Qui veut vivre libre ? Qui veut périr comme esclave ?

Tribune libre de Pierre-François Ghisoni*

La France coule, engluée dans un système économique perdant-perdant, dans une inflation de lois de blocage, dans un délire d’égalitarisme totalitaire, dans l’assassinat de son âme nationale, dans le mépris de son peuple matraqué, gazé au besoin. Et pour couronner le tout, un président délégitimé, déshonoré.

Tout cela est connu, exploré par des sociologues, des politiques, des témoins, et vécu sur le terrain.

Aucun organisme, ni social ni humain, ne peut survivre dans ces conditions car elles sont contraires à toutes les lois de la vie.

Pourtant, rien n’est tombé comme un coup de tonnerre dans un ciel serein. Au contraire ! Ce que Hollande met en place a été annoncé, tambouriné, seriné très ouvertement par ceux qui le souhaitaient, et très mollement combattu par des pseudo-droites trop occupées à croquer du gâteau et à se moquer du peuple, au sens le plus concret du terme.

Trois explications possibles qui ne s’excluent pas :

– Un pays trop vieux, usé jusqu’à la corde ?

– Une politique de bouts de ficelle ?

– Une anesthésie d’un peuple bâillonné ?

Alors, deux questions :

– Vivre ou mourir ?

– Libre ou esclave ?

J’ai choisi mon camp : VIVRE LIBRE.

Ce choix impose la lutte, personnelle et collective, pour reprendre pied à pied le terrain perdu.

Des solutions existent. J’en ai vu se dégager parmi les nombreux commentaires : ce sont celles de l’intelligence adaptée à la situation réelle.

Il faut les regrouper, les expliquer, les appliquer.

Si par malheur elles devaient se perdre dans un brouhaha médiatique, que les esclaves ne se plaignent pas de leur sort.

*Pierre-François Ghisoni (blog) est écrivain et éditeur.

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11 Comments

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  • Milou , 30 mars 2013 @ 0 h 50 min

    @Bertalot :

    Vous confondez libéralisme et collectivisme.

    Ce que nous vivons n’a rien de libéral, la politique monétaire menée (quantitative easing) est une politique collectiviste, idem pour la politique fiscale ou réglementaire.

    Tout démontre, comme en Suède qui fit faillite en 1992, à cause du même collectivisme, qu’une politique libérale engendre la prospérité économique.

    Après l’effacement des comptes, maintenant quasi inéluctable, nous aurons deux choix :

    1 – modèle argentin et le chaos. Le tiers monde en France en moins d’un an.
    2 – modèle suédois. La chute contenue pendant 3 ans, puis la prospérité.

    Concernant Rome, c’est lorsque Rome eu normalisé l’homosexualité, que l’empire romain est tombé !

  • Milou , 30 mars 2013 @ 0 h 51 min

    Tous ces fonctionnaires sont des chômeurs, c’est pour cela qu’ils siègent à l’Assemblée, car ils ne savent pas travailler.

  • bertalot , 30 mars 2013 @ 9 h 11 min

    franchement tu peux arrêter de dire ces âneries????????

  • bertalot , 30 mars 2013 @ 9 h 17 min

    si vous lisez les spècialistes (Sergent etc) vous verrez que la dichotomie homo/hététro était inconu dans l’antiquité classique
    donc qund vous dites que Rome a normalisé lhomosexualité vous dites quelque chose que les Romains nauraient pas compris

    ensuite la bixsexualité na pas empeche Cesar trajan ou Hadirne detre de grans empereurs

    cst plustot le christianisme qui a precipité la chute de Rome en la coupant de ses arcines et de ses valeurs et en pactisant avec les Barbares

    qund au collectivisme, je crois autant que la politique actuelle est un collectivisme que quand le tea party US dit que Obama est communiste

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