DOCUMENT / L’islam constitue-t-il un obstacle insurmontable à une intégration réussie ?

Allocution de Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine, au colloque de l’Institut de géopolitique des populations organisé ce samedi 13 avril sur “l’immigration et les élections”

Jusque dans les années 90, quand je me promenais en ville je ne savais rien des gens que je croisais, en-dehors de leur sexe, du fait qu’ils pouvaient être étrangers si je les entendais parler et, parfois, de leur métier ou situation sociale en fonction des vêtements particuliers que certains portaient.

Je m’y sentais bien. Dans mon élément, chez moi.

La rue était lieu de vie en commun, un espace par excellence où l’on pouvait échanger, faire connaissance, discuter et se disputer, bref, vivre ensemble.

Enfant, je n’avais connu de l’altérité, de l’étrangeté, que les chuchotements des adultes à propos du papa de la petite voisine avec laquelle je jouais. J’ai retenu le mot “harki” qui revenait et que je ne comprenais pas. Je comprenais seulement qu’il y avait autour de cet homme une histoire difficile, honteuse (pour lui ? pour nous ? ) mais que cela ne nous empêchait pas de rire ensemble, de manger ensemble, de vivre ensemble.

Et puis, et puis… 1976, mon premier mari pris à partie sur le campus où il venait me chercher par deux individus le traitant de “sale juif”. Délit de facies insupportable – et absurde puisque mon mari n’était pas juif, ce qui ne change rien à l’histoire. Anecdote perturbante. Tout à coup je me sens en danger dans l’espace public, tout à coup je comprends qu’il y a dans mon pays une violence, des refus, des haines… qui me dépassent.

Deuxième anecdote perturbante. 1989. L’affaire du voile à Creil. Des gamines qui veulent porter le voile ou à qui leurs parents imposent de porter le voile. Non seulement dans la rue, mais en classe. C’est un cataclysme. Tout à coup il y a des filles, des femmes, qui sont à part, qui se mettent à part, qui portent ce qui pour moi est une étoile jaune, un marquage infâmant et je comprends que le vent tourne, que le monde change. Je ne comprends pas encore vraiment que l’islam vient de sonner le début de l’hallali, je ne sais pas vraiment ce qu’est l’islam, à peine sais-je qu’il existe.

Troisième anecdote perturbante. 1990. Je rencontre celle qui deviendra ma meilleure amie, une Algérienne faisant son doctorat de physique en France. Elle me parle de son pays, de ses parents, des intellectuels anti-islam, qui demandaient à leurs fils, comme à leur fille, d’étendre le linge et de faire la cuisine. Peu après elle me parle du FIS, de ses parents qui sont obligés de se cacher, de dormir chaque soir dans un nouveau lieu parce que le père, un journaliste qui s’oppose aux islamistes, est condamné à mort et se prépare à fuir en France. Mounira se ronge les sangs, je découvre tout à coup qu’au nom d’une prétendue religion on peut mourir dans son propre pays, de mort violente, sans procès. C’est un traumatisme, je fais le lien avec l’agression subie par mon premier mari en 1976, avec l’affaire du voile à Creil en 1989 et je comprends que le pays de Voltaire va cesser d’être cet espace neutre où l’on est tous égaux, semblables et à l’abri.

Bref, vous l’avez compris, c’est la visibilité de l’islam, – et ce bien avant que les Belphégor issues d’Afghanistan n’envahissent nos trottoirs – qui a changé mon regard sur le monde, sur l’espace public.

Alors, cet islam apporté par une immigration incontrôlée, par le rapprochement familial qui a transformé les CDD de nos travailleurs nord-africains des années 60 en CDI, est-il vraiment un “alien”, un élément étranger tel qu’il empêche et empêchera irrémédiablement ses fidèles d’entrer dans l’espace commun, de faire partie de la communauté française ?
Afin de répondre à cette question, on rappellera ce que fut l’islam, en France et dans le monde, entre les années 1950 et 1976 (date du regroupement familial), puis ce qu’il est devenu jusqu’à nos jours, avec le tournant du 11 septembre 2001. Enfin nous évoquerons les textes fondateurs de l’islam et l’histoire des pays musulmans pour dire si, oui ou non, l’islam constitue un obstacle à une intégration réussie, et même, en allant plus loin, si l’islam est compatible avec notre culture, notre pays et nos valeurs. .

I – L’islam en France entre 1950 et 1976

Il n’y a aucun problème. Les travailleurs musulmans se font modestes, on les repère dans la rue parce qu’ils sont un peu plus basanés que les autres et qu’ils ont un accent quand ils parlent, mais ils ne nous dérangent pas, on les aime bien, ils sont chaleureux, à l’écoute. Ils s’habillent comme vous et moi, ils vivent comme vous et moi. S’ils sont invités ils font comme leurs hôtes, tout au plus certains mettront-ils de côté le porc ou ne boiront pas d’alcool mais tout cela n’a pas grande importance, même pour eux, et ils n’utilisent jamais le mot “halal”. C’est que, d’une part, ils viennent de pays qui ont été colonisés longtemps, que les valeurs occidentales ont fait leur lit et… leurs preuves et que les jeunes élites à l’université vivent comme leurs camarades et amis européens et surtout français, se passionnant pour la politique et regardant la religion comme un archaïsme sans intérêt. Et puis, les musulmans sont peu nombreux ; dans leur tête ils sont de passage, venant travailler pour un an ou deux, remplacés ensuite par leur frère, leur cousin, leur voisin… Ils prennent donc le pays comme il est, et appliquent les tolérances du coran en pays non musulman : il y est licite de n’y pas manger halal. Il ne viendrait à l’idée de personne de faire des prières dans les rues ni de réclamer à la cantine des repas halal ou la construction de mosquées…

