Mort d’un soldat au Mali : L’Eglise publie un communiqué

59 Comments

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  brennou , 4 mai 2013 @ 11 h 46 min

  … parce que le vôtre, de point de vue, est mal exposé !

  1) on ne répond pas “à la goupille”, on répond à Goupille.
  2) un soldat, surtout un français, ne va pas au combat sans savoir pourquoi, sinon il n’est pas “soldé” mais payé comme un mercenaire vendu au plus offrant.
  3) ce n’est pas la fin des combats qui détermine les “bons” et les méchants”. Le mal peut vaincre (sur Terre), cela ne le transforme pas en bien !
  4) qu’un juste combat aie des retombées économiques favorables, ne peut que réjouir. C’est de détourner la fin d’un juste combat par l’utopie qui désole, ainsi que le mauvais usage de la richesse, une fois qu’elle est rassemblée.

  Mais il est certain que le monde a rarement présenté un aspect aussi tordu qu’aujourd’hui et que l’une des formes les plus élevées du courage est d’y survivre en gardant l’exemple de ceux qui sont tombés, physiquement, par sa faute !
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  adamastor , 4 mai 2013 @ 11 h 54 min

  Facile derrière son clavier… Allez y pour en faire l’expérience! Vous croyez que tel un Dieu ex machina le soldat pparait soudainement et meurt dans la seconde d’après! J’ai rarement lu des âneries pareilles. Le gendarme mobile, en règle générale, tape sur ses compatriotes, l’autre militaire tape sur l’ennemi! Pourquoi, enfin, faire référence aux manifs dans lesquelles la vie/famille/mariage sont défendues et où cela se passe assez pacifiquement puisque les manifestants ne sont pas violents. Pourquoi ne faites vous pas allusion aux manifestations violentes où l’on casse, l’on brûle, etc… etc… imaginez les mêmes gendarmes tapant sur les joyeux participants à la gay pride en des tenues plus ind´centes les unes que les autres? Prenez une bonne douche, avalez vos comprimés et vous verrez, ça ira mieux et vous pourrez aller boire un pot avec vos potes les mobiles.
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  C.B. , 4 mai 2013 @ 12 h 15 min

  À l’attention, d’Alain, de Myriam, et sans doute d’autres visiteurs
  Cessez-vous d’aller visiter un vieux parents ou une vielle parente au motif qu’il/elle est devenu grincheux?
  N’est-ce pas plus utile de continuer à lui témoigner de l’attention, et si possible, de la faire part, régulièrement et gentiment, de vos actions face à ce qui le/rend rend grincheux/se?
  Déserter les églises n’est peut-être pas la meilleure manière d’aider l’Église. Et puis, en y gardant régulièrement un pied, on rencontre des gens ayant les mêmes tentations que soi-même, mais convaincus qu’au-delà de l’action des hommes il y a l’action de Dieu et ses grâces d’État.
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  Cril17 , 4 mai 2013 @ 12 h 45 min

  Merci pour l’info !

  Ciel ! Un évêque de l’Eglise de France, fraternel envers le peuple qui lui est confié ! Saint Michel Archange, protégez Mgr Aillet et la France et libérez-nous de la République de Satan !
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  alain , 4 mai 2013 @ 13 h 21 min

  l’église catholique n’est pas pour moi “un vieux parent grincheux”.

  Le monothéisme est pour moi la racine du totalitarisme (le Bien contre le Mal avec con corollaire la démonisation de l’adversaire).

  je ne confond pas l”église” en france historiquement l’église catholique avec le besoin de spiritualité et le sens du “religieux” nécessaire à toute société humaine.
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  allavena , 4 mai 2013 @ 13 h 26 min

  a diex aie: de la part d’un ancien combattant, tu dis des anneries on ne choisis jamais de mourir au contraire on fait tout ce que l’on peut pour eviter de se faire descendre.tu aurais fait quelqes mois en ope tu le saurais.par contre quelque fois il faut du courage pour vivre meme si on est pas veuve de guerre
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  Abbé Guy Marie COURTEMANCHE , 4 mai 2013 @ 13 h 38 min

