à lui tout seul. Que les choses soient claires, s’en prendre à des personnes qui ne sont pas menaçantes, c’est mal. Mais cela montre que le lobby LGBT n’est puissant que parce que l’État le permet. Sans ce soutien, ce promoteur même, il n’y a tout simplement plus de lobby LGBT. Ce fait divers rappelle que les minorités ne peuvent persécuter la majorité que parce que l’État arme les premières et désarme la seconde. Le problème, c’est donc l’État. L’État doit se contenter de protéger les plus faibles (ce qu’il fait mal ou plus, cf. les enfants avortés, le laxisme vis-à-vis de la pornographie ou la légalisation du droit à l’enfant), mais seulement lorsque la famille ne suffit pas. Moins d’État, cela donne des minorités moins oppressantes pour la majorité.