L’arrivée de migrants au Royaume-Uni a une influence sur le taux de fécondité du pays : celui-ci est passé de 1,64 en 2000 à 1,98 en 2010, selon Eurostat, une direction générale de la Commission européenne chargée de l’
L’augmentation du nombre de migrants, l’arrivée en âge de procréer de plus en plus d’entre eux, la tradition de la famille nombreuse chez ces populations expliquent ce phénomène démographique. La priorité donnée à la carrière, et par conséquent, l’arrivée plus tardive d’enfants chez les femmes nées sur le sol britannique dans les années 1960 et 1970 jouent aussi dans l’augmentation du taux de fécondité. Qui, du fait de l’immigration outre-Manche, n’est responsable que d’environ 30% de l’augmentation de la population britannique…
La presse britannique ne manie pas la langue de bois et note que “la France a un taux de natalité plus élevé que la Grande-Bretagne depuis les années 1990 » et que “ses taux de fécondité sont également poussés à la hausse par l’arrivée d’un grand nombre d’immigrants” (Daily Mail).
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