La terre de France n’est pas terre d’islam, Dar al-Islam, maison de la paix, et, depuis la fin du califat en 1924, les musulmans ont laissé de côté l’idée de conquête, de maison de la guerre ( Dar al-Harb) qui concernait les terres non musulmanes. Le démantèlement de l’empire ottoman de 1924 a en effet marqué un sérieux coup d’arrêt à l’expansion musulmane et a fragmenté en peuples différents la “oumma” la communauté musulmane, qui n’a plus de “calife” c’est-à-dire de commandeur des croyants. Par ailleurs, l’islam a également pris du plomb dans l’aile sous la férule de Bourguiba, Nasser ou Atatürk qui ont des émules et l’on aura bien d’autres soucis que l’islam en terre musulmane entre 1924 et 1976 avec la décolonisation, le nationalisme et les difficultés économiques des jeunes nations qui ont chassé leurs colonisateurs.

Aucune possibilité, donc, pour les musulmans vivant en France de se croire en terrain conquis. Ils y sont de passage, et ils ont le sentiment d’avoir été les grands perdants de toutes les guerres des XIXème et XXème siècle, les puissances occidentales ont même fait disparaître le Califat en 1924 et les ont obligés à vivre sous leur domination encore un quart de siècle ; leurs principaux dirigeants, d’Atatürk, mort en 1938 à Bourguiba destitué en 1987 en passant par Nasser mort en 1970 sont amoureux de leurs pays et donc, à ce titre, désireux de les entraîner dans la modernité, ce qui suppose que les femmes soient émancipées et que les vieilles superstitions, les vieux interdits soient sinon oubliés du moins relégués à des pratiques individuelles, rassurantes et assurant la cohésion culturelle du peuple. Rien de plus. L’islam est en train de devenir un simple marqueur culturel, même dans les pays dits musulmans et, surtout, l’islam en tant que système totalitaire veillant à tous les éléments de la vie de ses fidèles est vaincu !

L’islam existe par la volonté et l’enseignement d’un chef de guerre, Mahomet le sanglant, Mahomet le conquérant ; si l’islam est vaincu il n’est plus l’islam. Alors la défaite de 1924 sonne comme une honte, comme un coup de massue, et calme, pour un temps, les aspirations de domination et de conquête de ses séides.

C’est qu’en islam on a du respect et de l’admiration pour le fort, fût-il votre vainqueur, et du mépris pour le faible.

La France est forte, dominante, les Algériens qui arrivent en France après 1962 sont déboussolés par ce pays que les nouveaux maîtres algériens leur disent de haïr mais qu’ils ne peuvent s’empêcher d’aimer parce que la culture française c’est la leur, ils baignent dedans puisqu’ils sont nés dans l’Algérie française et parce qu’elle demeure la mère nourricière, celle qui, en leur donnant du travail, permet à leur famille de survivre.

Alors, peut-on parler d’intégration à cette époque ? Non, parce que les immigrés musulmans ne font que passer et qu’ils n’ont pas envie de devenir français et de demeurer en France, pressés qu’ils sont de retrouver leurs familles, mais on peut parler de cohabitation pacifique et respectueuse de la France, ses valeurs et ses coutumes (début prometteur de ce qu’aurait pu être une intégration réussie si l’islam avait cessé d’être… l’islam). Bien sûr, rares sont les travailleurs musulmans avec leurs familles, alors ils vivent le plus souvent dans des foyers, à plusieurs célibataires dans un appartement, puisque le but est de dépenser le moins possible pour rapporter le plus possible au pays.

Raison de plus pour que la cohabitation se passe bien, pas de quartiers-ghettos, pas de familles habituées, au pays, à faire garder les enfants, dehors, par l’ensemble de la communauté parce qu’il y fait chaud et qu’on vit dehors. Pratique impossible en France où l’on s’enferme chez soi et où on garde et élève soi-même les enfants.

Tout cela se passe à peu près bien jusqu’à cette funeste année 1976 où Giscard d’Estaing, sous prétexte d’humanité (pour ne pas avouer son désir de nous imposer une société multiculturelle plus facile à manœuvrer pour l’ultralibéralisme qu’il nous prépare), invente le regroupement familial. Et, coïncidence ? Cela arrive peu après le premier choc pétrolier qui montre et la fragilité des puissances occidentales et la montée en puissance des pays musulmans détenteurs de ressources gazières et pétrolières.

II – L’islam en France, de 1976 à nos jours

C’est le début de la catastrophe annoncée, allant crescendo.

Au moment où le choc pétrolier arrive, que le plein emploi disparaît, que l’on interdit aux Etats de battre monnaie (janvier 1973) pour les obliger à emprunter sur les marchés, que les difficultés économiques et le chômage rendent la vie des Français plus incertaine et difficile, on décide que les immigrés auront le droit de faire venir leur famille.

Autrement dit, on transforme sans le dire un CDD, un permis de court séjour, en CDI, un permis de long séjour, avec la garantie de pouvoir vivre, comme les Français, en famille.
Mais sans contrepartie. Sans exiger que l’on vive comme les Français, que l’on se conforme aux habitudes de vie françaises.

