une idée de l’intrigue* : http://fr.wikipedia.org/wiki/Do_Not_Disturb_(film,_2012)
    De l’opportunité de la parabole biblique sur la paille, et la poutre.
    * Il y avait aussi quelques scènes saphiques entre Asia Argento et… Charlotte Gainsbourg dans le film d’Attal, avec Attal et Cluzet dans les 2 rôles principaux (dont une avec “gode ceinture”, croquignolesque).

  • monhugo , 1 mai 2014 @ 19 h 01 min

    La bande-annonce de “Do not disturb” :
    http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19369423&cfilm=197437.html
    Allez jusqu’au bout du “trailer” – ça ne dure qu’1 min 46.
    Ce film d’Attal n’a été interdit à aucune catégorie de public – juste doté d’un “avertissement”.

  • Chaval , 1 mai 2014 @ 20 h 09 min

    Ils devaient s’attendre tous les deux qu’après ce film les commentaires iraient bon train dans les lycées ou universités, et les enfants sont naturellement victimes de l’image que véhiculent leurs parents. Maintenant chacun fait ce qu’il veut avec son image mais attention aux retombées.

  • samovar , 1 mai 2014 @ 22 h 17 min

    Monhugo, Vous défendez toujours bec et ongle le cinéma qui d’après vous excuse tout mais certains dont je suis en ont assez de ce cinéma uniquement pornographique au prétexte que ça marche financièrement donc c’est toujours bon à prendre !

  • samovar , 1 mai 2014 @ 22 h 19 min

    Et alors ?

  • Goupille , 2 mai 2014 @ 13 h 05 min

    Deux blacks et une femme blanche.
    Comme dans le film, qui paraît-il, fait un tabac où quatre filles de famille “Bourgeroise Catho coincée” convolent avec un juif, un musulman, un chinois et un raton-laveur.

    Il n’est bien entendu pas envisageable que ce soient quatre fils, qui convolent avec équivalentes.
    Car, message subliminal, vastement véhiculé par les rapeurs entre autres, les Blanches sont toutes des salopes.

    Mais le bon peuple se gondole et apporte sa petite obole : c’est de l’art innocent.

  • SD-Vintage , 2 mai 2014 @ 15 h 04 min

    Vous ne connaissez pas très bien le Droit de la Presse…

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