Le christianisme en question

Tribune libre de Jean Dutrueil

Avant de rentrer dans le vif du sujet je tiens à remercier très chaleureusement Nouvelles de France qui, bien que de tendance chrétienne, a le courage de publier des visions divergentes aux siennes, mettant en pratique son devoirs de pluralité à la différence des médias officiels sombrant toujours plus dans l’intolérance. De plus, je tiens à dire que si, en tant que païen, je combats la vision chrétienne du monde qui me paraît mortifère, je ne condamne absolument pas les chrétiens qui par leur très haut sens du sacré et du divin sont l’un des derniers bastions aristocratiques de la France empêchant celle-ci de partir complétement à vaux l’eau et qu’un païen se sent beaucoup plus proche d’un chrétien que d’un matérialiste athée !

L’Occident, l’Europe et la France sont traversés sur fond d’invasions migratoires et d’effondrement économique par une crise de civilisation d’une ampleur démesurée. Alors que les partis populistes progressent dans toute l’Europe, en France les « Manifs pour Tous » sonnent le glas de la progression des valeurs de gauche depuis 200 ans et marquent sans doute le commencement de la reconquête conservatrice qui finira bien à terme par de se traduire politiquement.

Néanmoins les catholiques fournissant à ces « Manifs pour Tous » les plus gros bataillons, voient en celles-là une occasion inespérée de s’affirmer enfin publiquement. Beaucoup d’entre eux nourrissent légitimement le désir d’un retour des Français au catholicisme afin de préserver notre pays des dérives technicistes. Pourtant, il me semble qu’il y a un lien fondamental entre tous les déviances que connaît l’Europe depuis au moins un siècle et le christianisme. La société techniciste, les idéologies communiste, nazie et du multiculturalisme, l’aberration de la théorie du gender et du féminisme vindicatif ont toutes été conçues par des cerveaux occidentaux imprégnés de vision judéo-chrétienne du monde laïcisée ou non.

C’est ce que je tenterai de prouver en première partie, à travers quelques exemples non exhaustifs, puis démontrerai dans un second temps qu’un redressement durable de la France et de l’Europe ne peut se faire qu’avec un retour d’une conception polythéiste de la vie qui irrigua le monde gréco-romain.

I) Lien entre christianisme et les dérives occidentales

L’historien Dominique Venner explique que les hommes n’agissent qu’en fonction de leurs « représentations ». Si celles-ci sont fausses alors leurs actions sont susceptibles d’être désastreuses. Les neurosciences cautionnent tout à fait ce propos. Le neurologue Michel Desmurget explique que le cerveau, si extraordinaire soit-il, est une machine qui sous certains aspects peut se révéler stupide. En effet, s’il écoute plusieurs fois une notion même fausse, il va automatiquement l’intégrer dans son subconscient (90% des informations cérébrales se situent dans le subconscient) et va inciter l’individu à réagir en fonction de cette notion sans même que celui-ci puisse toujours s’en apercevoir.

Pourquoi le christianisme donne-t-il des représentations fausses du monde et en quoi celles-ci influent négativement sur les actions des Européens ? Tout simplement parce que le christianisme d’une part refuse une spiritualité fondée sur la constatation des lois naturelles régissant ce monde puisque considérées comme intrinsèquement mauvaises car issues d’une Création déchue et que d’autre part cette spiritualité contre-nature est imposée dans sa logique monothéiste comme dogme et vérité uniques que tous les peuples de la Terre doivent suivre pour être sauvés.

1) L’auto-flagellation

En effet, si certains passages du message christique prônant la douceur, le dévouement et l’amour sont très beaux, il n’en reste pas moins que le comportement et les enseignements de Jésus-Christ sont profondément pathogènes. Tendre l’autre joue, se considérer comme le dernier d’entre tous, se laisser frapper et humilier sans rien dire alors qu’on s’estime dans son bon droit, aimer ses ennemis et se haïr soi-même ne sont pas des comportements permettant une physiologie saine d’un individu ou un d’un peuple.

