Une nouvelle taxe sur les retraite :
La CASA del salo !!
onyx , 1 avril 2013 @ 21 h 42 min
Poisson d’avril ?
Depuis toujours, je n’ai jamais cru un seul mot, une seule promesse de nos politiciens d’où qu’ils soient et quelque soit leur niveau, je n’ai donc jamais été déçu.
Exploité, racketté, tonsuré, essoré sûrement, mais déçu jamais !
Quand j’ai voté, parfois, cela a toujours été contre le pire pour le mauvais. Je n’ai pas été déçu.
Le seul problème c’est que ça commence à lasser de voir les mêmes poissons, les mêmes morues s’occuper de choses dont visiblement, incontestablement, visiblement ils ne connaissent rien.
C’est quoi un ministre ? C’est quelqu’un dont le copain a réussi par des promesses à devenir président ?
Où sont les compétences de nos ministres selon leur portefeuille ? Nulle part, membres d’assoces, de clubs, de fondations ou de rien, ils ne connaissent rien sinon leur nombril dont ils ne se lassent pas de faire le tour.
Comme dirait Audiard, ils prétendent, c’est à cela qu’on les reconnait.
Avec des CV pareils, pas étonnant que le pays soit au bord du gouffre !
Monique Führer , 2 avril 2013 @ 0 h 34 min
Je propose que nos élus de toute tendance laisse leurs privilèges au placard au nom de la solidarité.
Oh pardon il faut que je me réveille, je faisais un rêve.
micaelli , 2 avril 2013 @ 7 h 33 min
Même le grand De Gaulle a été un grand menteur : j’étais sur le forum d’ Alger quand il est venu nous dire ” Je vous ai compris ….. Algérie Française …. “
Et aussi , à propos du grand Moi vivant ,jamais le drapeau f l n ne flottera sur Alger !
et aussi ” Tous français à part entière de Dunkerque à Tamanrasset !
(du grand Charles ) “
Pesneau , 2 avril 2013 @ 12 h 28 min
Ils mentent tous ! Il y en avait qui étaient moins menteurs que dautres. Toutefois, de Gaulle était un grand homme. Et comme intelligence, il n y avait pas photo. Il aimait la France.
Tarantik , 2 avril 2013 @ 12 h 46 min
Le Lapin, l’Âne et le Rat
Je veux réenchanter le rêve français.
[Un candidat à la présidence de la République].
Qui ne fait châteaux en Espagne ?
Jeannot Lapin qui battait la campagne
En quête de quelque compagne,
Déboula tout à coup dans les pieds d’un Âne ; Or
Si l’Âne préfère la paille à l’or,
Le Lapin, lui, fait montre de naïveté :
«Crénom ! hurla cet amateur de serpolet,
En voyant les longues oreilles du baudet,
Tu es à coup sûr le plus grand lapin du monde !
– Moi ? Non ! Rétorqua l’autre en son patois,
Mais toi mon garçon, c’est sûr, toi
Tu es le plus petit âne du monde !
– Que non, dit Jean Lapin. – Que si dit le Baudet.»
Que-si-Que-non ne trouvant pas à s’accorder,
On s’en remit à un arbitre réputé.
C’était un Rat qu’on disait venu de Hollande,
Pays où les moulins brassent l’air sur la lande.
Un Rat rongeant son blé par la racine ;
Apte à provoquer des famines,
Mais qui se rêvait roi
À la place du roi.
«En vérité je vous le dis,
Leur déclara cet érudit :
Vous avez tous les deux raison !»
Et se tournant vers le plus grand :
«Foin de toute oraison,
Vous êtes un lapin mon cher, c’est évident !
Quant à vous, dit-il au petit,
Votre ami, dont je salue ici
La perspicacité, ne s’y est pas trompé,
Vous êtes un fameux baudet !
C’est la folie du prince, qui,
En inversant vos noms,
A causé cette confusion.
Ah… mes amis, si j’étais roi,
Le monde enfin tournerait rond ;
Et rond et rond petit patapon !»1
Dans les clameurs de joie
D’un peuple chaviré d’espoir,
On vous l’intronisa !
La Bastille s’en illumina tout un soir 2.
Or, c’était à prévoir,
Il acheva la ruine du terroir.
De ce qui fut jadis le Jardin de la France,
Il fit une contrée en déshérence ;
Quelqu’un le lui fit remarquer :
«Hé quoi, dit-il, bien à l’abri dans son palais,
Le peuple désirait rêver ?
Eh bien c’est fait ! Mais il faudrait être bien niais,
Pour espérer plus d’un soir de bonheur,
Quand on choisit de suivre un mirage ou un leurre !»
Le pouvoir au rêve associé,
Fut de tout temps cause de grands malheurs : «Rêver,
Mais sans laisser ton rêve être ton maître…» 3
Me semble une exigence plus honnête.
Y.T. Fév. 2012
Le premier vers est [bien sûr] de Jean de La Fontaine.
1. Il était une bergère, comptine, paroles de Claris de Florian.
2. On sait que c’est à la Bastille que la Gauche fête ses victoires ;
Tandis que dans le même temps, la France y enterre ses espoirs.
3. Rudyard Kipling, Prix Nobel de Littérature.
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