1. Jusqu’au 11 septembre 2001

Les tensions se font jour, en France, et dans le monde, et l’islam sert de cohésion, de marqueur, de motif d’opposer les bons (les musulmans) et les mauvais (les Occidentaux, décadents).

C’est le temps des attentats des terroristes palestiniens. Celui des attentats de la rue des Rosiers (1982) et de la rue Copernic, et la période dite “septembre noir” avec 13 attentats sur le sol français d’une cellule du Hezbollah réclamant la libération de terroristes arabes emprisonnés.

C’est le temps de l’attentat du World trade center en 1993, qui sonne comme une déclaration de guerre à l’Occident.

C’est aussi le temps où Khomeiny, depuis la France, prépare et organise la révolution qui va faire faire aux Iraniens un bond de plusieurs siècles en arrière.

C’est le temps où les Frères musulmans, nés en 1928 en Egypte, prennent de plus en plus de pouvoir et développent l’idée de renaissance islamique contre les valeurs occidentales, de renaissance du Califat.

C’est le temps où naît le Hamas, dont la charte prévoit la destruction d’Israël et qui veut appliquer l’islam le plus fondamentaliste.

C’est le moment où Sadate, en Egypte, pour se débarrasser de l’extrême gauche, favorise les Frères musulmans et leur promet l’intégration de la charia dans les lois égyptiennes…
Bref, on assiste au retour de l’islam des origines, c’est-à-dire de l’islam de toujours : conquérant, violent, défendant en tous lieux, quelles que soient les circonstances, quels que soient leurs torts, les membres de la communauté musulmane, c’est l’islam de l’oumma, la communauté musulmane, brandi comme LA différence fondamentale avec les décadents occidentaux et permettant à l’islam de renouer avec ses origines : supériorité des musulmans et obligation du djihad, la guerre sainte, la guerre de conquête.

Pendant ce temps, la loi Pleven, de 1972, avait déjà préparé les esprits aux monstruosités de l’ère Mitterrand, qui a tout fait pour que l’islam soit protégé. La création de SOS racisme en 1984 est fort utile pour la limitation de la liberté d’expression, et la loi Gayssot ( 1990) achève le travail.

Pendant ce temps, les pays de l’OPEP négocient avec l’UE une limitation du prix du pétrole en échange de la promotion de la civilisation arabo-musulmane et surtout de l’islam dans nos pays, notamment via l’école.

Bref tout est prêt pour que, peu à peu, des familles peu éduquées qui arrivent dans le cadre du regroupement familial soient encouragées par nos dhimmis à ne pas perdre leur identité musulmane, leur culture, et même à la revendiquer.

C’est dans ce contexte qu’arrive le 11 septembre 2001.

2. Du 11 septembre 2001 à nos jours

C’est l’ère du conflit de civilisation clairement entamé, clairement clamé, clairement revendiqué.

Que ce soit les attentats de Londres ou de Madrid ou les émeutes dès qu’on touche à l’islam dans un pays occidental, il est clair que la guerre est déclarée et que les musulmans les plus radicaux sont décidés à imposer la loi de l’islam et ses limites à la liberté d’expression à tous, avec la complicité des dhimmis qui nous gouvernent.

La guerre est déclarée, la guerre sous toutes ses formes.

Les Frères musulmans, l’Arabie Saoudite, le Qatar, les islamistes de France… cherchent à imposer à tous les musulmans, qu’ils soient en maison d’islam ou en maison de guerre, l’application stricte, littérale, du coran et des haddith-s de Mahomet.

La partie émergée de l’islam, c’est, bien sûr, le nombre des voiles qui se multiplient ( il semble bien que nombre de voilées, dans le sud de la France et ailleurs, au Liban, par exemple, ont été rémunérées par l’Arabie Saoudite p sont nombreux, et ils on our porter le voile, devenant ainsi des petites soldates de l’islam). Mais c’est aussi les revendications dans les cantines, le succès du halal qui conduit 60% des animaux abattus dans notre pays à l’être selon l’abattage rituel pour un maximum de 10 à 15% de la population. C’est, bien sûr, les revendications de constructions de mosquées (150 mosquées en 1976, environ 2500 aujourd’hui) et tant d’autres choses qui changent mais aussi perturbent et le paysage français et la possibilité de vivre ensemble.

Les soldats de l’islam sont à l’oeuvre. Ils ont 3 tâches :

Faire régner la terreur sur tous les nés musulmans qu’on surveille, qu’on incite par les menaces à faire ramadan, à ne pas consommer de porc ou d’alcool, à voiler leurs femmes et leurs filles, à fréquenter la mosquée.

