“En tant que pays islamique, nous avons adopté la charia, comme loi essentielle et toute loi qui violera la charia sera légalement nulle et non avenue”. C’est ce qu’a déclaré dimanche à Benghazi Mustapha Abdel Jalil, Président du Conseil national de transition (CNT). Si cette annonce ne surprend pas les observateurs, certains s’en émeuvent, d’autant plus qu’elle intervient alors que la Tunisie, qui vient d’organiser des élections libres, a massivement plébiscité le parti islamiste Ennahda qui a obtenu près de 40% des voix.
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