La disposition pénalisant l’adultère ne fait plus partie de la législation mexicaine. Elle a été abrogée par le Sénat mexicain. Cette abrogation a été votée jeudi à l’unanimité des 69 sénateurs présents -moins une abstention-, ce qui a permis la promulgation d’une décision déjà approuvée par les députés en avril 2008.
En matière civile, la preuve de l’adultère demeure néanmoins nécessaire pour entamer une procédure de divorce.