Bien que le christianisme ait disparu de la sphère publique en Europe nous pouvons que déplorer que son humilité désastreuse sévit toujours chez les Européens. J’en veux pour preuve ce témoignage décapant du journaliste Laurent Obertone racontant que pour établir son livre, il recueillit le témoigne de nombreuses victimes de crimes atroces, qui bien que violées ou violentées, n’avaient de cesse de trouver des excuses à leur bourreau tout en se reprochant d’avoir été des objets de tentation ! D’ailleurs la repentance perpétuelle dans laquelle n’arrête pas de se vautrer la France ne serait-elle pas à l’image du chrétien qui se considère comme le dernier d’entre tous ?

Le Docteur Wendell Watters démontre très bien dans son livre intitulé Mortelle Religion la nocivité d’un tel état d’esprit. C’est en réalité une profonde estime de soi éprouvée individuellement ou collectivement qui permet une bonne psychologie et un comportement épanoui.

De plus, cette estime de soi aide bien plus que l’auto-dénigrement à s’ouvrir aux autres et les apprécier. Dans le monde antique, Homère, Hérodote et Sophocle nourrissaient une réelle affection pour les peuples étrangers ou ennemis asiatiques

“Qui refuse la réalité diverse et belle du monde engendre le chaos.”

2) Le reniement des racines

En plus du repentir mortifère, le Christ incite au déracinement par le reniement de notre nature humaine. Pourquoi ? Car puisque celle-ci est pécheresse, il est de notre devoir de s’en débarrasser le plus possible afin de s’unir à Dieu. Ce principe du reniement est déjà à l’œuvre dans l’Ancien Testament où Abraham doit renoncer à ses dieux, sa terre natale et à son nom d’origine, Abram, pour être accepté par le nouveau Dieu unique lui promettant en échange une Terre promise. Avec le Christ, cette Terre promise devient le Paradis et le reniement n’est plus géographique mais intérieur et individuel. « Celui qui n’est pas capable de renier son père ou sa mère (donc ses racines, sa famille, son clan, son sang) à cause de moi n’est pas digne de moi ».

Il ne faut donc pas s’étonner que ce soit la Fille Aînée de l’ Église qui inventa avec Descartes puis les Lumières le principe de l’Homme abstrait sans attache ni racine, ferment de l’Homme révolutionnaire de 1789, du communiste (qui doit renier ses attaches matériels et sociales), de l’Aryen (espèce d’élite anglo-germaine aux attributs physique et intellectuelle surhumains) ou du zombie multiculturel et unisexe (qui doit renier ses origines biologiques notamment par le métissage généralisé afin de consommer indéfiniment dans un univers de super marché) ; tous devant bannir ce qu’ils sont pour atteindre non plus le Paradis mais sa laïcisation recyclée en fin de l’Histoire sur Terre procurant le bonheur universel à tous les hommes uniformisés.

3) Le dogme universaliste

En plus d’un exemple discutable vient se greffer le problème de Vérité unique inhérente à tous les monothéismes. En quoi le monothéisme qu’il soit juif, chrétien ou musulman est par essence une erreur ? Parce que, comme dit un dicton indien, « le Un est faux ». En d’autres termes, la philosophe Hannah Arendt pétrie de valeurs antiques souligne que « la Loi de ce monde est la pluralité ». Une simple observation du monde par le croyant lui fait comprendre que Dieu veut la multiplicité ; Lui qui a créé la diversité des galaxies, des planètes, des races, des peuples, de la faune et de la flore, etc.

Prenons le cas des races : un Noir, un Sémite, un Européen n’ont pas comme le Système voudrait nous faire croire qu’une différence de peau. En effet cette dernière renferme des distinctions musculaires, cérébrales et hormonales bien plus grandes créant des psychologies, mœurs, cultures et visions du monde et du divin singulières. En réalité, bien plus que les religions, les races sont le cœur des civilisations. Or cette réalité raciale est obligatoirement niée par les monothéismes, même celui d’Amour, afin de pouvoir répandre leur foi dogmatique. Ainsi, nous arrivons à des aberrations causant de grandes souffrances inutiles qui auraient été évitées par les polythéismes acceptant la multiplicité de la Création.

