Messe de clôture des JMJ à Rio de Janeiro

Le pape François célébrait ce dimanche à Rio de Janeiro, au Brésil, la messe de clôture des 28èmes Journées mondiales de la Jeunesse. Une cérémonie festive et solennelle, qui rassemblait sur la plage de  Copacabana plus de 3 millions de jeunes venus du monde entier.

Dans son homélie, le pape François est revenu sur le thème général de ces JMJ “Allez, et de toutes les nations faites des disciples”. Par ces mots, dit le pape, Jésus s’adresse à chacun de vous en disant : “cela a été beau de participer aux Journées mondiales de la Jeunesse, de vivre la foi avec des jeunes provenant des quatre coins du monde, mais maintenant tu dois aller et transmettre cette expérience aux autres”. “Jésus t’appelle à être disciple en mission, lance le pape aux pèlerins, les invitant, à la suite de Jésus, à ‘aller, sans peur, pour servir'”.

Après la messe, avant de réciter la prière de l’Angélus le pape s’adresse une fois encore aux jeunes, dans une atmosphère de suspens…“Je vous remercie, chers jeunes, pour toutes les joies que vous m’avez données en ces jours. Je porte chacun de vous dans mon cœur…..pour les prochaines Journées mondiales de la Jeunesse, nous nous donnons rendez-vous en 2016, à Cracovie, en Pologne”.

Applaudissements sur la plage de Copacabana et crie de joie du côté des Polonais, qui avaient déjà accueilli, en 1991, les 6èmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Czestochowa.

“C’est une joie, un honneur et une grande responsabilité pour nous”, a répondu le cardinal Dziwisz, archevêque de Cracovie, qui se félicite de cette invitation dans la ville du bienheureux Jean-Paul II.

En 2016, la Pologne célébrera également le 1050ème anniversaire de son baptême.

 

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37 Comments

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  • 0 / 10
  • mariedefrance , 30 juillet 2013 @ 11 h 47 min

    voyez !
    même vous, vous “confusionnez” !:-))

  • mariedefrance , 30 juillet 2013 @ 12 h 40 min

    Les évêques et derniers papes ( Benoit XVI n’a pas eu le temps ni la force et l’énergie ), surtout les évêques, sont gravement responsables de la situation ( et non pas les malheurs des temps ).

    tiens… tiens !
    vous critiquez l’Eglise, Hermeneias ?

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