Faire régner la terreur chez les non musulmans pour les contraindre à respecter les obligations de l’islam, émeutes quand une femme emburkinée est arrêtée, émeutes quand un musulman, fût-il criminel, est emmené au poste, plaintes quand un intellectuel comme Redekker dit la réalité de l’islam et aucune condamnation, au contraire, de la fatwa le condamnant à mort, dynamitage de Charlie Hebdo, manifestations de protestation dès qu’un maire ne propose pas de repas de substitution à la cantine…

Occuper l’espace public et les medias avec des taupes de l’islam qui, avec des mensonges (la takkia, licite en islam) vont donner une image “soft”, progressiste de l’islam afin de faire croire au commun des mortels qu’un islam de France serait possible et que l’islam serait compatible avec la République. Et là où ils jouent gagnant c’est que medias, élites politiques et intellectuelles jouent leur jeu. La diabolisation commencée dans les années 80 marche pleinement. Celui qui s’émeut de voir l’espace public transformé est, forcément, un raciste.
Il n’est donc pas pensable que les musulmans sous surveillance de leur communauté, ainsi que les plus pieux, ce qui fait beaucoup de monde, si l’on considère le nombre de prieurs dans les rues de France chaque vendredi pendant des années, s’intègrent, c’est-à-dire se fondent dans le paysage, soient perçus comme des citoyens comme les autres, se perçoivent comme des citoyens comme les autres, puisque la particularité de l’islam, c’est de marquer la différence entre les musulmans et les autres. Alors, intégration impossible, car refusée, pour ne pas parler d’assimilation…

S’il y avait intégration ou assimilation, cela se passerait comme cela s’est passé pour les Espagnols, Italiens, Polonais, Portugais… venus nombreux s’installer en France au XXe siècle : les musulmans donneraient des prénoms français à leurs enfants ( dans les quartiers et villes islamisées il suffit de regarder les avis de naissance pour constater que les Mohamed ou Mehdi sont systématiques quand ils sont suivis d’un nom à consonance africaine, sans parler du souci pour les parents de voir les prénoms acceptés par les consulats étrangers pour que les enfants bénéficient de la double nationalité, affirmant ainsi leur désir de ne pas choisir vraiment la France) ; bien sûr les vêtements sont des marqueurs et on ne porte pas par hasard voile, nikab, kami ou simple djellabah en France… C’est, délibérément, un message adressé aux Français : “je suis d’abord et avant tout musulman et je ne partage pas les valeurs et traditions françaises”.

Quoi d’étonnant ? Il s’agit là du retour aux fondamentaux de l’islam et si les demandes de construction de mosquées, qui changent notre paysage en attendant que l’appel du muezzin nous soit imposé sont si nombreuses c’est bien parce qu’ils sont en train d’inverser la norme. Ils sont en train de nous habituer à vivre en terre d’islam…
Ce que nous ne voulons pas parce que l’islam est à des années-lumières notre conception de l’être humain et de la liberté.

III – L’islam ne permet pas l’intégration ni l’assimilation

Si l’on excepte les moments de l’histoire où l’islam a été tenu à distance, vaincu en même temps que les pays où il était religion dominante, mis sous tutelle par les colonisateurs des pays musulmans ou les progressistes des pays musulmans après la décolonisation, l’histoire de l’islam n’est que guerre, conquête, mise en valeur de la supériorité des musulmans, refus de la loi des hommes, de la démocratie, de la liberté d’expression et de la laïcité, tous incompatibles avec l’islam.

L’islam est incompatible avec la République, avec l’égalité homme-femme, avec la liberté d’expression, et, à ce titre, interdit à ses fidèles, s’ils veulent continuer à être considérés comme de bons musulmans, à ne pas être mis au ban de la communauté, de s’intégrer, de vivre comme un citoyen lambda et non comme un musulman.

Or, le musulman doit obéir au coran, dicté par Dieu via l’ange Gabriel à Mahomet, il est donc “incréé”, autrement dit intouchable. On ne peut ni supprimer les versets qui encouragent à la barbarie et au meurtre ni mettre en doute la validité des commandements de la divinité et de son prophète.

Quelques versets et haddith-s, sans parler de déclarations d’organisations musulmanes internationales, permettent de le montrer, tout simplement. Je n’en citerai que 4, au hasard, afin de ne pas lasser, mais il y en a des centaines, oui, des centaines…

« Les hommes ont autorité sur les femmes à cause des préférences de Dieu et à cause des dépenses des hommes » (4:34) ou « Prophète, incite les croyants à combattre : si vingt de vous sont endurants, ils seront vainqueurs de deux cents, et cent seront vainqueurs de mille incroyants qui sont des gens qui ne comprennent rien » (8:65-66),
« La déclaration des droits de l’homme en Islam » adoptée au Caire en 1990 par les 57 pays musulmans qui constituent l’OCI (Organisation de la Coopération islamique) précise, dans son article 6 : « La femme est l’égale de l’homme au plan de la dignité humaine » et, dans son article 22 : « Tout homme a le droit d’exposer librement son opinion pourvu qu’elle ne soit pas en contradiction avec les principes de la Charia. »

4 passages qui montrent que le coran affirme la supériorité de l’homme sur la femme, celle du musulman sur le non musulman (qui a toujours un statut inférieur, de dhimmi, dans les pays musulmans), celle de la force sur la discussion, celle de la charia sur la loi des hommes et interdit, carrément, la liberté d’expression. Bref, un système totalitaire s’il en fut que les plus ardents auto-proclamés “anti-fascistes “, à l’instar d’un Mélenchon, révèrent… pour mieux cracher sur le peu qui reste de catholicisme dans notre pays, pourtant respectueux des lois et cantonnant la pratique du culte et les signes de l’appartenance à cette religion à la sphère privée.