Par exemple, selon le diplomate et historien André Sellier, le christianisme byzantin a beaucoup martyrisé les Coptes sémites qui lassés se sont tournés vers les conquérants musulmans pour un malheur encore plus grand. Pourquoi ? Car l’écrasante majorité des Sémites n’ont jamais personnifié leurs dieux païens à la différence des Européens comme ils n’ont jamais incarné leur Dieu chrétien, incarnation qui reste une spécificité européenne. C’est pour cette raison que les Sémites ont engendré les courants monophysites (Le Christ ayant une seule nature divine ou humaine et non les deux à la fois) tels que le nestorianisme ou l’arianisme. Or dans un polythéisme ces courants auraient trouvé toute leur place mais dans un monothéisme ou ne réside qu’ « un seul Dieu, une seul foi » (Saint Paul) toute divergence est qualifiée d’hérétique puis persécutée.

Vous me direz, à juste titre, que l’Empire Romain persécuta les juifs et les chrétiens, mais il le fit pour des raisons politiques et non religieuses, pour ce que les chrétiens ou juifs faisaient ou non et non pour ce qu’ils étaient. Persécuter quelqu’un pour ce qu’il est, s’avère être un amplificateur de violence qui agit même en temps de paix. De plus cette violence diabolisant l’ennemi conduit le vainqueur à vouloir non plus seulement l’échec du vaincu mais sa totale disparation permettant à la Seconde Guerre mondiale de produire des horreurs inégalées dans l’Histoire que ce soit de la part des régimes totalitaires comme des vainqueurs (cf. massacres de Dresde, exode des millions d’allemands de l’Europe de l’Est décidé par les puissances alliées, etc.)

C’est à cause de cette pensée binaire, Bien/ Mal, issue de la vérité unique monothéiste (encore dernièrement, le Pape François expliquait que toute personne ne confessant pas le Christ confesse Satan, diabolisant ainsi 6 milliards d’êtres humains) que la colonisation du monde au XIXe siècle par les Européens pourtant animés de bonnes intentions fut désastreuse et que nous en payons aujourd’hui lourdement les conséquences qui permirent entre autre l’explosion démographique démentielle et par contre coup l’invasion migratoire.

Prenons la colonisation française en Afrique : elle s’intensifia à l’avènement de la IIIe République laïciste véhémente vis-à-vis du catholicisme. Pourtant son hostilité ne l’empêcha pas de se soustraire à la pensée binaire monothéiste laïcisant simplement le principe de Vérité unique à la sauce républicaine d’égalité et d’assimilation, permettant à Jules Ferry de dire cette ineptie : « La race supérieure ne conquiert pas pour le plaisir, dans le dessein d’exploiter le faible, mais bien de le civiliser et de l’élever jusqu’à elle ». Dans cette phrase, la logique monothéiste apparaît dans toute sa splendeur : le mépris des peuples aux cultures différentes et le désire de les assimiler à la sienne qu’on croit supérieure.

Conception partagée par les missionnaires chrétiens qui pour convertir les Africains durent briser leurs spécificités culturelles. Il en est de même avec l’Inde britannique comme le révèle l’indianiste Alain Daniélou ou avec l’Amérique latine comme le soutient le diplomate Jean Soler.

II) La vision polythéiste

Un système polythéiste produit exactement l’inverse du christianisme. Premièrement : puisque le monde est consubstantiel à Dieu, par conséquent les lois naturelles (physiques, biologiques, etc.) ne sont pas déchues mais sacrées. Donc l’homme n’a pas besoin de se renier pour s’unir à Dieu mais au contraire doit accomplir entièrement ce qu’il est en tant que membre d’un sexe, d’une race, d’une ethnie, d’un peuple et d’une famille conditionnant son individualité ; « deviens ce que tu es » est l’injonction fondamentale pour tout polythéiste désirant participer au divin.

