Quand les députés se considèrent au-dessus des lois. “C’est anormal que l’on vienne perquisitionner chez des députés parce qu’il y a des dossiers qui ne regardent personne”. La phrase est signée Bernard Debré, député Les Républicains, interrogé, ce mardi à l’Assemblée, concernant les perquisitions qui ont eu lieu, le même jour, au Palais Bourbon. Les enquêteurs travaillant sur l’affaire Penelope Fillon, soupçonnée d’emploi fictif, cherchaient notamment des fiches de paie manquantes de l’épouse de François Fillon, candidat à la présidentielle 2017 :
Pour Bernard Debré, il est “anormal que l’on vienne perquisitionner chez des députés”
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