Je citerai pour terminer d’abord un extrait de La Force de la Raison d’Oriana Fallaci qui résume en quelques lignes la visée expansionniste de l’islam et permet de comprendre pourquoi il n’est pas d’intégration possible pour ceux des nés-musulmans qui veulent se conformer aux prescriptions de leur système politico-religieux puis des extraits du livre de René Marchand, Reconquista ou Mort de l’Europe qui montrent en quoi l’islam n’est pas compatible avec notre civilisation :

D’abord ces quelques lignes d’Oriane Fallaci :

Dans chacune de nos villes, il y a une seconde ville. Une ville superposée et semblable à celle que, dans les années soixante-dix, les Palestiniens créèrent à Beyrouth, établissant une Etat dans l’Etat, un gouvernement dans le gouvernement. Une ville musulmane, une ville gouvernée par le Coran. Une étape de l’expansionnisme islamique. Cet expansionnisme sur lequel personne n’a jamais réussi à prendre le dessus. Personne. […] Car l’unique art où les fils d’Allah ont toujours excellé, c’est l’art d’envahir, conquérir, soumettre. La proie qui leur a toujours inspiré la plus forte convoitise, c’est l’EUROPE, le monde chrétien ; et si l’on jetait un coup d’œil à l’Histoire que certains musulmans voudraient contrôler ; c’est-à-dire effacer ?

En 635, trois ans après la mort de Mahomet, les armées du Croissant, envahirent la chrétienne Syrie et la chrétienne Palestine. En 638, elles prirent Jérusalem et le Saint Sépulcre. En 640, une fois conquises la Perse, l’Arménie et la Mésopotamie, l’actuel Irak, elles envahirent la chrétienne Egypte et débordèrent sur le chrétien Maghreb, en Tunisie, en Algérie et au Maroc. En 668, elles attaquèrent Constantinople pour la première fois, lui imposant un siège de cinq ans. En 711, après avoir traversé le détroit de Gibraltar, elles débarquèrent dans la très catholique Péninsule Ibérique, s’emparèrent du Portugal et de l’Espagne où, malgré les Pélage et Cid Campeador et les divers souverains engagés dans la Reconquista, elles restèrent pendant huit bons siècles. Celui qui croit au mythe de la « cohabitation pacifique » qui, selon les collaborateurs, caractérisait les rapports entre les conquis et les conquérants, ferait bien de relire l’histoire des couvents et des monastères brûlés, des églises profanées, des religieuses violées, des femmes chrétiennes ou juives enlevées pour être enfermées dans les harems.

Ensuite celles de René Marchand :

Essayons-nous à un bref inventaire des articles de foi d’un Musulman, à quelque « variété » qu’il appartienne :

– Allâh est unique. Strictement.
– Allâh a révélé aux hommes le Coran, livre éternel comme Lui, valable pour tous les hommes de tous les temps et de tous les lieux. Depuis le IXe siècle (IIIe siècle de l’Hégire), mettre en doute l’éternité du Coran est commettre le crime péché d’apostasie, punissable de la mort. Tous les Musulmans lisent aujourd’hui le même Coran.
– Il n’a créé qu’une humanité et, pour cette humanité, une seule religion-loi, qui est l’Islam..
– La source de la Loi est divine. Aucune loi d’origine humaine ne peut lui être opposée.
– Les fondements de la Loi sont le Coran d’une part, les faits et dits de l’Envoyé d’Allah et de ses premiers Compagnons.
– La finalité de la Loi est de conduire l’humanité tout entière à se conformer à la volonté d’Allâh.
– Le devoir de tout Musulman est de se conformer à la Loi.
– La Loi stipule des sanctions pour ceux qui la transgressent. Lesquels seront également punis après leur mort.
– La Loi garantit des récompenses dans l’Au-delà pour les bons Musulmans.
– La Loi recouvre tous les aspects de la vie humaine, y compris les mœurs, les coutumes, les manières de se vêtir, manger, forniquer, déféquer… La liberté individuelle n’existe pas. L’autonomie de comportement d’un individu n’est tolérée que dans le cadre de la Loi.
– Les distinctions sacré-profane, religion-politique, péché-crime, religion-morale, droit public-droit privé…, essentielles dans la civilisation européenne, ne sont pas transposables en Islam.
–Les Musulmans, hommes pieux, moraux, élus d’Allâh, sont d’une essence supérieure aux autres hommes, parce que chargés de mission par Allâh.
–L’Islam conquerra le monde, car telle est la volonté d’Allâh.
– Le devoir de tout Musulman est d’œuvrer à cette fin par les moyens recommandés par la Loi, dont la guerre, différentes autres formes de violence et la ruse, en imitant le beau modèle Mahomet.

Tout est dit.

Alors quel sort nous est réservé ? Devons-nous considérer que tout est joué et que nous devons nous résigner à jouer les dhimmis ?

Conclusion

Bien sûr que non. Tant qu’il y aura des gens de bonne volonté, des hommes et des femmes prêts à mourir pour ne pas laisser à leurs enfants et petit-enfants un monde qui ne vaudrait pas la peine d’être vécu, tout sera possible.

Nous sommes le peuple de France, nous nous devons de nous réveiller, de nous lever. C’est pourquoi je vous invite à venir manifester avec Résistance républicaine le 5 mai prochain “pour la défense des nôtres, de la France, des Français moyens qu’on pressurise et qui vivent de plus en plus dans l’insécurité”.

Parce que vous comme nous en avez assez de l’islamisation, de l’immigration, de l’insécurité, de la disparition de nos valeurs, de nos traditions, de la liberté d’expression et de tout ce qui constituait le bonheur de vivre dans notre douce France.