De plus la vision polythéiste, respectueuse du réel, impose la protection de la diversité raciale, des peuples et cultures. Nous pouvons les dominer politiquement mais en aucun cas leur imposer notre vision du monde. C’est pour cette raison que l’Empire romain, qui n’était pourtant pas tendre, réussira à faire coexister pendant 400 ans des cultures très diverses à qui étaient laissés leur langue, dieux et système juridico-social.

À l’opposé, les Empires carolingien, napoléonien, français de la colonisation (et même l’Union européenne qui se craquelle déjà), trempés dans l’esprit monothéiste, laïque ou religieux, n’ont eu que des durées éphémères pour avoir voulu niveler les entités dominées au conquérant, laissant derrières leur effondrement le néant. L’invasion-immigration n’a lieu qu’en Occident où est refusé, en raison du principe égalitaire du Un, toute différence entre les hommes charriant toujours plus son lot de désœuvrés dans des banlieues qui croulent indéfiniment sous la violence ! Qui refuse la réalité diverse et belle du monde engendre le chaos.

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187 Comments

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  • 0 / 10
  • Denis Merlin , 10 mai 2013 @ 18 h 39 min

    Une métaphore est une image. Ici nous avons à faire à un exemple qui peut être concret et pas du tout imagé, hélas ! Recevoir une gifle n’est pas une image, cela peut arriver dans la vie. Il s’agit donc d’un exemple. Le Christ semble conseiller, si on prend son discours au pied de la lettre, d’avoir une attitude qui n’est pas réaliste et pourrait passer pour une provocation. C’est donc bien une hyperbole (on dit le plus pour signifier le moins, comme : il est riche comme Crésus, il est colère comme tous les diables, il a fait de bonds au plafond, il s’accroche aux vitres). L’hyperbole de “tendre la joue” signifie simplement soyez très doux, très patients.

    D’ailleurs lui-même, lorsqu’il a reçu une gifle dans sa Passion, n’a pas tendu l’autre joue, mais au contraire à fait observer à celui qui l’avait frappé qu’il n’avait aucune raison de le faire.

    Le Christ emploie d’autres hyperboles comme faire passer un chameau par le chas d’une aiguille, il veut alors signifier que la tâche est presque impossible, très difficile.

    C’est pourquoi, les critiques devraient cesser à propos de “tendre l’autre joue” qui est bien une figure de rhétorique. Le Christ était un Oriental, il s’exprimait avec la culture, les coutumes de son temps et de son peuple, il faut garder cela à l’esprit lorsque l’on lit les évangiles.

  • charlotte , 10 mai 2013 @ 18 h 40 min

    On afute nos arguments et on apprend plein de choses ! Donc on devient plus forts.

  • Milou , 10 mai 2013 @ 18 h 55 min

    @Luc :

    Si j’ai bien compris (passionné mais pas physicien), la théorie des multi-univers est fondée sur deux observations :

    Les galaxies naines qui en fait ne seraient pas des galaxies naines mais qui nous apparaissent naines à cause de la diffraction de la lumière induite par la force d’un univers parallèle.

    La vitesse d’expansion de l’univers.

    Cette vitesse est idéale pour qu’apparaisse la vie.

    Si cette vitesse était juste 1/1000000 de fois plus rapide ou plus lente, les objets dans l’univers s’éloigneraient ou se rapprocheraient tellement vite ou lentement, que la vie ne serait pas apparue.

    La probabilité pour que la vitesse d’expansion de notre univers soit celle que nous constatons, est quasi nulle.

    Il n’y a donc que deux théories que nous pouvons à ma connaissance envisager :

    n°1 Dieu.

    n°2 Les multi-univers.

    Je penche pour la théorie n°2.

    Si vous voulez faire un double six avec des dés et que vous faites un double six, le plus probable, c’est qu’avant d’avoir fait votre double six, vous ayez joué d’autres séries qui sont mal tombées !

