Au début des années 80, dans la communauté Emmaüs de Kamp-Lintfort, près de Daschsberg en Allemagne, la pédophilie était pratiquée et encouragée au quotidien par un groupe d’écologistes. Aujourd’hui les Verts allemands aimeraient bien faire oublier que dans les années 70 et 80, une partie d’entre eux demandaient la légalisation de la pédophilie et considéraient le sexe entre adultes et enfants comme une des avancées de la grande libération sexuelle de mai 68.
La pédophilie, c’est écolo
Il s’agit bien ici d’une communauté du Mouvement Emmaüs fondé par l’Abbé Pierre mais le mouvement lui-même n’est pas en cause. Le 21 juillet l’hebdomadaire allemand Die Welt a publié des témoignages de victimes de l’idéologie pédophile des Verts allemands dont certains affichaient publiquement leur goût pour les enfants et les jeunes adolescents. Un témoin raconte à Die Welt comment, dans cette communauté colonisée et détournée de ses objectifs par un groupe d’écologistes allemands, des enfants de 12 ans recevaient des bonbons, de l’argent de poche, des magazines pornographiques et des cigarettes quand ils acceptaient d’avoir des contacts sexuels avec des adultes. On disait à chaque enfant que c’était à lui de décider, mais dans la réalité, affirme aujourd’hui un enfant de l’époque, les jeunes membres de la communauté étaient exploités sexuellement, et ce de manière répétée. Parmi les délinquants sexuels, il y avait Herman Meer, membre de la direction des Verts du Land de Rhénanie-du-Nord – Westphalie et chef de la communauté Emmaüs en cause. Meer ne cachait son attirance pour les jeunes garçons. Il disait agir comme les philosophes grecs qui avaient des relations sexuels avec leurs élèves. En septembre 1983, la communauté de Kamp-Lintfort a accueilli un congrès des jeunes Verts qui a surtout débattu du sexe avec les enfants. Les participants étaient partagés à peu près à égalité entre les partisans d’un abaissement de l’âge de l’initiation sexuelle et ceux qui s’y opposaient. Si certains proposaient d’abaisser à 12 ans l’âge légal pour le sexe entre adultes et enfants, d’autres ne voyaient aucun problème à avoir des contacts sexuels avec des enfants de 6 ans.
Capture d’écran de l’article de Die Welt mis en ligne sur le site de l’hebdomadaire- Quand les différentes mouvances socialistes se rencontrent
Comme si cela ne suffisait pas pour compromettre les Verts, ce congrès a été organisé par Werner Vogel, membre du parti vert allemand mais aussi ancien membre des sections d’assaut du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (le parti nazi), mieux connues sous le sigle SA. S’il a démissionné du parti écologiste allemand, Werner Vogel a continué par la suite à militer pour les Verts.
Le chef actuel des Verts en Allemagne, Cem Özdemirm, se dit extrêmement choqué par les témoignages des victimes de pédophilie et la direction des Verts a commandé une enquête indépendante sur le passé pédophile du parti. Toutefois, le 29 avril dernier le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung dévoilait que les Verts avaient interdit l’accès à certaines archives concernant l’eurodéputé Daniel Cohn-Bendit et un autre député dont le nom n’était pas donné, des archives qui concerneraient le passé pédophile des deux personnages (voir l’article ici).
En mai, Der Spiegel a publié des documents provenant des archives du parti vert allemand qui montraient que l’organisation fédérale des Verts et son club parlementaire finançaient un «groupe de travail sur les homosexuels, les pédérastes et les transsexuels» (Bundesarbeitsgemeinschaft Schwule, Päderasten und Transsexuelle – BAG SchwuP). Ces archives confirment également l’engagement des Verts en faveur d’une approche «libérale» de la pédophilie que beaucoup d’entre eux souhaitaient rendre légale.
Une partie de la gauche et de l’extrême-gauche française a elle aussi, à la même époque, défendu la pédophilie. Voir à ce propos cet article publié sur 24heuresactu.com avec les noms des membres de nos «élites» soixante-huitardes françaises qui défendaient la pédophilie dans une lettre ouverte aux parlementaires publiée par les journaux Le Monde et Libération en 1977. Les mêmes défendent aujourd’hui le «mariage» entre personnes du même sexe et le droit d’adopter des enfants pour ces duos nouvellement «mariés». Dans les deux cas, on a bien sûr affaire à des adultes qui instrumentalisent les enfants pour satisfaire leurs désirs. Mais pourquoi s’étonner de cette instrumentalisation alors qu’on autorise déjà l’Infanticide Voulu pendant la Grossesse depuis les années 70 ?
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