Coup de gueule
60% : c’est, en pourcentage, la proportion de contamination par relations homosexuelles parmi les habitants de la PACA qui ont découvert en 2012 qu’ils étaient séropositifs. En 2006, c’était 37%.
Quand on sait que, selon l’étude « Contexte de la sexualité en France » (CSF) menée en 2007 sur 12 364 personnes, 1% des femmes et 1,6% des hommes ont eu une relation sexuelle avec une personne du même sexe au cours des douze derniers mois et que ce pourcentage est orienté à la hausse par Paris, on comprend que le SIDA est avant tout une maladie homosexuelle. En effet, 1,6% des Français concentrent plus de la moitié des nouveaux cas !
Arrivent ensuite les migrants. Évidemment, la très coûteuse trithérapie est prise en charge par la Sécurité sociale tandis que les médicaments contre les nausées pour femmes enceintes qui souhaitent continuer à travailler (donc à cotiser) ou contre les hémorroïdes ne sont pas remboursés. Entre autres.
Au lieu d’arrêter d’inciter à l’homosexualité en la banalisant via les campagnes de soi-disant lutte contre le SIDA ou les discriminations financées par l’argent public, on demande à la majorité des Français de cotiser pour des communautés aux comportements irresponsables (multipartenariat, polygamie, etc.).
C’est ça, l’État providence : faire payer la majorité responsable mais complexées, silencieuse et désorganisée pour des minorités inconséquentes, bruyantes et rassemblées en lobbies.
Pour ce prix-là, ces dernières ont même le droit de changer notre cadre de civilisation (“mariage” gay, islamisation, etc.). Alors, l’État providence, stop ou encore ?
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