On n’a plus le droit de rappeler, sous peine d’être taxé de populisme, qu’une partie non négligeable de la population française a vécu dans le sacrifice le “non déclaré”, la maladie, la dépression, l’insouciance parfois, et donc qu’elle n’a pas de retraite, tandis que les gens du Bénin, qui viennent d’arriver, touchent des aides sans avoir cotisé non plus.