    Donc, puisque la vitesse de notre univers est ce qu’elle est, c’est qu’il se crée sans cesse de multiples univers à l’infini, dans lesquels il n’y a aucune vie ou de la vie semblable à la notre et que notre univers est le produit d’une continuité.

    Le physicien Jean-Pierre Petit qui publie ses travaux depuis 30 ans dans des revues à comité de lecture, évoque la possibilité que les OVNI et extra-terrestres puissent voyager dans les multi-univers où la vitesse de la lumière y est plus rapide… 50 fois plus rapide, avant de refaire surface dans notre univers.

    Il théorise aussi qu’un univers en matière négative structure notre propre univers en matière positive.

    Peut-être sont-ce deux univers qui entrent en collision ou que tous les univers sont bicéphales…

    Cela commencerait à faire beaucoup de coincidences…

    Les vagues d’OVNI s’expliqueraient par le fait que les portes entre les univers ne sont pas contrôlables, alors que le temps de voyage est donc variable en fonction de l’ouverture ou de la fermeture de ces portes entre les deux univers.

    http://jp-petit.org/

    Mais d’autres affirment que les OVNI sont une invention des illuminati pour prendre le contrôle de la terre.

    Les USA savent créer des hologrammes dans le ciel :

    http://www.dailymotion.com/video/xlccmw_theories-du-complot-zone-51-jesse-ventura_news

    D’autres affirment que l’antéchrist se fera passer pour un extra-terrestre :

    http://www.dailymotion.com/video/xpfd80_rituels-occultes-1sur5-par-roger-morneau_news

    Comme le dit le physicien Jean-Pierre Petit :

    “la pensée est un système organisé de croyances”.

  • léopold joseph , 10 mai 2013 @ 19 h 10 min

    Cette mise en garde n’est destinée qu’au philosophe éditorialiste

    “L’insulte n’est pas un argument très digne.
    Vous manquez des bases nécessaires pour un tel sujet.
    Respectez les autres.”

    Et apprenez à connaître ce dont vous voulez parler.

  • PAD , 10 mai 2013 @ 19 h 12 min

    Dans l’attitude cupide!

  • Frédérique , 10 mai 2013 @ 19 h 35 min

    C’est bien ce que j’avais deviné en vous depuis le début, vous n’êtes qu’un provocateur. C’est dommage dans le fond, car hors vos propos sans queue, ni tête sur les religions, vos rares autres commentaires étaient intéressants.
    Bonne continuation avec les autres!

  • Luc Ruy , 10 mai 2013 @ 19 h 52 min

    Holà Milou, je vous réponds et on s’arrête, car là on a complètement dévié !

    Les multivers de fait permettent de résoudre le problème du hasard, de la manière suivante : il existerait (selon cette théorie) une infinité d’univers correspondant à toutes les possibilités possibles. Autrement dit nous serions complètement déterminé. C’est bien évidemment problématique.

    Je ne vois pas trop ce que vous voulez dire à propos de l’expansion de l’univers (j’ai en fait l’impression que vous n’avez pas vraiment compris ce phénomène, plus complexe qu’il n’y paraît).

    Je relève cette erreur (assez commune) : « Si vous voulez faire un double six avec des dés et que vous faites un double six, le plus probable, c’est qu’avant d’avoir fait votre double six, vous ayez joué d’autres séries qui sont mal tombées ! » C’est l’illustration du célèbre axiome shadock « plus ça rate, plus ça a de chance de réussir », bien évidemment absurde : dans tout les cas, vous aurez toujours une chance sur 12 de faire deux six à chaque fois que vous lancez le dé !

    Bon pour la suite, je ne comprends plus, et je me demande si vous vous moquez de moi ?

    Quoi qu’il en soit, je ne vois pas le rapport avec l’unicité de la Vérité.

    Luc Ruy

    PS : En outre cette théorie des “multivers” a un nom particulièrement mal choisi, l’univers étant « l’ensemble de tout ce qui existe » selon l’Académie.
    PPS : Cessons cette discussion qui n’a rien à voir avec l’article, svp. ;)

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