Strasbourg : la nourriture contenant du porc indiquée au restaurant universitaire

Au restaurant universitaire à Strasbourg, on peut encore manger du cochon. Toutefois, la nourriture contenant du porc est désormais indiquée, comme le montre la photographie ci-dessous. Ceci, on s’en doute, afin de ne pas froisser les susceptibilités alimentaires de certaines populations d’origine étrangère. Une photo qui traduit une adaptation des établissements publics à des coutumes fort peu alsaciennes…

Related Articles

63 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • luttetia , 16 décembre 2012 @ 16 h 40 min

    pourquoi parlé que des musulmans, les juifs ne mangent pas de porc.

  • Banro , 16 décembre 2012 @ 16 h 46 min

    Si j’ai bien compris “Celui qui n’en a rien à battre” c’est un “Virenquais” qui est devenu musulman de son plein à son insu !
    Vous me suivez …

  • Banro , 16 décembre 2012 @ 16 h 58 min

    Je suis désolé Goupille, il ne s’agit pas d’une blague antisémite mais d’une erreur de frappe, sans doute influencée par la phrase prononcée par Sarkozy quand il se rendait dans une banlieue “chaude”

  • westie51 , 16 décembre 2012 @ 17 h 07 min

    extrait d’un article de la fondation BB

    La France est pourtant signataire, depuis 1979, de la Convention européenne sur la protection des animaux d’abattage qui précise : “Les procédés d’étourdissements autorisés par les parties contractantes doivent plonger l’animal dans un état d’inconscience où il est maintenu jusqu’à l’abattage, lui épargnant en tout état de cause toute souffrance évitable”.

    Limiter autant que possible la souffrance

    Le principe qui préside dans les textes européens est celui de l’interdiction de l’abattage des animaux conscients, c’est-à-dire l’obligation d’étourdir les animaux avant leur mise à mort de façon à leur éviter toute souffrance inutile. Toutefois, des possibilités de dérogation ont été prévues, notamment lors d’abattages selon des rites religieux.

    En France, cette dérogation s’est généralisée à l’insu des consommateurs. Dans un rapport de novembre 2011, le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux précise que 51% des abattages pratiqués en France sont des abattages rituels, alors que les consommateurs musulmans et juifs ne représentent pas plus de 7% des consommateurs français. D’après la chambre d’Agriculture d’Ile-de-France : “100% des animaux abattus en Ile-de-France le sont selon les traditions musulmanes et juives”.

    De l’exception à la règle générale

    Les raisons de cette généralisation de l’abattage sans étourdissement préalable sont essentiellement économiques. Elle permet aux abattoirs d’accéder à de nouveaux marchés, celui de la viande casher et halal, tout en écoulant les invendus sur le marché classique. Or, cet écoulement se fait sans étiquetage particulier.

    Outre la nécessité d’informer le consommateur, il convient de faire respecter la réglementation dont le principe est celui de l’interdiction de la souffrance animale. En 2004, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a émis un avis pour la Commission européenne selon lequel “en raison des graves problèmes de bien-être animal liés à l’abattage sans étourdissement, un étourdissement doit toujours être réalisé avant l’égorgement” (….)

    Alors, pour être sûr de na pas manger halal et participer à la construction de mosquées, puisqu’une taxe est reversée à chaque fois que vous achetez (souvent à votre insu faute d’étiquettage) de la viande, mangez du cochon, car dans le cochon tout est bon !

  • Yves , 16 décembre 2012 @ 17 h 20 min

    Bonjour Banro,
    Je donne mon sang et je me gausse de vacciné ! tous ces mécréants qui ne pas de cochon
    (C’est si bon) et puis dans le cochon tout est bon ,n’est ce pas!

  • Yves , 16 décembre 2012 @ 17 h 22 min

    Je dis bien “qui ne mangent pas de cochons”.-

  • Yves , 16 décembre 2012 @ 17 h 29 min

    C’est parce que, nous avons des colla os.

Comments are closed.