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  • 0 / 10
  • raptor , 16 avril 2013 @ 12 h 40 min

    @degabamachin chouette,

    “Et pour finir avec des Pères blancs cachant les fells chrétiens comme ils le firent avec les musulmans,beau résultat vraiment.
    Auriez vous aussi déjudéisés avant 1870 les indigènes juifs?

    Les prêtres rouges furent des traitres et des ordures, il n’y a pas de quoi en être fier! Quant aux fells chrétiens, vous n avez peur de rien.
    Et les juifs n ont posé aucune problème en Algérie, contrairement aux musulmans!

    “Je parlais des rapports humains de tous les jours que l Islam ne troublait pas beaucoup.”

    Vous n en savez rien, et la plupart des gens vivaient en communautés distinctes, se fréquentant peu.

    “Oui, et il n’y a pas que moi à l »être par cette discrimination prise à la sauvette par un gouvernement illégitime,à voir les réactions des Kabyles qui avaient combattu dans l armée française,du gouvernement légal qui a suivi et dont certains députés ont tenté de le faire annuler,et le général Giraud » nommé à la tête du Commandement en chef français civil et militaire.”

    Tiens, je me doutais bien qu on verrai bien les pétainistes se manifester. Ce fut donc là votre camp, ce ne fut pas le mien. Quant à la légalité, sachez que les régimes communistes furent légaux!

    « pas tant » et « beaucoup » semble être contradictoire à moins qu ils ne les aient égorgés pour le plaisir.”

    Il y eut probablement de ça, le sadisme est très ancré dans leur mentalité.

    Quant à vos » il fallait » et » y avait qu à », le putsch d avril 61, où chacun avait son idée de son Algérie française,la majorité des Français étaient contre.

    Vous vous rendez compte que votre phrase na pas de sens. Et puis lavis des français, je men tape, ils se sont plantés largement comme en 1938, 1940, 1981… D ailleurs, De Gaule lui-même a bien dit que c était des veaux.

    “De votre camp, je n en ai rien à foutre. Ce qui m intéresse ce sont qui me lisent et s instruisent factuellement.”

    Ah merci grand maitre tout puissant détenteur du savoir universel de daigner instruire les pauvres étrons que nous sommes. Bon sérieusement, pour le savoir, on repassera. Et votre camp, je lui crache allègrement dessus.

    Décidément, les islamophiles sont près à n importe quoi pour défendre leurs idées à la noix!