  Cher Alain,

  Bonjour, vous et moi nous nous connaissons pas, jamais vu. Mais quelque part votre ding dong me parle. C’est bien vrai ce que vous dites : Mgr Aillet à pris la parole, en effet ne s’est pas prononcé “es Cathedra” c’est à dire au nom de l’Eglise. Mais personnellement à travers ses mots en soutien de la Veuve et aux Enfants, de la famille qui fait partie de la Communauté Catholique. Tout en faisant mémoire du Caporal Chef, Stéphane DUVAL ce noble Soldat du 1er. RPIMA, tombé au Champ d’Honneur pour La France, là-bas en mission militaire au Mali.

  Voici Cinquante ans, j’étais un Jeune militaire et embarqué sur un Bâtiment de la Marine Nationale Française, j’étais Quartier Maître. Dans cette Arme, j’ai appris à ” Servir La France et, un Jour Servir les Autres “.

  Plus tard, mais pas trop tard. Après les longues études de Philo et Théologie. Le 15 Août 2000, j’ai été Ordonné Prêtre dans l’église Catholique Traditionnelle, d’avant Vatican Deux.

  Envoyé Missionnaire pour aller ” Ad Extra ” En plus de mon action Presbytérale, je souhaitais “Servir les Autres”. J’ai fondé en 1997 l’Association Caritative Humanitaire (autonome sans un denier extérieur) “COFRADEP” Centre Orientation Fraternité Des Enfants Pauvres à Yaoundé au CAMEROUN.

  Ayant obtenu l’Agrément de fonctionnement, le 02 Mai 1997, cette Association simple dans son principe. Le But de cette Association : ” Apprendre aux Jeunes Gens Garçons ou Filles, pour ceux et celles qui étaient analphabètes à : Lire – Ecrire et Compter Et, sous le l’encadrement et le contrôle d’un Ingénieur Agronome, apprendre les bases rudimentaires en faisant des jardins familiaux. Ainsi les Familles démunies pourraient consommer de bons légumes, vendre les excédants de légumes aux différents Marchés de Yaoundé, ou des Villes importantes du Pays.

  Les Jeunes Gens, pouvaient gagner de l’Argent honnêtement, permettant l’Achat d’autres denrées alimentaires, ou l’achat de médicaments, ou d’un vêtement, ou d’envoyer leurs enfants suivre la Scolarité “.

  Cette expression intéressait les Autorités Locales par l’objectif de la Lutte contre l’exode rural, fixant ces Jeunes Gens à la terre de leurs Ancêtres. Tout en limitant cette Jeunesse sans domicile fixe, n’ayant pas de métier, vivant de larcins ou de petits trafics de drogues, attiré par les feux de la rampe de la Capitale Yaoundé.

  Je suis resté Sept ans dans ce Pays. Cela n’a pas toujours été facile pour moi, j’étais souvent malade du Paludisme et de la Typhoïde. Je célébrais la Messe Tridentine du Pape Saint-Pie V.
  les fidèles pouvaient entendre la Messe. Il n’y avait pas d’obligation pour les autres Dieu a laissé les hommes libres “Tout par Amitié, rien par force ” Ce n’était pas du Préchi – Précha.
  Aucune condition pour les non pratiquants. “On ne pend pas la mouche avec du vinaigre”.

  J’ai transmis la gestion de cette Association aux Camerounais, depuis douze ans, se sont eux qui gèrent cette Oeuvre, elle a un avenir probant. Parce que ces Jeunes Gens ont compris la chose essentielle et de toute l’importance du Travail à la sueur de leur front, des cultures vivrières . Ainsi ils pourraient consommer de bons légumes, vendre l’excédant de ces légumes aux Marchés de la Capitale à Yaoundé ou d’ailleurs dans les Grandes Villes du Pays.

