Quartiers du Nord-Est de Paris : Les femmes pas respectées, la preuve par l’image

Eric Martin
20 octobre 2012
Latest Update: 17 octobre 2017 15 h 09 min
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Le magazine “Complément d’enquête” diffusé ce vendredi par France 2 montre, grâce à une caméra cachée, le quotidien d’une femme européenne et habillée comme telle (sans excès), se promenant dans la rue, dans les Xe, XVIIIe et XIXe arrondissements, et essuyant, de la part des populations immigrées désœuvrées, des regards appuyés, des remarques désagréables, des commentaires agressifs… La volontaire finit même par être suivie par un Africain (“Malik”).

“Je me sens un petit peu comme une sorte de proie, comme un objet, absolument pas comme une personne dans ces cas-là et je n’ai pas du tout l’impression d’être à ma place. J’ai le sentiment qu’on me fait bien sentir que je ne devrais pas être dans la rue, que je ne devrais pas être seule, que je ne devrais pas être là et que cet espace ne m’appartient pas”, commente-t-elle. Tout est dit.

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JSG , 20 octobre 2012 @ 11 h 50 min
Après ça on nous dira encore que ça n’amène pas de l’eau aux moulins des intégristes musulmans qui veulent les coller toutes sous un sac !
Que font tous ces ‘gens’ oisifs, protégés par toutes ses associations de lutte contre -j’aime bien le terme pour des gens qui prêchent la tolérance…-
Dans les années 50, je ne sais si j’aurais pu rester comme ces individus planté, sans qu’une patrouille me demande ce que je faisais !
Bref, par laxisme, l’ambiance est maintenant au bordel général qui risque malheureusement de déboucher sur une dictature.
dormez tranquille braves gens.
JSG
John Deere , 20 octobre 2012 @ 11 h 55 min
Le glissement, c’est qu’avant, seules les femmes qui s’habillaient de façon un peu “provocante” (jupes courtes etc.) étaient importunées, et de façon peut être un peu moins dégradante qu’aujourd’hui. Désormais, on traite de pute n’importe quelle femme qui se ballade seule. Effrayant.
Goupille , 20 octobre 2012 @ 13 h 47 min
Et encore… Les “oisifs” ne font que pratiquer ce que les copains de Strauss-Kahn ont appelé “la drague lourde”, l’Africain abandonne sans maugréer.

Généralement, quand ils décrochent enfin, on a droit au passage au tutoiement et à l’insulte :
“Ben t’es là pour ça, non ?” (Nuit, Rue Saint-André des Arts, 1985, déjà…).
Ou mieux encore, inoubliable :
“Ouais, ben, dégage… Va sucer ton grand’père”. (Plein jour, Porte des Lilas, 1990…).

Ces gens sont des gentlemen.
Ralph , 20 octobre 2012 @ 15 h 27 min
Attention quand même à ne pas tout mélanger….
OSS117 aussi se retourne dans la rue quand il voit une jolie femme… La french touch, c’est aussi un sourire, une certaine légèreté, un clin d’oeil, à mille lieux du sifflement ou de la main aux fesses….
Et personnellement, quand je vois une jolie fille dans la rue, à plus forte raison quand sa tenue la met en valeur, je ne détourne pas les yeux…
La drague de rue (ou en boîte, au travail, au sport…) n’est pas non plus réductible à la drague lourde, quasi injurieuse, que l’on voit dans ces vidéos. Voir un Nicolas Dolteau, par exemple, qui montre que la séduction “à la française”, ça n’a rien à voir avec ces lascars qui insultent les femmes pour un rien.
jejomau , 20 octobre 2012 @ 15 h 30 min
Ce sont les amis de Manuel Valls. Ils se croient chez eux.. Oh ! Pardon : ils sont chez eux… Ils ont droit à toute notre compassion… sic !

A propos avez-vous commencé à préparer votre passeport ? Sait-on jamais ce qui pourrait arriver d’ici 5 ans.. Quand on voit comment ça tourne actuellement…
Ralph , 20 octobre 2012 @ 15 h 32 min
Bref, ne mélangeons pas tout. Entre la sinistrose d’un pays aux millions de célibataires, et l’agressivité vulgaire de ces “jeunes”, il y a un peut être un juste milieu à trouver, une ambiance où les relations hommes-femmes seraient apaisés. Je pense d’ailleurs que plus les jeunes filles se font “aborder” dans la rue par ces mecs stupides, et plus elles sont méfiantes et réservées vis à vis d’un jeune “bien” qui proposerait simplement un café après les cours à la fac, ou une expo à aller voir après le boulot….
Goupille , 20 octobre 2012 @ 16 h 16 min
Pas le passeport, la Kalach…