  • Bernard , 16 avril 2013 @ 13 h 59 min

    ET POURTANT ELLE EST MAGHREBINE !!!! A T ELLE TORT ????
    Ancien ingénieur d’affaires et de recrutement de cadres de PME, aujourd’hui membre du Haut Conseil à l’intégration, Malika Sorel a passé ses dix premières années en France, avant de suivre ses parents en Algérie où elle suit sa scolarité. Après avoir terminé l’école polytechnique d’Alger, elle revient en France, où elle suit le troisième cycle de Sciences po.En 2007, elle publie : le Puzzle de l’intégration et les Pièces qui vous manquent (Mille et une nuits). Elle y explique que la question de l’immigration-intégration doit être traitée globalement et non plus de façon sectorielle, qu’il faut cesser d’octroyer la nationalité française à des personnes qui ne sont pas prêtes, psychologiquement et moralement, à l’assumer, et s’appliquer, en revanche, à faire respecter la loi française par tous, sans exception.> > > > Pourquoi avez-vous écrit ce livre ?> > > > Les émeutes de 2005 m’ont poussée à écrire ce livre parce que je me sentais responsable de n’avoir, alors, rien dit. Moralement, mais aussi sur le plan affectif, je ne supportais plus cette injustice vis-à-vis du peuple français : les Français sont bâillonnés, et quand ils osent s’exprimer, on leur fait un procès en racisme ou en xénophobie alors qu’ils veulent simplement préserver leur identité.> > > > Mes origines me permettaient peut-être, de dire que la véritable victime de l’immigration est le peuple français.> > > > Vous parlez beaucoup du rôle délétère de la « repentance ». Non seulement pour les Français, mais pour les immigrés eux-mêmes. > > > > Le rôle des élites françaises a toujours été déterminant dans l’instrumentalisation de l’histoire.> > > > La décolonisation a traumatisé tout le monde, soit ! Mais il devrait tout de même être possible, cinquante ans après des drames partagés, de traiter sereinement du passé, avec ses ombres et ses lumières, au lieu de renier son histoire en se laissant enfermer dans la dialectique culpabilisation – victimisation.> > > > Or, c’est malheureusement ce qui se passe. Le discours dominant ne parle que des « horreurs » de la colonisation , et plus personne n’écoute le peuple français, qui est pourtant le plus légitime pour parler objectivement des problèmes engendrés par l’immigration.> > > > De surcroît, transformer les Français de souche en bourreaux, n’a fait qu’injecter le poison de la haine dans le cœur des enfants issus de l’immigration..> > > > La France fait beaucoup pour les i mmigrés et leurs descendants, et ceux-ci ont encore énormèment à faire pour se rapprocher des Français de souche européenne, en particulier les Maghrébins et les Africains dont la culture reste très éloignée de celle de leur pays d’accueil. Il fallait d’emblée être ferme et affirmer que nos valeurs fondamentales ne changeraient pas. On a fait l’inverse. Dans ces conditions, il est naturel qu’ils développent de moins en moins d’efforts pour respecter les normes collectives françaises. Ils sont convaincus que celles-ci vont changer pour s’adapter à eux. > > > > Pourquoi l’idée de « discrimination positive » est-elle dangereuse à vos yeux ? > > > > Parce que c’est une escroquerie. L’intégration n’est pas un ascenseur automatique, mais un parcours semé d’obstacles ! L’idée que l’on puisse progresser dans la société de manière passive est absurde. C’est un engagement sur plusieurs générations, la famille entière doit s’engager autour du projet éducatif. Aujourd’hui, beaucoup d’élèves ne font plus rien. Il faut arrêter de les bercer de mensonges ! Pour réussir, il faut se prendre en main.> > > > Et puis la « discrimination positive » est injurieuse pour les immigrés eux-mêmes : on part du principe que les gens issus de l’immigration n’y arriveront pas seuls parce que les Français les détesteraient. C’est zéro pointé sur toute la ligne. Quand vous travaillez dans une équipe, il faut acquérir sa légitimité auprès des autres. Si vous n’avez pas respecté le même processus de sélection, c’est impossible. Pour devenir légitimes, les personnes issues de l’immigration doivent se plier aux mêmes exigences que les autres.> > > > Vous êtes également très sévère avec la Halde !> > > > Elle joue un rôle d’exaspération et de crispation entre les groupes. Elle passe le plus clair de son temps à exacerber les tensions en disant que les gens issus de l’immigration sont victimes de notre société, alors que c’est l’ignorance des codes sociaux et culturels qui empêche les jeunes d’être recrutés. Cela avait été parfaitement mis en évidence par l’analyse d’entretiens d’embauche auxquels la sociologue Jacqueline Costa-Lascoux avait assisté. Le fait qu’on accepte d’eux ce qu’on n’accepterait jamais des autres ne fait que les enfermer dans leurs propres codes culturels.> > > > J’ajoute que je prends comme une bonne nouvelle la mise sous tutelle de la Halde. Mais il faut, à terme, qu’elle disparaisse. Le système judiciaire français est là pour traiter des vraies affaires de discrimination. On n’a nul besoin d’une institution qui participe, vraisemblablement sans le vouloir, à dresser les gens les uns contre les autres.> > > > Qu’opposer, alors, aux doctrines que vous dénoncez ? > > > > Rien d’autre que le modèle d’intégration républicain qui fonctionnait très bien ! On doit accueillir les gens dans la communauté française et non l’inverse. Ils doivent respecter le système français. Si on avait fait ça, on aurait suscité le désir d’intégration. Mais comment y parvenir quand on injecte 200 000 nouveaux entrants par an dans une société déjà en proie à des difficultés majeures ? C’est irresponsable, grave et fondamentalement dangereux.> > > > Il est évident que là réside le défi des prochaines années : si l’on continue comme aujourd’hui, nous irons vers des troubles majeurs. Trop de gens arrivés r écemment n’éprouvent plus le besoin de respecter la loi de la République, et reconstituent leurs sociétés d’origine sur le territoire français. Si rien n’est fait pour y mettre un terme, la pression va devenir rapidement intenable. > > > > Quelles pressions, justement, exercent ces sociétés reconstituées ? > > > > Dans les cultures maghrébines et africaines, le groupe prend possession de l’individu. Or, plus la société est déstructurée et permet des accommodements, plus les membres des groupes mieux structurés sont tentés de bafouer les règles françaises, qu’on peut défier à moindre risque. La culture de l’école de la République que les enfants ramènent à la maison est aussitôt rejetée parce qu’elle ne correspond pas aux normes culturelles d’origine.> > > > Le racisme anti-blanc est une réalité. L’insulte suprême utilisée, c’est ” céfranc “. Les professeurs nous le disent : être sérieux en cours, c’est déjà, pour certains, vouloir devenir français : une honte, car assimilé à une traîtrise. Les bons élèves sont, de ce fait, de plus en plus soumis à des pressions par les enfants issus de la même origine culturelle. Le fait que les institutions françaises, la police et l’école soient attaquées n’est évidemment pas anodin. Or , on continue à excuser les auteurs de ces attaques, à les déresponsabiliser en invoquant leurs conditions sociales.> > > > Ces mêmes populations, avec des conditions sociales nettement inférieures, ne se comportent pas ainsi dans leur pays d’origine. C’est bien la preuve que l’attitude de notre société a joué un rôle déterminant dans l’apparition des problèmes que nous connaissons.> > > > Vous accusez le droit du sol. Pourquoi ? > > > > Devenir français est un processus qui doit être personnel, car il faut être prêt à assumer d’inscrire ses propres descendants dans un nouvel arbre généalogique qui n’est pas celui de ses ascendants biologiques et culturels. Il y a là, une véritable rupture, très difficile à assumer. C’est pourquoi, aujourd’hui, pour une multitude de raisons, peu de gens ont le désir de devenir français. Ils prennent les papiers parce qu’ils savent que c’est le sésame avec lequel ils n’auront plus jamais faim. Ils sont honnêtes et l’avouent : – ” je ne suis pas français, j’ai juste les papiers ! ” C’est la classe politique, dans son ensemble, qui ment et occulte ce que signifie l’identité française.> > > > La communauté française reste pour l’instant silencieuse, car elle est bâillonnée, mais, comme dans tous les pays du monde, elle n’est pas prête à accepter comme françaises des populations étrangères à son identité. Il y a aujourd’hui, en France, une négation fondamentale du droit des Français à être français. > > > > Quelle distinction faites-vous entre insertion et intégration ? > > > > L’intégration, c’est le fait d’assumer l’héritage du peuple français, de porter soi-même les valeurs et les principes des Français, de les transmettre à ses propres enfants. Il y a une forte dimension affective et morale. On ne peut pas exiger cette étape, elle est trop personnelle, trop intime. En revanche, l’insertion est absolument non négociable, c’est le respect des règles et lois de la société. Nombre de ces règles sont tacites. Elles ne sont pas nécessairement inscrites dans des lois. L’insertion dans la société française constitue une étape indispensable avant l’intégration dans la communauté nationale française. C’est ce que ne respecte pas le droit du sol.> > > > L’une des plus grandes erreurs a été, selon vous, de dégrader l’apprentissage de la langue et de la culture française. Pourquoi ? > > > > L’école de la République a un savoir à transmettre, qui crée un référentiel commun à tous les enfants. La langue est un passeport culturel pour naviguer dans la société française. On les a empêchés de pouvoir le faire en revoyant nos exigences sans cesse à la baisse. Pis, l’école s’est mise à verser dans le relativisme culturel, et même à leur transmettre des éléments de leur référentiel culturel alors que, c’est bien la seule chose que leurs familles leur transmettent.> > > > Aimer une langue est un tremplin pour aimer un peuple. Au travers de la langue, des textes de littérature et aussi des contes et des chansons enfantines , c’est bien la culture qui est transmise. Aujourd’hui, dans les rues, dans les cours d’école, on ne parle plus français. C’est un signe, sans équivoque, du réel refus d’intégration. Sans compter qu’un enfant qui ne peut s’exprimer et se faire comprendre du fait de la pauvreté de son langage a une plus grande propension à devenir violent. Commençons donc par accentuer l’effort sur la maternelle et sur les premières classes de l’école primaire, en réduisant les effectifs par classe et en mettant l’accent sur la transmission de la langue. Revoyons aussi le circuit des allocations. Il faut impérativement que cet argent aille, en priorité, au projet éducatif, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. A chaque rentrée scolaire, au lieu de remettre aux parents un chèque qui, souvent, sera envoyé dans le pays d’origine, donnons un cartable, des cahiers et des livres directement à l’enfant.> > > > Que pensez-vous de la déchéance de nationalité ? > > > > Il faut la mettre en place, et il faut cesser de donner la nationalité française à tout le monde. Les gens qui risquent aujourd’hui la déchéance de nationalité n’auraient jamais dû l’obtenir. Il faut vraiment que les politiques s’occupent de toutes ces questions très rapidement. Beaucoup, parmi eux, sont habités par la peur car les populations de l’immigration leur apparaissent comme ayant facilement recours à la violence. Il va pourtant falloir avoir le courage de traiter toutes les dimensions de ce sujet. C’est dans l’intérêt de tous. Notre société est chaque jour plus déstabilisée. C’est la cohésion nationale qui est désormais en jeu !> > > > Tout accepter met la France par terre !
    QUI OSERA CONTESTER UN TEL CONSTAT ? QUI OSERA Y REMEDIER ??

