« Jojo avec un gilet jaune a le même statut qu’un ministre ou un député ». Le salarié Manu s’insurge du fait que les médias donnent la paroles aux Gilets Jaunes. Il est vrai qu’il vaut mieux faire parler Castaner, Schiappa, Bergé, Griveaux, le trop intelligent Gilles Legendre, etc., touts ces macronisés dont la sottise, l’ignorance et l’arrogance réjouissent nos écrans, sans oublier ses godillots marcheurs atteints de pathologies similaires, telle Véronique Riotton.
Comme chacun le sait, Jojo est le diminuitif de Joël, Georges ou plus rarement de Jocelyn, prénom bien désuet.
Joêl Robuchon, Georges Pompidou ne sont plus des nôtres… pour apprécier les propos du Manu.
Jojo pour lui ça fait popu, la classe exécrée. Alors pour causer Gilets jaunes, sa suffisance les appelle Jojo…
Mais en français pas jojo signifie aussi pas beau, pas bien. Il peut même être affreux le Jojo!
Et le salarié Manu, il est vraiment pas jojo.
Il perd déjà ses tifs.
Avez-vous remarqué ses deux incisives féroces qu’aucun orthodontiste d’Amiens a réussi à rapprocher?
Et cette bouche, quasiment dépourvue de lèvre supérieure, qui sublime ses grimaces et son mépris.
Il a toujours les mêmes petites épaules frêles que ce gamin de quatorze ans qui subjugua sa prof de théâtre.
Quand Manul tombe la veste, il n’est que jambes… à tel point que son buste disparait. L’équilibre macronien.
Et puis son nez: immense, busqué, un peu de travers… Non seulement, il a du pif mais il a aussi du menton! Un vrai grand menton, bien marqué et qui va vraiment de l’avant, comme s’il voulait rejoindre son nez. Bref, il est moche.
Mais surtout, c’est moralement qu’il n’est pas jojo du tout!
Il invective, méprise, ment, pille le pays pour ses potes, son train de vie et celui de ses sbires… sans tabou, sans états d’âmes, encore et toujours, aux ordres du mondialisme.
Manu est fort malappris, d’une insupportable prétention, se gave de mots et de poudre de perlimpim, fait la pub d’un auteur pédophile ou de trans… ridiculise et insulte sans cesse la France…
Cependant, qu’hommage lui soit enfin rendu: il a fait surgir les Gilets jaunes.
Donc vive Jojo et les Jaujaunes!
Mitrophane Crapoussin