  Ainsi chacun (e) pouvait gagner de l’Argent, permettant l’achat d’autres denrées, ou des vêtements, ou des médicaments, ou d’envoyer leurs enfants suivre la Scolarité ou les Cours Universitaires

  L’Association “COFRADEP” dans sa définition pouvait à elle seule les rendre libre de leur expression et de leur bien-être quant à l’Avenir. Permettant le développement de leur Village..

  C’est en Mars 2003, que mon évêque, m’envoyait en HAÏTI. Selon lui, ce Pays était bien plus pauvre que le CAMEROUN. En cela il disait vrai. En plus de mon quotidien presbytéral. J’ai transposé cette Association “COFRADEP” en HAÏTI, afin de fixer cette Jeunesse qui n’avait pas de métier et qui se risquait inutilement dans les rixes et autres affrontements de la Guerre Civile qui sévissait mortellement dans des Combats de Rues de PORT-AU-PRINCE.

  Avec cette Association ” COFRADEP ” Le But était de sauvegarder ces Jeunes Gens, Garçons ou Filles.La plupart étant analphabètes. L’objectif était de leur apprendre à Lire – Ecrire et Compter, et aussi de leur apprendre la base rudimentaire à faire des Jardins Familiaux, permettant aux familles de consommer de bons légumes, ventre l’excédant, aux différents Marchés de la Capitale PORT-AU-PRINCE, de gagner de l’Argent honnêtement, dans le même style de ce qui se faisait au CAMEROUN.

  J’ai obtenu l’Agrément de fonctionnement N° STC-01772 par Le MINAS et de La Direction Générale du Travail du Gouvernement de la République d’Haïti. Fait à PORT-AU-PRINCE,
  le 27 Mai 2003.

  Ces Pays tant HAÏTI que Le CAMEROUN, font partie de la Ceinture Tropicale du Monde, les légumes y poussent facilement, par l’hygrométrie, si on veut bien s’en donner la peine.

  Hélas, pour moi, en participant au péril de me vie, à un sauvetage de Dix petits enfants, qui risquaient d’êtres noyés dans le Cyclone Jeanne qui déferlait sur le Nord-Ouest d’Haïti, du 19 au 21 Septembre 2004, faisant 3.500 morts et disparus. C’est le 20 Septembre 2004, que j’ai été très gravement blessé Entraîné par la force des flots, précipité dans une fosse d’aisance, j’ai perdu le dernier enfant. Puis, j’ai été projeté dans les rochers. J’ai eu les deux genoux brisés, et une grosse blessure à la jambe droite. Médecin Sans Frontière ne pouvait pas m’opérer ni me soigner sur place. Haïti est un Pays où il manquait toutes les choses possibles pour faire une grosse intervention chirurgicale.

  Je suis rentré en FRANCE, pour aller dans un hôpital. Opéré cinq fois de ma Jambe droite. Ce n’est qu’en Juin 2011 que j’étais guéri de cette très grave blessure. Permettant la suite des interventions. Le 15 Décembre 2011, je recevais une Prothèse Totale pour mon genou droit.
  Puis, le 13 Décembre 2012, je recevais une PTG sur mon genou gauche.

  Dans la condition actuelle, j’ai pris ma Retraite, j’ai tous les jours des pensées qui fusent dans mes intentions de prières lors de la célébration de la Messe, pour tous ces Jeunes Gens, que j’ai accompagné tant au CAMEROUN, qu’en HAÏTI. Avec beaucoup de Joie et de Service.

  Evidemment, si on avait pensé en haut lieu de former tous ces Jeunes à rester chez eux, La France, ne serait pas dans la condition quelle actuellement. La prochaine fois, ils feront mieux.

  Très Cordialement à vous Cher Alain. Abbé Guy-Marie Prêtre Missionnaire Chanoine Régulier de Saint-Augustin.

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