  • Robert BERTRAND-RIGHI , 28 août 2013 @ 10 h 27 min

    Ce sont les attitudes comme la votre qui nous ont conduit a une telle decheance.

    Vous etes DE FACTO, le complice de l’Islam.
    Vous etes donc au meme titre MON ENNEMI.

  • Robert BERTRAND-RIGHI , 28 août 2013 @ 10 h 29 min

    Il y a eu enormement de “Francais de souche” qui se sont vendus aux Nazis.

    Vendus aux Nazi ou a l’Islam, meme traitement, compris ?

  • Isaie , 28 août 2013 @ 11 h 39 min

    Vous dites que la tolérance envers l’étranger est totale mais, cela dépend de quel pays musulman il s’agit. En effet, allez donc en Arabie Saoudite, au Yémen, au Qatar, ce n’est pas systématiquement le cas, surtout si vous voulez y créer une entreprise.Maintenant, si vous êtes chrétien ou chrétienne, attendez-vous à des problèmes sérieux.

  • Isaie , 28 août 2013 @ 11 h 54 min

    Le christianisme n’est pas le catholicisme sur le sujet auquel vous vous appuyez. La Bible déclare que devant dieu l’homme et la femme sont égaux. Elle exige de l’homme qu’il aime sa compagne comme Dieu aime l’Eglise, cette Eglise composée d’hommes et de femmes. Par contre le fondateur de l’Islam qui n’a jamais été un prophète conforme à la Bible, A Moïse, à Elie qui fut enlevé vivant aux cieux (Mahomet est mort de maladie), Jésus le Christ (le Messie) fut ressuscité par Dieu après sa mort mais Mahomet, son cadavre est à Médine.
    Maintenant, la Bible prédit la presque extermination de plusieurs pays musulmans. Ainsi si l’Islam était la religion voulue par Dieu, sa fin ne serait surement pas aussi terrible que ce qui est prédit sur les pays pratiquent cette croyance. par contre, pour les disciples du Christ, ceux qui sont morts, seront ressuscités et les vivants seront transformés en un clin d’œil et tous seront enlevés. Mais les humains restants seronts soumis à la colère et à la vengeance du christ

  • pierre , 2 septembre 2013 @ 1 h 07 min

    pour le musulman, le pareclitos (le saint esprit des chrétiens)

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